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Santé

50+ Late Summer Recipes – Closet Cooking – Delicious Secret

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50+ quick and easy recipes ideas to enjoy some late summer produce including tomatoes, eggplant, squash, corn, grapes, cauliflower, etc.

Summer is winding down and there is still plenty of time to enjoy some late summer produce including some of my favourites like tomatoes, eggplant, red peppers, corn, cauliflower, broccoli and green beans. In addition to all of the summer produce we already have some fall items showing up including apples, pears and winter squash so we are quite literally spoiled for choice these days! It was really difficult trimming a roundup of recipes down to a manageable amount so I ended up going with a mega roundup containing a whopping 50+ amazing recipes using late summer produce! When I head down to the market at this time of year it is always challenging to not pick up some of everything that’s available but no matter what I end up bringing home I have plenty of tasty recipes to make!

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Santé

Gérard Larcher rempile (sans surprise) à la présidence du Sénat

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POLITIQUE – Et de cinq. Ce lundi 2 octobre, le sénateur LR des Yvelines Gérard Larcher a été reconduit dans ses fonctions de président du Sénat, pour la cinquième fois consécutive depuis sa première élection au « plateau » en 2014. Un siège qu’il occupera jusqu’en 2026. Dans le détail, l’élu LR a obtenu 218 voix sur 320 exprimées. Un score dans le même ordre de grandeur qu’en 2020, où il avait réuni 231 suffrages sur 324 votes exprimés.

Le socialiste Patrick Kanner a quant à lui remporté 64 voix, la communiste Céline Cukierman 20 voix et l’écologiste Guillaume Gontard, 18 voix.

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Une issue qui n’a rien d’une surprise, puisque la droite restait majoritaire après les élections sénatoriales du dimanche 24 septembre. Elle confirme néanmoins le statut indéboulonnable du sénateur des Yvelines, véritable visage de la chambre haute, au sein de laquelle il a été élu pour la première fois en 1986.

Excepté un passage aux gouvernements de Jean-Pierre Raffarin et Dominique de Villepin, entre 2004 et 2007, comme ministre délégué au Travail, ce vétérinaire de profession a passé 33 années au sein du Palais du Luxembourg. Un grand fauve de la politique.

Ancien monde, bicamérisme et coup de canif

« Gérard Larcher incarne notre institution », loue ce lundi sur France 2, le président du groupe LR au Sénat, Bruno Retailleau, dont il est proche. « On a un accord entre nous au sein de la majorité sénatoriale. Il n’y avait aucune raison de vouloir marquer une différence. Gérard Larcher incarne la place du Sénat dans les institutions », saluait juste avant le vote Hervé Marseille, président du groupe Union centriste.

Une qualité que les socialistes, qui défendaient pourtant la candidature de Patrick Kanner face au président sortant, lui reconnaissent volontiers. « Je crois que Gérard Larcher défend bien l’institution et le bicamérisme », explique sur Public Sénat le sénateur PS Rachid Temal, appréciant son « souci que l’opposition puisse bien travailler ».

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Figure d’un « ancien monde » que croyait chasser Emmanuel Macron à son arrivée au pouvoir, Gérard Larcher a vu le Sénat se muer en véritable contre-pouvoir sous sa présidence. Une forme d’intransigeance sur la place que doit occuper la chambre haute dans les institutions reconnues sur tous les bancs. « On le combat comme on doit le combattre, mais ça n’empêche aucunement ses qualités individuelles », expliquait récemment à l’AFP Patrick Kanner, pourtant candidat contre l’intéressé.

« Au Sénat, on ne dit jamais oui par discipline et jamais non par dogmatisme », résume Gérard Larcher dans une formule qu’il aime répéter, quel que soit le contexte. Les faits ne lui donnent pas tort. En août 2022, alors qu’Emmanuel Macron dessine les contours de son Conseil national de la Refondation pour sortir de l’impasse des élections législatives survenues deux mois plus tôt, il adresse un fin de non-recevoir au chef de l’État. Dans un courrier, il étrille une « confusion des rôles » et « une forme de contournement du Parlement ». Soit le premier coup de canif à une initiative présentielle qui aura par la suite du mal à convaincre au-delà de ses soutiens, et dont le sens et l’utilité posent toujours autant question.

« Un président du Sénat ne devrait pas dire ça »

Pas de quoi faciliter ses relations avec Emmanuel Macron, dont il avait interrogé la discrétion dans les mois précédents la présidentielle de 2022. « S’il n’y a pas de campagne, la question de la légitimité du gagnant se posera », avait mis en garde Gérard Larcher, dénonçant un président qui « veut être réélu sans jamais avoir été réellement candidat, sans campagne, sans débat, sans confrontation d’idées ». Une sortie offensive que n’avait pas (du tout) apprécié le locataire de l’Élysée : « un président du Sénat ne devrait pas dire ça ».

Reste que ce rapport de force n’a pas empêché son nom de circuler pour Matignon au printemps dernier, alors que la bataille des retraites démontrait le besoin pour l’exécutif de bâtir des coalitions solides. « Si le président de la République me proposait d’être Premier ministre, je refuserais (…) Je refuserais clairement », balayait au mois de mai le président du Sénat lors d’une interview au Grand Jury RTL/Le Figaro.

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Cité par Le Monde, l’ancien ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, décrypte : « il n’a aucun complexe par rapport à Macron : il était là avant Macron, il sera là après Macron. Larcher est dans un temps qui n’est pas celui de la frénésie macronienne ». Au regard des résultats du jour, Emmanuel Macron devra composer encore trois ans avec ce chasseur expérimenté.

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Le prix Nobel 2023 de médecine décerné à deux chercheurs, pour leurs travaux sur les vaccins à ARN messager

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Sous le feu des projecteurs lors de la pandémie de Covid-19, les vaccins à ARN messager ont révolutionné les technologies jusqu’alors utilisées pour la vaccination.

À l’origine de la technologie utilisée dans les vaccins contre le Covid-19

Le développement des vaccins à ARNmessager doit beaucoup aux travaux pionniers de la biochimiste hongroise Katalin Kariko et du médecin américaine Drew Weissman.  Ces deux chercheurs viennent de recevoir le prix Nobel de médecine 2023 ce lundi 2 octobre à Stockholm « pour leurs découvertes concernant les modifications des bases nucléiques qui ont permis le développement de vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19 », a estimé le comité Nobel.

Ils ont « contribué au développement à un rythme sans précédent de vaccins à l’occasion d’une des plus grandes menaces pour la santé humaine dans les temps modernes ». « Ces vaccins ont sauvé des millions de vies et évité des maladies sévères chez tant d’autres. »

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Les vaccins dits traditionnels reposent sur l’administration d’un petit fragment de virus ou de bactérie atténué ou inactivé, afin de déclencher une réponse immunitaire de l’organisme contre l’agent pathogène.  Dans le cas des vaccins à ARN messager, il s’agit de permettre à certaines cellules de l’organisme de produire elles-mêmes une “copie” de la protéine virale ou bactérienne en question, comme l’explique Sanofi (source 1).

920 000 euros

Même si le grand public n’a entendu parler de cette technologie qu’à partir de 2020, les travaux de ces deux chercheurs sont plus anciens, avec une première publication dans une revue scientifique en 2005. Les ARN messagers (ARNm) sont des molécules essentielles au sein de nos cellules qui font le lien entre l’ADN et l’ensemble des activités biologiques de l’organisme. Ils ont été découverts en 1961, par deux chercheurs français de l’institut Pasteur.

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Le Nobel de médecine est pourvu d’une dotation de onze millions de couronnes, 920 000 euros.

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Macron teste un radar de la gendarmerie durant un déplacement dans le Lot-et-Garonne

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Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (et détesté des automobilistes) - photo d’illustration
CAROLINE BLUMBERG via AFP Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (et détesté des automobilistes) – photo d’illustration

CAROLINE BLUMBERG via AFP

Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (et détesté des automobilistes) – photo d’illustration

POLITIQUE – Pour un flash avec toi… Emmanuel Macron est dans le Lot-et-Garonne, ce lundi 2 octobre, pour y parler sécurité et dévoiler les sites d’implantation de 200 nouvelles brigades de gendarmerie. Une promesse (très attendue) de la campagne présidentielle de 2022.

L’occasion pour le président de la République d’échanger avec des membres des forces de l’ordre… et de se prêter à l’exercice du contrôle routier de vitesse. Après avoir embarqué dans un véhicule de patrouille, comme on peut le lire dans le récit de Sud-Ouest, le chef de l’État s’est arrêté sur le bas-côté en compagnie de plusieurs militaires avant de porter un radar mobile à son œil et de viser quelques véhicules.

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En Lot-et-Garonne, Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (Cnews)
En Lot-et-Garonne, Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (Cnews)

En Lot-et-Garonne, Macron n’a pas pu s’empêcher de tester cet outil bien connu des gendarmes (Cnews)

« Emmanuel Macron en a flashé une à 58 km/h, l’autre à 46 », relate le quotidien local, qui ne précise pas la limitation de vitesse en vigueur dans la zone. Une séquence de quelques secondes également relayée par la chaîne d’informations CNews, comme vous pouvez le voir ci-dessus.

Investir le thème de la sécurité

Après ces travaux pratique, sans doute surprenants pour les automobilistes qui ont vu le président de la République – en costume – pointer son radar dans leur direction, Emmanuel Macron a inauguré la nouvelle brigade de gendarmerie Tonneins, au côté notamment de Gérald Darmanin.

En ce qui concerne les annonces, « il y aura entre une et trois ou quatre brigades par département », en métropole et dans les outre-mer, a expliqué l’Élysée en marge du déplacement du chef de l’État. L’objectif de cette nouvelle implantation est de répondre à « l’attente très forte d’une proximité de la police et la gendarmerie » et de « renforcer le maillage territorial. » Certaines brigades seront fixes, dotées d’une dizaine de gendarmes, mais la majorité seront mobiles, avec environ six militaires. Elles se déplaceront en camion entre les différentes communes des territoires les plus « enclavés » de leur département. Les premières seront installées dès novembre et leur création doit s’étaler jusqu’en 2027.

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À en croire les enquêtes d’opinion, ce déplacement présidentiel intervient alors que la sécurité reste l’une des priorités des Français, encore marqués par les émeutes urbaines consécutives à la mort du jeune Nahel fin juin. Mais la « réponse immense » promise par Emmanuel Macron après ces violences se fait encore attendre. Plusieurs mesures doivent être présentées le 9 octobre lors du Comité interministériel des villes.

Avec ces nouvelles brigades, ce sera « 2 000 gendarmes de plus dans nos campagnes », s’était félicité Gérald Darmanin au printemps dernier, en précisant que le personnel nécessaire pour constituer ces brigades était d’ores et déjà recruté. Au total, ces créations représentent 2 144 postes de gendarmes supplémentaires, sur les 8 500 créations d’effectifs de forces de l’ordre annoncés par le gouvernement d’ici la fin du quinquennat.

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Santé

Seulement cinq jours dans une zone polluée impacte lourdement la santé

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La conclusion de ces chercheurs est préoccupante. Chaque année, entre 140 000 et 150 000 nouveaux accidents vasculaires cérébraux (AVC) surviennent entraînant 31 000 à 32 000 décès. Des scientifiques ont publié une méta-analyse dans la revue Neurology, les conclusions rapportent que l’exposition à la pollution de l’air peut augmenter le risque d’accident vasculaire cérébral dans les cinq jours. « L’impact de la pollution atmosphérique sur la santé humaine s’étend au-delà des poumons et des yeux. Cela implique également le cerveau et le système cardiovasculaire », a souligné le Dr Ahmad Tubasi, chercheur à la faculté de médecine de l’Université de Jordanie, qui a dirigé la recherche. Ce dernier rappelle la nécessité de lutter contre le phénomène de pollution atmosphérique grâce aux « efforts mondiaux ».

Pour parvenir à cette conclusion, les chercheurs ont examiné les données de 110 études observationnelles menées en Asie, en Europe et en Amérique du Nord et du Sud. Ces différentes analyses ont porté sur l’incidence des accidents vasculaires cérébraux, les concentrations de polluants courants (comme le dioxyde d’azote, l’ozone, le monoxyde de carbone et le dioxyde de soufre) présents dans l’air dans les cinq jours suivant un accident vasculaire cérébral. De plus, ils ont examiné l’exposition à différentes particules.

Dioxyde d’azote et monoxyde de carbone

Quelles conclusions ? Dans le détail, cette étude rapporte que le risque d’accident vasculaire cérébral était près de 30 % plus élevé quand les personnes avaient été exposées au dioxyde d’azote jusqu’à cinq jours auparavant. Ce chiffre est de 26 % concernant l’exposition au monoxyde de carbone, le risque était 26 % plus élevé ; pour le dioxyde de soufre, 15 % plus élevé ; et pour l’exposition à l’ozone, 5 % plus élevée.

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« Il existe une corrélation forte et significative entre les polluants atmosphériques gazeux et particulaires et les taux d’apparition et de mortalité des accidents vasculaires cérébraux. Cette association temporelle étroite souligne l’importance de mettre en œuvre des initiatives mondiales pour élaborer des politiques visant à réduire la pollution atmosphérique », conclut l’étude.

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Booba, accusé de cyberharcèlement par Magali Berdah, interrogé par un juge d’instruction à Paris

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Le rappeur Booba ce 2 octobre, après avoir été entendu à Paris par un juge d’instruction.
Booba / Twitter Le rappeur Booba ce 2 octobre, après avoir été entendu à Paris par un juge d’instruction.

Booba / Twitter

Le rappeur Booba ce 2 octobre, après avoir été entendu à Paris par un juge d’instruction.

JUSTICE – « Comme vous le voyez, je suis en liberté », s’est-il empressé de souligner dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Le rappeur Booba a été entendu ce lundi 2 octobre au matin à Paris par un juge d’instruction, à la suite des accusations portées par Magali Berdah, qui le désigne comme était à la tête d’une campagne de cyberharcèlement qui dure depuis plus d’un an, a indiqué une source proche du dossier.

« Je sors du tribunal, interrogé sur des faits de menaces de mort, de cyberharcèlement et de recel de bien », explique Booba dans la vidéo mise en ligne peu de temps après l’audition. Et d’ajouter, reprenant l’un de ses gimmicks : « Comme vous le voyez je suis en liberté, tout va bien. La piraterie n’est jamais finie. »

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Le rappeur de 46 ans, de son vrai nom Elie Yaffa, est visé par de nombreuses plaintes de la femme d’affaires, âgée de 41 ans et fondatrice de Shauna Events, agence spécialisée dans les relations entre les personnalités issues de la TV et les marques.

En croisade contre les « influvoleurs »

« L’entretien s’est déroulé de manière satisfaisante, et Booba a pu confirmer sa volonté de collaborer devant la justice », a précisé auprès de l’AFP l’entourage de l’artiste. « Il se présente toujours comme un lanceur d’alerte », souligne-t-on de même source, évoquant en creux la dénonciation des « influvoleurs » dont Booba s’est fait une spécialité.

Au moment de l’ouverture de l’information judiciaire, à l’été, un porte-parole de l’agence de communication représentant les intérêts du rappeur avait expliqué à l’AFP qu’il comptait « faire la preuve devant le juge d’instruction qu’il n’y a pas de cyberharcèlement auprès de Magali Berdah et qu’il s’agit d’une stratégie de victimisation » de la part de l’intéressée. Celle-ci a depuis répondu à plusieurs reprises, décrivant un enfer en ligne ayant de nombreuses répercussions sur sa vie.

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Depuis plus d’un an, Booba s’est lancé aux côtés d’un collectif « d’aide aux victimes d’influenceurs » dans une croisade contre ceux qu’il appelle les « influvoleurs », dénonçant de multiples arnaques à l’encontre des internautes. Dans sa ligne de mire, on retrouve donc depuis mai 2022 Magali Berdah, cible d’attaques personnelles et de vidéos non sourcées. Le rappeur a en outre déposé plainte contre X pour dénoncer, selon lui, des pratiques commerciales trompeuses de Shauna Events, engendrant l’ouverture d’une enquête préliminaire en septembre 2022 à Grasse, dans les Alpes-Maritimes.

Magali Berdah bientôt jugée dans une tout autre affaire

Le Pôle national de lutte contre la haine en ligne (PNLH) du parquet de Paris mène depuis juin 2022 des investigations. Booba avait déjà été convoqué dans ce cadre, sans se présenter. Les investigations ont été ensuite confiées à un juge d’instruction à l’été 2023, qui a reconvoqué le rappeur.

Toujours à propos du cyberharcèlement dont « reine des influenceurs » fait l’objet, 28 personnes vont être jugées devant le tribunal correctionnel de Paris en novembre, décembre et janvier pour cyberharcèlement aggravé, menaces de mort ou encore menaces de crime à l’encontre de Magali Berdah.

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Dans une tout autre affaire, celle-ci sera jugée prochainement dans une autre affaire, concernant des malversations financières avant sa carrière dans la téléréalité, ont indiqué ce même jour BFMTV et Le Parisien. Selon ces médias, la « papesse de la téléréalité » aurait été placée en garde à vue la semaine dernière dans les locaux de la police judiciaire de Nice, dans les Alpes-Maritimes, pour des soupçons de « banqueroute » et « blanchiment » remontant à 2014 et 2015.

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Début de la campagne de vaccination contre le Covid-19 : le point en 4 questions clés

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Elle devait débuter le 17 octobre prochain, mais a été avancée à ce lundi 2 octobre par les autorités au vu du rebond épidémique en France depuis mi-août. La campagne de rappel de vaccination contre le Covid-19 a donc commencé, dans une relative indifférence toutefois, notamment du fait de la fin du suivi des indicateurs épidémiques et des tests systématiques.

Qui est concerné ?

Ce rappel de vaccination contre le Covid-19 concerne avant tout les personnes dites fragiles, à risque de forme grave, à savoir :

  • les personnes immunodéprimées ;
  • les personnes âgées de 65 ans et plus ;
  • les personnes présentant des comorbidités (tous âges confondus, y compris bébés, enfants et adolescents) ;
  • les femmes enceintes ;
  • les résidents des EHPADs (Établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) ;
  • les personnes à très haut risque de forme grave (de fait de pathologies particulières) ;
  • les personnes vivant dans l’entourage des personnes immunodéprimées et fragiles.

Mais en théorie, tout le monde peut se faire vacciner. Une condition à respecter toutefois : il faut que la dernière injection de vaccin anti-Covid ou la dernière infection date de six mois ou plus (3 mois pour les personnes immunodéprimées). Pas question de se faire vacciner donc si l’on a attrapé le Covid-19 récemment, en août ou en septembre lors du début du rebond épidémique. Encore faut-il le savoir, avec une infection confirmée par un test positif. En cas de doute, le mieux est de demander conseil à un professionnel de santé, par exemple son pharmacien ou son médecin traitant.

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Quel vaccin est injecté ?

Cette campagne de vaccination est réalisée avec la nouvelle version du vaccin Pfizer-BioNTech, appelée Comirnaty, et adaptée à l’actuel variant majoritaire : Omicron ou plus précisément XBB.1.5. Il s’agit d’un vaccin monovalent, donc actif contre une seule souche, et qui existe en trois dosages adaptés selon l’âge de la personne à vacciner.

Par la suite, le vaccin Nuvaxovid adapté à XBB.1.5 de Novavax pourra être utilisé. Il est attendu pour novembre.

Notons qu’actuellement, aucun vaccin n’utilisant pas la technologie de l’ARN messager et adapté à Omicron XBB.1.5 n’est disponible. D’autres vaccins peuvent être utilisés (VidPrevtyn Beta de Sanofi et Nuvaxovid de Novavax, ancienne version) mais seront potentiellement moins efficaces puisque non dirigés contre le variant actuellement majoritaire dans l’Hexagone.

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Où peut-on se faire vacciner ?

Il est possible de se faire administrer le vaccin, sans ordonnance, en pharmacie, mais aussi auprès d’un médecin, d’un infirmier, d’un chirurgien-dentiste, ou même d’une sage-femme. Notons que pour les résidents d’Ehpad, la vaccination est organisée par l’établissement.

Pourquoi se faire (encore) vacciner ?

Après avoir reçu trois voire quatre injections, on peut légitimement s’interroger sur l’intérêt de se faire vacciner une nouvelle fois contre le Sars-CoV-2, virus responsable du Covid-19.

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Il s’agit à la fois d’une mesure de protection individuelle et collective.

À titre individuel, il s’agit de faire en sorte d’avoir de nouveau les armes, en l’occurrence les anticorps, pour lutter contre le virus lorsque le corps le rencontrera. Le virus ayant muté à plusieurs reprises, une “mise à jour” est en quelque sorte souhaitable, et disponible. En outre, avec l’âge, du fait de pathologies ou d’état de santé particulier, le système immunitaire est moins performant. Un petit “boost” peut donc être bienvenu pour aider le corps à faire face s’il rencontre le virus. Certaines pathologies ou état de santé augmentent aussi le risque de forme grave (diabète, hypertension, obésité importante, grossesse….). S’armer contre le nouveau variant permet donc, pas nécessairement d’éviter d’attraper le Covid-19, mais de diminuer le risque d’être hospitalisé(e).

A titre collectif, la vaccination, qu’elle soit dirigée contre le Covid-19, la grippe ou même le papillomavirus, dont la campagne début également ce 2 octobre, a pour but de protéger les personnes qui nous entourent, notamment les plus fragiles, chez qui la vaccination n’est pas aussi efficace. La vaccination permet également de participer collectivement à la diminution de la propagation d’une maladie, sinon à son éradication.

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Santé

l’angoisse des Parisiens gagne la presse étrangère, à moins d’un an des JO de 2024

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La presse internationale s’inquiète de l’arrivée des punaises de lit dans la capitale française.
Getty Images La presse internationale s’inquiète de l’arrivée des punaises de lit dans la capitale française.

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La presse internationale s’inquiète de l’arrivée des punaises de lit dans la capitale française.

PUNAISES DE LIT – Les punaises de lit à Paris font une mauvaise publicité aux JO 2024. Alors que la capitale doit accueillir pas moins de 16 millions de touristes lors de la compétition, la psychose grandit à mesure que les récits de Parisiens face à redoutables insectes envahissent les réseaux sociaux.

Tant et si bien que les bestioles se font une place dans la presse étrangère, surtout depuis que la mairie de Paris a tiré la sonnette d’alarme et réclamé au gouvernement un « plan d’action » contre ce fléau. Une demande suivie par l’annonce de Clément Beaune de réunir cette semaine les acteurs du transport « pour rassurer et protéger ».

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« Paris la ville des poux ! »

Contrairement à Clément Beaune, les titres internationaux n’ont rien de rassurant sur le sujet. Le journal britannique Daily Mail raconte ainsi « l’invasion » de la capitale par ces « créatures suceuses de sang ». « Elles recherchent le sang humain », renchérit de son côté le quotidien autrichien Die Presse.

Les punaises de lits se nourrissent en effet bien de sang humain, comme le font les moustiques. Leurs morsures forment des piqûres rouges et légèrement gonflées.

« Ces insectes se nichent dans les sommiers, les matelas et les canapés, mais ils ne détestent pas non plus les endroits très fréquentés tels que les restaurants, les théâtres, les cinémas, les bureaux et les hôtels », rapporte le site d’informations italien Il Post, avant de préciser que « la désinfestation peut coûter des milliers d’euros ». « Existe-t-il des alternatives à faible coût pour les éradiquer ? », s’interroge alors le Guardian, avant de poursuivre : « On pourrait tenter de favoriser le retour du prédateur naturel de la punaise de lit. Lequel est ? Le cafard ».

La réputation de ville sale colle à la peau de la capitale, comme le souligne avec un jeu de mots le journal : « Ah, Paris – the City of Lice » (« Ah Paris la ville des poux ! »). Le média britannique raconte ensuite comment « les cinéphiles français sont aux prises avec un fléau de piqûres d’insectes », rapportant que plusieurs Parisiens ont posté sur les réseaux sociaux des photos de morsures « après avoir visité les cinémas des chaînes MK2 et UGC. »

Un phénomène lié aux déplacements des personnes

Avec un peu plus de recul, le Guardian précise que le phénomène ne touche pas que la France. New York a connu sa propre épidémie en 2010 et le Royaume-Uni vient de connaître une augmentation de 65 % d’une année sur l’autre des infestations de punaises de lit, indique son article.

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Alors la presse étrangère cherche des explications. La chaîne CNN en trouve auprès de l’Agence Nationale Sécurité Sanitaire Alimentaire Nationale (Anses), qui lui explique que l’infestation « est principalement due à la circulation des personnes, aux déplacements des populations, au fait que les gens séjournent dans des logements de courte durée et ramènent des punaises de lit dans leurs valises ou leurs bagages ».

« Le ministère de la Transition énergétique indique sur son site Internet que les punaises de lit sont en augmentation, probablement en raison des voyages internationaux et de la résistance aux insecticides », relève à son tour le site Sky News.

Si les punaises s’installent dans les matelas, ce sont surtout les images des transports parisiens qui ont envahi les réseaux sociaux. « Des vidéos effrayantes montrent des punaises de lit rampant sur les sièges du métro parisien, dans des trains à grande vitesse et à l’aéroport Charles-de-Gaulle de Paris », s’inquiète le Daily Mail, photos à l’appui. « Certains voyageurs du métro parisien ou des trains locaux ont insisté sur le fait qu’ils se lèveraient désormais, car ils craignaient de s’asseoir sur leurs sièges », renchérit le Guardian.

La chaîne américaine CNN reprend dans le titre de son article les mots de l’adjoint au maire de Paris Emmanuel Grégoire : « Personne n’est à l’abri ». S’il réclame une action forte du gouvernement, l’adjoint a assuré sur LCI qu’il n’y a toutefois « aucune menace pour les Jeux Olympiques » rappelant que « les punaises de lit existaient avant et elles existeront après ».

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Plainte de Charlotte Arnould, enquête de Mediapart… Le point sur les accusations visant l’acteur

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French actor Gerard Depardieu poses during a photocall for the second season of the French TV show
ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP via Getty Images French actor Gerard Depardieu poses during a photocall for the second season of the French TV show “Marseille” broadcasted and co-produced by US streaming video giant Netflix, on February 18, 2018 in Marseille, southern France. (Photo by ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP) (Photo by ANNE-CHRISTINE POUJOULAT/AFP via Getty Images)

ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP via Getty Images

Gérard Depardieu, ici lors d’une séance photo à Marseille, en 2018.

AGRESSION SEXUELLE – « Je veux enfin vous dire ma vérité. Jamais au grand jamais je n’ai abusé d’une femme. » Ce dimanche 1er octobre, Gérard Depardieu, mis en examen depuis 2020 pour des soupçons de viols et d’agressions sexuelles sur la comédienne Charlotte Arnould, a pris la plume dans Le Figaro pour donner sa version des faits.

« Je ne peux plus consentir à ce que j’entends, ce que je lis sur moi depuis quelques mois. Je croyais m’en foutre, mais non, en fait non. Tout cela m’atteint. Pire encore, m’éteint », écrit l’acteur de 74 ans dans un texte fleuve aux allures de poème, dans la section Opinion du quotidien conservateur.

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« Une femme est venue chez moi une première fois, le pas léger, montant de son plein gré dans ma chambre, assure celui-ci aux lecteurs du Figaro. Avant d’ajouter : Elle dit aujourd’hui y avoir été violée. Elle y est revenue une seconde fois. Il n’y a jamais eu entre nous ni contrainte, ni violence, ni protestation. » Cette femme dont il parle sans la nommer, il s’agit de Charlotte Arnould.

Gérard Depardieu mis en examen en 2020

Gérard Depardieu a été mis en examen en France le 16 décembre 2020 pour « viols » et « agressions sexuelles » après la plainte de la comédienne, qui avait dénoncé fin août 2018 deux viols au domicile parisien de la star. Elle avait obtenu à l’été 2020 que l’enquête, d’abord classée par le parquet de Paris en juin 2019, soit confiée à un juge d’instruction. La Cour d’appel a confirmé la mise en examen en mars 2022.

À l’été 2018, la jeune femme, sur les rails d’une carrière de danseuse, mais souffrant d’anorexie (elle dit peser alors « 37 kg »), change de voie pour se tourner vers le théâtre. À son invitation, elle se rend chez l’acteur, un « ami de la famille », au courant de sa « maladie », qu’elle considérait comme son « petit père du cinéma » et en qui elle avait « forcément confiance ».

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« J’ai toujours vécu en sachant que Depardieu était un proche. Il m’a tenu dans ses bras quand j’étais bébé. Il y avait une confiance et une estime », a expliqué à BFMTV Charlotte Arnould. Elle était alors âgée de 22 ans au moment des faits. « Je me rends chez lui. Et assez rapidement tout bascule », continue-t-elle.

« Je me dis que je suis morte, que ma vie est finie. […] Je me sens morte. Je sais qu’il s’est passé quelque chose de très grave, mais je vais mettre un petit peu de temps pour l’intégrer et le conscientiser. C’est là que je vais faire la démarche d’aller porter plainte », raconte la jeune femme.

Charlotte Arnould rejointe par 13 témoignages

Sa plainte, déposée à Lambesc, dans les Bouches-du-Rhône, fuite dans la presse. Elle raconte avoir eu peur des représailles des soutiens russes de l’acteur. Lorsque sa plainte est classée sans suite, Charlotte Arnould est « effondrée » mais se porte partie civile et l’enquête reprend. En décembre 2021, choquée de voir que « rien ne se passe » et que Gérard Depardieu continue sa carrière « alors que je survis », elle révèle son identité sur Twitter.

Depuis, treize femmes ont témoigné à leur tour dans une longue enquête de Mediapart, publiée au mois d’avril dernier, des violences sexuelles dont elles auraient été témoins ou victimes de la part de l’acteur.

Certaines ont préféré rester anonymes, comme Florence, qui dit ne jamais avoir oublié sa rencontre avec Gérard Depardieu sur le tournage du film Hello Goodbye (2008). « Aaaah ces petits seins », aurait-il lancé en la voyant arriver, avant de mettre « sa main entre [ses] jambes ». Une autre fois, devant plusieurs personnes et au lieu de répéter son texte, il aurait dit « Je vais te lécher ta petite chatte » ou encore « T’aimes te faire défoncer la rondelle ».

Sarah Brooks, avec qui Gérard Depardieu a tourné pour la série Netflix Marseille (2016), se souvient, elle, d’une photo de groupe avec les autres membres du casting, au cours de laquelle le comédien aurait mis la main dans son mini-short. Elle la retire une première fois, puis « lui enlève une deuxième fois et je dis tout fort : « Il y a Gégé qui met sa main dans mon short. » Il a répondu : « Bah quoi, je pensais que tu voulais réussir dans le cinéma ? » Tout le monde a ri, du coup il a continué. J’étais super mal, c’était hyper humiliant », a-t-elle confié à Mediapart.

Les représentations de Gérard Depardieu perturbées

Le site d’investigation, qui précise que l’enquête est le fruit de deux ans de travail, a recueilli de nombreux témoignages similaires. Les faits racontés se seraient déroulés sur le tournage de onze films entre 2004 et 2022, dont La Môme et Disco. Aucune des personnes ayant témoigné n’avait, à l’heure de la publication de l’enquête, porté plainte, mais trois d’entre elles ont apporté leur témoignage à la justice.

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Par le biais de ses avocats qui ont transmis à Mediapart une réponse, Gérard Depardieu a, lui, indiqué ne pas vouloir « répondre à ce véritable réquisitoire, qui brasse pêle-mêle des sujets très divers dont certains relèvent d’appréciations très subjectives et/ou de jugements moraux ».

Au mois de juillet, un témoignage supplémentaire, dévoilé par France Inter, s’est ajouté au dossier. Dans celui-ci, Léa (un nom d’emprunt pour garantir son anonymat) accuse à son tour Gérard Depardieu d’agression sexuelle lors d’un tournage en 2015, alors qu’elle était troisième assistante mise en scène sur un téléfilm.

Après ces différentes accusations, Gérard Depardieu a été écarté au mois de mai de la promotion du film Umami, et plusieurs représentations de son spectacle de chant autour de Barbara ont, elles, été perturbées par des manifestations féministes.

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Santé

Le ticket-restaurant papier va définitivement disparaître avant 2026, promet le gouvernement

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Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, invitée de France Info ce lundi 2 octobre.
France Info Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, invitée de France Info ce lundi 2 octobre.

France Info

Olivia Grégoire, ministre déléguée chargée des PME, invitée de France Info ce lundi 2 octobre.

POLITIQUE – Voilà un bout de papier que vous ne verrez plus dans les prochaines années. Les carnets de tickets-restaurants, très prisés des Français, seront bientôt proposés aux salariés uniquement sous forme dématérialisée. Une mesure qui doit permettre de « simplifier » le travail des restaurateurs, comme l’a expliqué la ministre Olivia Grégoire au micro de France Info ce lundi 2 octobre.

La ministre déléguée chargée des PME, du Commerce, de l’Artisanat et du Tourisme indique en effet que près de 5 millions de salariés en France utilisent les tickets-restaurants mais qu’« un quart des commerces et des restaurants les refusent », notamment parce que la cohabitation du papier et du dématérialisé est lourde à gérer.

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En effet, comme l’explique Capital, les restaurateurs ont vu leurs démarches s’alourdir au début de l’année 2023, puisqu’ils doivent désormais se charger eux-mêmes de transmettre les tickets-restaurants papier aux organismes émetteurs pour en obtenir le remboursement. Un travail administratif qui était auparavant pris en charge par la Centrale du Règlement des titres (CRT), qui a aujourd’hui disparu.

« Nous allons consulter et accompagner les entreprises qui sont encore au papier pour que, avant 2026, nous puissions tout dématérialiser avant 2026. Et on accompagnera aussi les salariés pour qu’ils puissent bénéficier », annonce la ministre.

Vers un plafond des commissions sur les tickets-restaurants

Par ailleurs, les restaurateurs sont amenés à refuser les tickets-restaurants du fait de commissions élevées, alors même « qu’ils manquent de trésorerie », indique Olivia Grégoire. « J’ai missionné il y a plusieurs mois l’Autorité de la concurrence, pour voir si le fonctionnement du marché des tickets resto était équitable. »

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Situées « entre 3 et 5 % », ces commissions pourraient ainsi être plafonnées si un dysfonctionnement était constaté. Un plafonnement qui sera « au plancher plutôt qu’au plafond », promet Olivia Grégoire, alors que les résultats de ce rapport sont attendus dans les jours qui viennent.

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Santé

Taylor Swift n’a pas raté le nouveau match de Kansas City, et cette fois elle n’était pas seule

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Aux côtés de Taylor Swift, il y avait du très beau monde en tribune pour voir s’affronter les Jets de New York contre les Chiefs de Kansas City, parmi eux : Blake Lively, Sophie Turner, Ryan Reynolds et Hugh Jackman.
ELSA / Getty Images via AFP Aux côtés de Taylor Swift, il y avait du très beau monde en tribune pour voir s’affronter les Jets de New York contre les Chiefs de Kansas City, parmi eux : Blake Lively, Sophie Turner, Ryan Reynolds et Hugh Jackman.

ELSA / Getty Images via AFP

Aux côtés de Taylor Swift, il y avait du très beau monde en tribune pour voir s’affronter les Jets de New York contre les Chiefs de Kansas City, parmi eux : Blake Lively, Sophie Turner, Ryan Reynolds et Hugh Jackman.

PEOPLE – Un détour par le stade qui semble presque devenir une habitude. Déjà aperçue dans les tribunes d’un match de football américain la semaine dernière, Taylor Swift a remis ça ce dimanche 1er octobre. Cette fois, la chanteuse américaine était venue avec sa propre équipe pour encourager Travis Kelce.

Alors qu’elle avait été (facilement) repérée à un match des Chiefs de Kansas City, le 23 septembre, Taylor Swift a remis ça à New York pour assister aux performances du footballeur américain, à propos duquel les rumeurs de romances vont bon train.

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Aperçue en tribune, Taylor Swift était accompagnée d’un parterre de stars cette fois-ci. À commencer par l’acteur australien Hugh Jackman. Ce dernier se trouvait sans grande surprise en compagnie de Ryan Reynolds et sa compagne Blake Lively. Deux acteurs désormais inséparables et qui seront prochainement ensemble à l’affiche du film Deadpool 3.

Dans l’entourage de l’interprète de Cruel Summer, se trouvaient également la chanteuse Sabrina Carpenter et l’actrice Sophie Turner, indissociable de la série Game of Thrones, dans laquelle elle a incarné Sansa Stark huit saisons durant.

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Bataille de stars

Devenue en quelques jours la nouvelle coqueluche de la NFL suite à son intérêt soudain pour les Chiefs de Kansas City et son tight end portant le numéro 87, Taylor Swift est depuis scrutée de très près. Sur les réseaux sociaux, le compte de la NFL n’a manqué aucune des réactions de la chanteuse.

Et à choisir entre les images d’un touchdown et la réaction de Taylor Swift à ce dernier, c’est évidemment la réaction enjouée de Taylor Swift et Blake Lively qui a été préférée par le compte de la ligue de football américain.

L’autre star du soir, Travis Kelce, était également très bien accompagnée avant le match. Comme partagé par le compte des Chiefs, l’acteur Paul Rudd était également venu encourager le footballeur américain de 33 ans, en tant que grand amateur de l’équipe de Kansas City, où il a grandi une partie de sa vie.

Petit détail amusant de cette longue soirée de football américain, le MetLife Stadium des Jets de New York qui accueillait la rencontre n’a jamais osé projeter la moindre image de la chanteuse sur les écrans géants, préférant dégainer des images de toute autre célébrité, ainsi que l’a repéré la BBC. Le public a donc pu voir à la place l’acteur Jeremy Strong (Succession, Armageddon Time) dont les images ont été projetées à plusieurs reprises.

La rivalité entre les Jets et les Chiefs s’est aussi poursuivie en tribunes. En raison de l’intérêt soudain de Taylor Swift pour les Chiefs de Kansas City, certains supporters des Jets arboraient des t-shirts gentiment moqueurs où l’on pouvait lire : « De toute façon, qui est Taylor Swift ? ». Pas de quoi empêcher les Chiefs de l’emporter, pour le plus grand plaisir des Swifties.

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