Découvrez pourquoi Brice Anoh quitte Life TV après 4 ans de carrière et ce que l’avenir réserve pour ce talentueux animateur ivoirien. Le confrère a annoncé la nouvelle sur ses réseaux sociaux et donné des indices sur son avenir.

Brice Anoh et son impact à Life TV, ses futurs projets

Brice Anoh, figure emblématique de la chaîne ivoirienne Life TV, a annoncé son départ après quatre ans de service. L’animateur, qui a marqué le lancement de la chaîne en juin 2020, a exprimé sa gratitude envers la direction, ses collègues et ses fidèles téléspectateurs.

Il a posté sur Facebook : « Hello très chers. Après 4 années passées sur Life Tv, je viens vous annoncer mon départ de la chaîne. J’ai été le premier animateur à porter la parole sur la chaîne ce soir du 26 juin 2020 et depuis, se sont enchaînés de merveilleux moments de télévision. ( du Talk à Jour de Chance…) Je tiens à remercier la Direction, ainsi que tous les collègues et surtout Vous mes chers Téléspectateurs. Merci pour votre soutien, vos conseils et votre AMOUR. Que L’ÉTERNEL vous récompense et qu’il bénisse nos nouveaux projets dont je vous tiendrai bientôt informés. Je vous Aime. »

Durant son passage à Life Tv, Brice Anoh a animé plusieurs émissions phares, comme « Jour de Chance », qui ont contribué à son succès. Il a également promis de dévoiler bientôt ses nouveaux projets, tout en remerciant son public pour son soutien indéfectible. L’animateur n’a pas donné les raisons de son départ. Cependant, il semblerait qu’il ait été recruté par un autre média en Côte d’Ivoire.

L’animateur a joué un rôle important dans l’essor de Life TV, et son départ sera sans aucun doute un tournant dans sa carrière. L’avenir de l’animateur semble rempli de nouvelles opportunités comme il l’a laissé entendre. De nouveaux projets verront bientôt le jour sous sa direction. La question que se posent ses nombreux fans porte sur l’identité de la chaine sur laquelle se réaliseront ces projets.

Sa collègue et bonne amie, Konnie Touré, lui a souhaité bonne chance pour l’avenir sous son poste Facebook. « Bon vent mon Brice ! Et merci pour toutes ces émotions. À vite, ailleurs Inshaa Allah. », a posté la multi-casquettes, épouse du Mahama Abdoul Fatah Cho.

Grâce à une performance flamboyante de Naomie Eto, les Lionnes Indomptables U-20 ont décroché leur billet pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde Féminine U-20 de la FIFA, Colombie 2024. Une victoire nette et impressionnante 2-0 contre l’Australie a permis aux filles d’Ahmed Balla de se qualifier avec éclat. Et c’est Eto, la capitaine de l’équipe, qui a une fois de plus pris la lumière, en inscrivant le but décisif d’une magnifique frappe croisée à l’entrée de la surface de réparation. À seulement 20 ans, Naomie Eto est déjà la figure de proue de la sélection U-20 du Cameroun. En Colombie, elle a marqué les esprits avec deux buts en trois matchs. Elle est vite devenue la sensation du tournoi et la nouvelle vedette du football féminin africain. Son ascension fulgurante ne surprend personne au Cameroun, où la jeune étoile est connue pour son talent précoce et sa détermination farouche.

Le destin de Naomie semblait inscrit dès sa naissance, le 29 septembre 2004. Ce  même jour, Samuel Eto’o, la légende du football camerounais, inscrivait son premier but en Ligue des champions avec le FC Barcelone. Pourtant, malgré le patronyme identique, elle n’a aucun lien de parenté avec l’ancien attaquant des Lions Indomptables. Son lien avec le football, lui, est indéniable et semble naturel.

Débuts prometteurs à Science et éclosion d’un talent générationnel

C’est à Science, un quartier modeste de Yaoundé, que Naomie a grandi, et très vite, le football est devenu son échappatoire et sa passion. Dès l’adolescence, elle jouait dans la rue avec les garçons du quartier, dribblant et jonglant avec une aisance rare pour une jeune fille de son âge. « Je me souviens que lorsque les garçons jouaient, ils avaient besoin de quelqu’un pour ramasser le ballon. Mais au lieu de simplement leur rendre, je me mettais à jongler », raconte-t-elle avec un sourire à Fifa.com. Sa maîtrise du ballon a rapidement attiré l’attention, et bientôt, elle rejoignait les équipes locales.

Les prouesses de Naomie sur les terrains de Science ont rapidement attiré l’attention des recruteurs de l’Académie de football Roger Milla (RMFA). C’est là qu’elle a véritablement commencé à se forger en tant que joueuse professionnelle. Mais ce n’était pas sans difficultés. Sa mère, Patricia, était réticente à l’idée que sa fille unique se lance dans une carrière aussi incertaine. « Ma mère avait peur pour moi, elle voulait que je me concentre sur mes études. Mais j’avais compris que le football était ma vie », confie Naomie.

Sa détermination et son travail acharné ont porté leurs fruits. Naomie a rapidement intégré l’équipe des  Forces Armées et Police (FAP), l’un des plus grands clubs de Yaoundé. Là-bas, elle a continué à impressionner. Très vite, elle s’est positionnée comme une des meilleures joueuses du championnat national féminin. Sa première saison dans l’élite lui a valu le titre de révélation de l’année, une distinction qui a confirmé son immense potentiel.

L’ascension internationale

Les performances de Naomie au sein des Amazones FAP ne sont pas passées inaperçues. En 2021, elle a été appelée en équipe nationale pour participer aux qualifications de la Coupe d’Afrique des Nations Féminine (CAN) contre le Kenya. Bien que le Cameroun ait été éliminé aux tirs au but, Naomie n’a pas baissé les bras. Elle a rebondi de manière spectaculaire en guidant l’équipe U-20 à la qualification historique pour la Coupe du Monde en Colombie, une première pour les Lionnes Indomptables de cette catégorie.

En janvier 2024, lors du match décisif des qualifications pour la Coupe du Monde contre l’Égypte, Naomie a été désignée capitaine des Lionnes U-20 par le sélectionneur Hassan Balla. Ce geste symbolique a placé sur ses épaules la responsabilité de conduire son équipe vers la Colombie. Eto a su répondre à cette confiance, menant son équipe à une victoire 4-2 à l’aller et à un match nul 1-1 au retour, garantissant ainsi la qualification pour le Mondial. À la Coupe du Monde, Naomie a continué d’impressionner. Face à des équipes coriaces comme le Mexique et l’Australie, elle a fait montre de leadership, de talent et de maturité. 

Une ambition sans limites

« Nous avons hérité d’un groupe difficile, mais ce n’est plus l’heure à la blague », déclare Naomie avec détermination. Consciente du défi qui les attend face à des équipes comme l’Espagne ou le Brésil en huitièmes de finale, elle reste confiante. « Nous avons les arguments pour rivaliser avec les meilleures », ajoute-t-elle.

L’avenir s’annonce prometteur pour cette jeune prodige du football. Si elle continue sur sa lancée, Naomie Eto pourrait bien devenir la nouvelle star des Lionnes indomptables au regard du vieillissement des cadres à l’instar d’Ajara Nchout Njoya ou encore d’Aboudi Onguene. En attendant de prendre la relève de l’équipe première, c’est lors de la rencontre des huitièmes de finale du Cameroun contre l’Espagne ou le Brésil, qu’Eto devra faire étalage de son génie. 

Les quinze personnes sont décédés le jeudi 5 septembre, lors d’une pluie torrentielle qui s’est abattu dans le village de Tissil, canton de Guerrie, province du Ouaddai, dans l’Est du pays.

Selon les autorités, le bâtiment dans lequel se trouvaient les quatorze élèves et leur marabout a été frappé par la foudre. Elle a provoqué l’effondrement de deux pièces, sur les trois que comptait le bâtiment. En plus des quinze morts, deux enfants ont été blessés, mais leur vie n’est pas en danger. D’autres bâtiments ont été endommagés dans le village, mais légèrement, toujours selon le gouverneur.

Le gouverneur de la province du Ouaddai, Bachar Ali Souleymane, s’est rendu, ce vendredi 6 septembre, sur les lieux en compagnie du ministre de l’Administration du territoire du Tchad, Limane Mahamat, pour constater les dégâts et présenter leurs condoléances aux familles des victimes.

Dans un communiqué diffusé jeudi, le Premier ministre tchadien Allah-Maye Halina a déploré une « situation tragique ». Il a aussi assuré que les autorités locales étaient « mobilisées pour porter assistance et soutien aux victimes et à leurs proches ».

Depuis le début de la saison, au moins 160 personnes sont mortes à cause des pluies.

Le 25 août, le Bureau de la coordination des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA) dans le pays recensait déjà, il y a presque deux semaines, plus de 964 000 personnes (166 000 ménages) sinistrées, avec 70 000 maisons détruites, 250 000 hectares de champs engloutis et 29 000 têtes de bétail emportées.

Essama Aloubou

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Au Nigeria, un terrible accident de la route s’est produit ce dimanche 8 septembre dans le centre-nord du Nigeria causant plusieurs dégâts et des pertes en vies humaines.

Nigéria : carnage sur les routes du centre-nord

Une collision entre un camion-citerne et un autre véhicule a entraîné une violente explosion, faisant au moins 48 victimes.

Selon l’Agence nationale de gestion des urgences, le camion-citerne transportait une substance inflammable et a percuté un camion transportant des passagers et du bétail. L’impact a provoqué une chaîne de collisions impliquant de nombreux autres véhicules.

Les secours ont été rapidement dépêchés sur place mais n’ont pu que constater l’ampleur du drame. Les autorités locales ont confirmé le bilan de 48 morts et ont ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de cet accident tragique.

Les Guépards du Bénin ont été laminés samedi par les Super Eagles du Nigeria sur un score sans appel de 3 buts à 0, en éliminatoires de la CAN 2025.

Un revers qui suscite de vives réactions sur les réseaux sociaux béninois.

Sur sa page Facebook, l’artiste Béninois Fanicko, a choisi l’humour pour commenter cette rencontre.

Tandis que certains internautes béninois ont vivement critiqué la performance offensive limitée de l’équipe, le chanteur Fanicko a ajouté sa touche personnelle à ces discussions, avec un commentaire plein d’humour.

Sur sa page Facebook, il a écrit : « Les Nigérians sont fâchés contre notre victoire de la dernière fois là deh… Pouaaaahhh, on peut être méchant comme ça ? ».

Une pique qui a fait sourire bon nombre de ses abonnés.

Relégués à la dernière place au classement après cette débâcle, les Béninois vont devoir réagir lors de la seconde journée, face aux Libyens à Abidjan, mardi prochain.

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Dans le sillage du Forum sur la Coopération sino-africaine (FOCAC), le Burkina Faso poursuit sa dynamique de coopération avec la Chine.

Un nouveau chapitre s’ouvre pour le commerce maritime entre le Burkina Faso et la Chine

Le Premier ministre Apollinaire Joachim Kyelem de Tambela a annoncé que les deux pays envisageaient de créer conjointement une compagnie maritime. Cette initiative, selon le chef du gouvernement, vise à faciliter les échanges commerciaux entre les deux nations.

« Nous avons évoqué la possibilité d’une société mixte sino-burkinabè pour mettre en place une compagnie maritime afin de fluidifier les échanges commerciaux entre nos deux pays », a-t-il déclaré.

En effet, cette annonce intervient après de nombreuses discussions avec les autorités chinoises, qui se sont montrées très favorables à soutenir les initiatives de développement du Burkina Faso, notamment dans les secteurs de l’agriculture, de l’élevage et des infrastructures.

Par ailleurs, le Premier ministre a tenu à rappeler que le Burkina Faso n’est pas le seul pays africain à bénéficier de cette coopération renforcée avec la Chine. De nombreux autres pays du continent, tels que le Mali, le Nigeria, le Niger, le Gabon, le Sénégal, la Guinée, le Togo et la Côte d’Ivoire, sont également impliqués dans des projets similaires.

Le débat dominical sur Vision4 était riche en arguments, apportés par le professeur éminent d’une part et d’autres acteurs du football camerounais d’autre part. Au centre de la discussion se trouvait le conflit Fécafoot-Minsep, qui fait d’ailleurs la Une de l’actualité au Cameroun. Ce dimanche, Abdouraman Hamadou Baba, ancien membre de la Fécafoot, qui dépeint la gestion de la Fédé par Samuel Eto’o sous un jour très négatif, était face à Aboya Manassé Endong qui voit plutôt le contraire.

Après des échanges d’arguments, ce dernier a clairement demandé à Abdouraman Baba d’aller consulter un exorciste car Abdouraman Baba reste catégorique sur le fait que l’exécutif de Tsinga est à revoir. « Il y a une armée de haine qui s’est créée. Des gens sont payés pour venir sur les plateaux insulter Samuel Eto’o. Ça va dans tous les sens… À Monsieur Abdouraman, je lui conseille de consulter un exorciste », a conseillé l’universitaire.

Depuis le début de ce conflit Fécafoot-Minsep en avril dernier, avec la nomination de Marc Brys comme entraîneur des Lions Indomptables, l’opinion camerounaise est divisée. D’un côté, les défenseurs de Samuel Eto’o, surnommés les « Eglisiens », et de l’autre, les « hiboux », ou ses détracteurs.

Malgré la fracture numérique, le pays compte investir sur le numérique pour lutter contre le VIH qui frappe de plein fouet la République centrafricaine (RCA).

 Le projet est ambitieux malgré les difficultés pratiques. Dans un pays où les populations sont violemment touchées par le VIH, où le taux d’alphabétisation et d’accès limité à l’information reste très faibles. Le numérique semble être la meilleure solution pour sensibiliser et autonomiser les populations vulnérables.

Pour ce faire plusieurs plateformes ont vu le jour, notamment U-Report de l’UNICEF qui offre un accès discret et fiable aux informations sur le VIH et la santé sexuelle et reproductive.

Malgré une telle initiative, le pays fait face à obstacles entre autre, fracture numérique, la qualité inégale des contenus en ligne et les résistances culturelles qui freinent l’adoption des solutions digitales. Mais les experts pensent qu’il est de bonne guerre d’investir dans les infrastructures, de former les acteurs locaux et de mener des campagnes de sensibilisation adaptées aux spécificités culturelles, afin de maximiser l’impact des campagnes.

Selon une étude de l’UNICEF publiée en 2022, moins de 20 % des jeunes disposaient de connaissances complètes sur les sujets liés au VIH. 

Selon l’ONUSIDA, 78 % de la population centrafricaine a moins de 35 ans, et le taux d’infection par le VIH est particulièrement élevé parmi les jeunes. En 2022, 3,4 % de la population était infectée, un taux qui place la RCA au sommet des pays les plus touchés en Afrique de l’Ouest et du Centre.

Plusieurs facteurs expliquent cette vulnérabilité. Le faible niveau d’alphabétisation (moins de 4 adultes sur 10 savent lire et écrire, selon l’ONUSIDA, les inégalités sociales, et un accès restreint aux soins de santé sont autant de défis à surmonter. Les tabous entourant la sexualité et les croyances traditionnelles, telles que la perception du VIH comme une punition divine, freinent également les efforts de prévention et de prise en charge.

Essama Aloubou

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En Algérie, les premières tendances sont tombées. Abdelmadjid Tebboune a été réélu après le scrutin qui a eu lieu le samedi 7 septembre 2024 face aux deux adversaires.

Algérie : Abdelmadjid Tebboune reconduit à la présidence

À l’issue de cette élection, Abdelmadjid Tebboune a été reconduit à la présidence de l’Algérie avec 94,65 % des suffrages exprimés. Une élection qui a eu lieu avec un faible taux de participation contrairement à celui de 2019, soit 58 % contre 50 % en 2024.

En décembre 2019, les élections avaient lieu dans un contexte tendu, marqué par l’opposition des militants prodémocratie du mouvement Hirak et les appels au boycott de certaines formations politiques. De nombreux événements avaient été enregistrés au cours de ces élections.

Il s’agit d’un taux d’abstention de 60 %, avec une participation réelle de 39,83 % des suffrages. Cette fois-ci, Abdelmadjid Tebboune faisait face à deux concurrents : Youcef Aouchiche, leader du Front des forces socialistes, et Abdelaali Hassani Cherif, chef du Mouvement de la société pour la paix.

Toutefois, ces premières tendances restent provisoires, laissant la place aux institutions compétentes pour confirmer les résultats définitifs.

Le Cameroun bien qu’étant un pays majoritairement jeune, est paradoxalement gouverné par une élite vieillissante, qui occupe la totalité des sphères de prise de décision. Cette situation, perpétuée entre autres par une faible éducation politique des jeunes, a motivé la naissance de « Reconquête ».

« La plateforme reconquête va se comporter comme une usine, où l’on recrute et forme politiquement des jeunes et on les accompagne. Une fois qu’on est sûr qu’ils sont prêts à pouvoir entrer en politique, ils feront leurs premiers pas au sein du parti Action. Reconquête à l’image d’une école qui forme des étudiants, ambitionne de créer une masse critique de jeunes consciencieux et aptes à comprendre les enjeux politiques de leur pays », explique Félix-Marcel Djadjo, promoteur de la plateforme 2040, une des deux parties signataires du projet « Reconquête ».

Une projection en 2026

« Reconquête » s’est donné 2 années, pour mettre sur le terrain politique, de nouveaux jeunes leaders, sortis de leur incubateur.  « Notre objectif à court terme est de mobiliser, recruter, former des jeunes pour qu’en 2026, nous puissions investir au moins 180 jeunes aux élections législatives et 360 listes aux élections municipales. Nous sommes déjà en train de recenser ces jeunes qui vont participer à l’alternance générationnelle au Cameroun », déclare Ibrahim Yiché.

Pour y arriver, le président du parti Action milite pour une formation citoyenne continue des jeunes camerounais, « leur donner un engouement pour la chose politique, dans un contexte où un certain discours tant à désintéresser cette classe d’âge des problématiques liées à la gestion de la cité. »

Pourtant, précise-t-il, l’histoire renseigne que les pères fondateurs et autres martyrs de l’indépendance du Cameroun, étaient des jeunes au moment où ils ont choisi le sacrifice suprême pour la nation. De même, de nombreux membres du gouvernement actuel, sont arrivés aux affaires à des âges très bas. Ces exemples sont présentés dans le discours d’Ibrahim Yiché, comme une preuve que l’avenir du Cameroun ne se construira pas sans une jeunesse politiquement active.

Une pluralité de formations

Afin d’outiller les jeunes formés des ressources intellectuelles et techniques utiles pour la réalisation des objectifs de « Reconquête », des axes de formation ont d’ores et déjà été identifiés : le leadership politique, le marketing politique, et les stratégies de levées de fonds entre autres. Selon Pierrette Stéphanie Moankono Elanga, experte en formation politique et par ailleurs vice-présidente du parti Action, il s’agira d’un hub, fait de « formations des masses » dont le but sera d’extirper les meilleurs profils qui vont se dégager. Tout juste lancé, « Reconquête » attire déjà des adhérents. A ce jour, 08 associations de jeunes ont obtenu leur carte de membre.