Un homme a été victime d’un arrêt cradiaque ce vendredi 28 avril, alors qu’il se trouvait au deuxième étage de la Tour Eiffel, et a pu être sauvé grâce à une opération su place.
SAMU – Une opération spectaculaire au sommet de la Dame de fer. Un homme a été victime d’un arrêt cardiaque ce vendredi 28 avril, vers 14h40, alors qu’il se trouvait au deuxième étage de la Tour Eiffel, rapportent nos confrères de BFM et TF1.
La victime a pu être sauvée grâce à une prouesse d’un médecin du Samu, qui lui a posé, sur place, un cœur artificiel.
La technique réalisée est celle de l’Ecmo (ou oxygénation extra-corporelle de la membrane), précise TF1, qui permet via une pompe « d’assurer la circulation et l’oxygénation du sang durant l’opération. »
La machine a été posée deux heures, puis deux heures plus tard, l’homme a été conduit vivant à l’hôpital Necker, dans le 15e arrondissement de Paris.
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Capture d’écran de Joël Guerriau, à la tribune du Sénat le 27 juin 2023.
SÉNAT – Voilà dix mois que Joël Guerriau s’est mis en retrait de la vie politique, mis en examen pour avoir drogué la députée MoDem Sandrine Josso dans le but de l’agresser sexuellement. Mais il se pourrait que le sénateur centriste de la Loire-Atlantique revienne dans la partie. Du moins il le voudrait. Selon Ouest France, il a obtenu un entretien avec Gérard Larcher pour discuter d’un éventuel retour au Palais du Luxembourg. Ce dernier a confirmé la programmation du rendez-vous.
Cette discussion avec le président du Sénat est censée avoir lieu « avant la reprise des travaux parlementaires, pour faire le point de la situation », soit avant la rentrée du 1er octobre. « En attendant, Joël Guerriau demeure en retrait de ses activités dans l’attente des progrès de l’enquête en cours, conformément à la demande qui lui en avait été faite par le président du Sénat dès sa mise en examen », a déclaré le Sénat dans un communiqué.
Mais du côté d’Horizons, l’ancien parti du sénateur, cette nouvelle n’est pas accueillie favorablement. Dans la matinale de TF1 ce mercredi 18 septembre, Arnaud Robinet, maire Horizons de Reims, interrogé à ce sujet, a clairement annoncé que le parti ne souhaite pas le retour de Joël Guerriau. « On a été très clair, nous ne souhaitons pas son retour au Sénat et qui plus est au sein du groupe Horizons », a-t-il déclaré, comme vous pouvez le voir dans l’extrait ci-dessous.
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Après sa mise en examen en novembre 2023, Joël Guerriau a été suspendu de sa famille politique et de son groupe parlementaire, et obligé de « se mettre en retrait » de ses activités de parlementaire. L’enquête est toujours en cours.
Sandrine Josso a dit s’être sentie mal après avoir pris un verre au domicile parisien du sénateur, âgé de 66 ans, avec qui elle n’entretenait pas de relation intime, d’après le ministère public.
Cette affaire de soumission chimique a une résonance toute particulière alors que se tient depuis plusieurs jours le procès des viols de Mazan, qui doit juger Dominique Pelicot et la cinquantaine d’homme qui a violé son épouse, droguée par son mari pendant dix ans.
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La rentrée 2024 rime avec transformation capillaire pour de
nombreuses célébrités ! Après Victoria Beckham, Alexandra Lamy ou encore Iris Mittenaere, c’est au tour
d’Adriana Karembeu d’afficher une toute nouvelle coupe de cheveux.
Le 16 septembre dernier, soit la veille de son anniversaire, le
mannequin a créé la surprise en s’affichant avec une chevelure
beaucoup plus courte que d’habitude.
C’est à l’occasion de l’avant-première du documentaire Inside the dream, dans les pas de Thierry Mugler, que
celle qui vient de fêter ses 53 ans est apparue transformée. Vêtue
d’un costume noir, mettant parfaitement en valeur le blond de ses
cheveux, Adriana Karembeu n’est pas passée inaperçue ! Son
changement de tête a également été très remarqué. Adieu la longue
chevelure de sirène, la maman de la petite Nina n’a pas résisté à
l’appel du coiffeur !
Adriana Karembeu coupe ses cheveux : sa nouvelle coiffure
fait sensation
Alors que les longueurs XXL ont très longtemps été sa coiffure
signature, Adriana Karembeu fait désormais sensation avec un
nouveau look capillaire inattendu. Après avoir porté les cheveux
jusqu’en bas du dos pendant des années, l’ex-femme d’Aram Ohanian
arbore une coupe beaucoup plus courte et graphique.
Sa nouvelle coiffure, qui lui arrive à présent juste en dessous
des épaules, a l’art de sublimer son visage. À la fois chic et
moderne, elle met parfaitement en avant son port de tête et apporte
du mouvement à sa chevelure. Ses longueurs floues et effilées
ajoutent une jolie touche de légèreté, pour un résultat à la pointe
de la tendance.
Adriana Karembeu affiche un look plus naturel, qui lui va
à ravir !
À mi-chemin entre la coupe shag et la coupe mulet, cette mise en
beauté donne une allure beaucoup plus naturelle à la chevelure
d’Adriana Karembeu. Ces dernières années, la top-modèle n’hésite
plus à s’afficher avec moins d’artifices, voire pas du tout ! Comme
le 21 août dernier, lorsqu’elle se montrait sans
maquillage au réveil.
Les cheveux encore en pagaille, la tête posée sur son oreiller
blanc et le regard fixé en direction de l’objectif, Adriana
Karembeu souhaitait une bonne journée à ses abonnés. Sur son
visage, pas l’ombre d’une trace de maquillage. La peau nue et le
teint frais, la star affichait un look très naturel, loin des mises
en beauté ultra-sophistiquées auxquelles ses fans sont
habitués.
crédit photo : Shutterstock
Adriana Karembeu : la top-modèle
transformée par la naissance de sa fille Nina
Depuis la naissance de sa fille Nina, en 2018, Adriana Karembeu
est une femme transformée ! “C’est un truc de fou. On dit qu’un
enfant change une vie, mais à ce point ! Je ne suis plus la même
personne”, confiait-elle au micro de France 2. Loin
de l’avoir aidée à se libérer des diktats de la société, son
travail lui a plutôt mis des bâtons dans les roues durant des
années…
“J’exerce un métier qui est très, très égocentrique, je ne
pense qu’à moi. Ce n’est pas très sain finalement. Et quand on a un
enfant, cet égo est ailleurs. Du coup, on se sent libéré, on ne
pense pas qu’à notre petite personne, ça fait du bien”,
poursuivait-elle. Cette nouvelle coupe de cheveux reflète-t-elle
mieux la ‘nouvelle’ Adriana Karembeu ? Une chose est sûre, c’est
qu’elle lui va à merveille !
Oleksandr Usyk, ici au mois de mai 2024, en Arabie saoudite.
PEOPLE – « Chers amis, il y a eu un malentendu. Il a rapidement été résolu. » Ces mots sont ceux du champion de boxe ukrainien Oleksandr Usyk qui, ce mercredi 18 septembre, s’est exprimé en story Instagram à la suite de son arrestation la veille à l’aéroport de Cracovie, en Pologne.
Remerciant d’abord tous ceux qui « se sont sentis concernés », le sportif poursuit à l’adresse de ses 3 millions d’abonnés : « Merci aux diplomates ukrainiens pour leur soutien efficace. Et respect à la police polonaise pour avoir rempli ses obligations, sans se soucier de la taille, du poids, de la gloire ou des emblèmes. »
Capture d’écran Instagram @usykaa
Oleksandr Usyk s’exprime sur son arrestation.
Ce mardi, Oleksandr Usyk a été arrêté à l’aéroport de Cracovie, alors qu’il devait prendre un avion pour Valence, en Espagne, pour commencer un entraînement en vue de son match revanche du 21 décembre prochain contre Tyson Fury, en Arabie saoudite, selon ESPN.
L’arrestation du médaillé olympique, même s’il a rapidement été relâché, a aussitôt interpellé le président ukrainien Volodymyr Zelensky. Sur X (anciennement Twitter), ce dernier a déclaré être « très déçu par cette attitude à l’égard de notre citoyen et champion ».
Il dit avoir « demandé au ministre ukrainien des affaires étrangères, Andrii Sybiha, et au ministre ukrainien de l’intérieur, Ihor Klymenko, d’examiner immédiatement tous les détails de l’incident survenu à l’aéroport de Cracovie ». Un message accompagné d’une photo du champion en compagnie du consul général après la libération du sportif.
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Les détails de l’arrestation d’Oleksandr Usyk n’ont pas été communiqués. Ce samedi, le champion invaincu devrait être présent à Londres où doit se tenir un combat de boxe entre Anthony Joshua et Daniel Dubois dans l’enceinte du Wembley Stadium. La star ukrainienne de la boxe est censée remettre la ceinture IBF au gagnant.
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POLITIQUE – Une mise au point dans un contexte tendu. Michel Barnier, chef d’un gouvernement qui reste à composer, a alerté ce mercredi 18 septembre sur la situation budgétaire « très grave » du pays, qui mérite toute son attention. Ce, alors que des poids lourds de l’ancien gouvernement font monter la pression sur l’actuel Premier ministre, autant sur la question de ses équipes que sur sa ligne.
« La situation budgétaire du pays que je découvre est très grave. (…) Cette situation mérite mieux que des petites phrases. Elle exige de la responsabilité » a jugé Michel Barnier dans une déclaration transmise à la presse, dont Le HuffPost. Il précise avoir « demandé tous les éléments pour en apprécier l’exacte réalité ». Comme pour suggérer que le gouvernement sortant avait -a minima- une responsabilité dans l’état préoccupant des finances du pays.
Ce haussement de ton intervient alors que la veille, Gabriel Attal s’est montré réticent à une participation des députés de son groupe au gouvernement, après que l’idée d’une taxation des plus riches a été évoquée dans la presse pour augmenter les recettes. Le président du groupe Ensemble Pour la République (EPR) à l’Assemblée la conditionne désormais à une clarification de la « ligne politique », notamment sur le plan budgétaire. Gérald Darmanin, qui avait fait fuiter la piste auprès des parlementaires macronistes la veille, est sur la même ligne. Il est « hors de question » d’« entrer » dans un gouvernement que défend cette solution ou même de le « soutenir », a mis en garde Gérald Darmanin sur France 2 ce mercredi.
En réaction, le Premier ministre pose un lapin au parti présidentiel. Une réunion prévue mercredi à 10 h 30 entre Michel Barnier et le groupe EPR pour discuter notamment de ce point, a été « reportée » selon l’entourage du Premier ministre. Aucune nouvelle date n’est prévue à ce stade. Dès mardi soir, l’entourage du Premier ministre avait tenté de calmer le jeu, assurant que toutes les options étaient sur la table pour améliorer l’état des comptes publics, sans que rien ne soit acté à ce stade. Ce qui n’a pas empêché Gérald Darmanin de montrer les dents ce mercredi.
« Mon objectif est de retrouver le chemin de la croissance et de faire progresser le niveau de vie des Français, alors que nous sommes déjà le pays où la charge des impôts est la plus forte », a fait valoir Michel Barnier. Le Premier ministre s’est dit « très concentré sur la constitution prochaine d’un gouvernement d’équilibre, pour traiter avec méthode et sérieux les défis que rencontre notre pays ». Entre les refus de moult personnalités de gauche d’intégrer son gouvernement, les Républicains gourmands qui revendiquent des ministères de poids et le respect de leur « pacte législatif », la situation budgétaire et les coups de pression de Renaissance (et de certains de ses alliés), la constitution du gouvernement Barnier prend des allures de mission impossible.
S’y ajoute le temps qui passe, avec le risque de ne pas réussir à présenter le projet de loi finances dans des délais acceptables. Une présentation le 9 octobre (au lieu du 1er) est désormais envisagée par Matignon, mais sans certitude de pouvoir tenir les délais : à trois semaines de l’échéance, il n’y a toujours aucun ministre de l’Économie et du Budget.
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Ces dernières années, de nombreuses études ont alerté sur la présence de plastique dans notre corps humain. Quand nous mangeons, quand nous utilisons des produits cosmétiques, quand nous cuisinons, les polluants sont partout. Selon les conclusions d’une nouvelle étude publiée le 16 septembre dans la revue JAMA Network Open, des microplastiques microscopiques pénètrent dans notre cerveau… quand nous respirons.
Dans le cadre cette étude, les chercheurs allemands et brésiliens rapportent que huit adultes sur 15 autopsiés présentaient des microplastiques détectés dans le bulbe olfactif, le centre olfactif du cerveau. Précisément, 16 particules et fibres de polymère synthétique ont été identifiées. Si des microplastiques ont déjà été trouvés dans les poumons, les intestins, le foie, le sang, les testicules et, même, le sperme humain, on pensait depuis longtemps que la barrière hémato-encéphalique protectrice du corps pouvait empêcher les particules de pénétrer dans le cerveau.
Mais les résultats de cette nouvelle recherche, suggère qu’il existe « une voie potentielle pour la translocation des microplastiques vers le cerveau » via le bulbe olfactif. « Étant donné que des nanoplastiques beaucoup plus petits pénètrent dans le corps plus facilement, le niveau total de particules de plastique pourrait être beaucoup plus élevé. Ce qui est inquiétant, c’est la capacité de ces particules à être internalisées par les cellules et à modifier le fonctionnement de notre corps », pointe Thais Mauad, professeur associé de pathologie à l’Université de Sao Paolo au Brésil. Dans près de 44 % des cas, le plastique était du polypropylène, l’un des plastiques les plus courants, utilisé dans tous les domaines, depuis les emballages jusqu’aux vêtements et aux accessoires pour la maison rapporte le communiqué.
Mais, comment les microplastiques pénètrent dans le cerveau ?
« Lorsque vous respirez par le nez, votre nerf olfactif échantillonne directement les particules et réagit aux particules que vous inhalez en tant que mécanisme sensoriel direct », a détaillé le Dr Wells Brambl, professeur principal de toxicologie médicale au Long Island Jewish Medical Center à New York. Et d’ajouter : « Le fait qu’il n’y ait pas de barrière hémato-encéphalique à cet endroit conduit à un accès direct au cerveau, et plus important encore, juste au-dessus du nerf olfactif se trouvent les lobes frontaux et préfrontaux, où nous pensons que se trouve le siège de la conscience », a ajouté le Dr Brambl, qui n’a pas participé à l’étude.
D’autres études doivent permettre d’identifier précisément le potentiel dangereux de ces microplastiques. « Compte tenu des effets neurotoxiques potentiels causés par les microplastiques dans le cerveau et de la contamination environnementale généralisée par les plastiques, nos résultats devraient susciter des inquiétudes dans le contexte de la prévalence croissante des maladies neurodégénératives » comme la maladie de Parkinson, la SLA et d’autres maladies rapportent les chercheurs.
Darmanin, avec cette sortie, montre que la tâche de Barnier se complique encore davantage
POLITIQUE – Comment torpiller un nouveau Premier ministre ? Le tuto de Gérald Darmanin. Après avoir fait fuiter, auprès des députés de son groupe, le souhait présumé de Michel Barnier d’augmenter les impôts pour les personnes les plus aisées, le ministre démissionnaire de l’Intérieur enfonce le clou dans la matinale de France 2.
Pour lui, il est « hors de question » d’« entrer » dans un gouvernement qui augmente les impôts ou même de le « soutenir ». « Augmenter les impôts, c’est la facilité », « je ne participerai pas à un gouvernement qui ne soit pas clair sur la question des impôts », a-t-il ajouté ce mercredi. Une façon de mettre la pression sur Michel Barnier, alors que Gabriel Attal doit notamment rencontrer son successeur ce matin à Matignon pour obtenir des clarifications.
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D’après le ministre de l’Intérieur, l’hypothèse d’une augmentation des impôts – défendue par la gauche, mais également de nombreux économistes, comme le gouverneur de la Banque de France – a été évoquée à plusieurs reprises par le Premier ministre.
Bras de fer avec Barnier ?
Une version corroborée par un autre interlocuteur récent du chef du gouvernement au sein de l’ex-majorité présidentielle, qui confirme l’avoir entendu évoquer des augmentations d’impôts « sur les hauts revenus ».
« Des on-dit », assure de son côté l’entourage de Michel Barnier. « Les rumeurs sur la fiscalité sont de pures spéculations. Le Premier ministre analyse la situation budgétaire et aucune option n’est aujourd’hui arrêtée », insiste-t-on de même source. Réponse de Gérald Darmanin : « dans ce communiqué, il ne précise pas qu’il ne souhaite pas augmenter les impôts. »
Ce premier bras de fer engagé par l’ancienne majorité présidentielle avec le nouvel homme fort de Matignon reflète en tout cas toute la difficulté de la tâche qui revient à Michel Barnier. L’ancien « monsieur Brexit » doit préparer un budget qui contrôle de nouveau dérapage du déficit. Mais ses marges de manœuvre, pour cela, apparaissent bien réduites, sans majorité stable et face à la Macronie et à son propre parti qui font de la fiscalité une ligne rouge.
Avec une centaine de membres, l’appui du groupe Renaissance est indispensable au chef du gouvernement pour pouvoir s’installer dans la durée. Charge à lui de les convaincre, sans renier son souhait d’œuvrer pour une meilleure « justice fiscale », une ambition affichée dès ses premières minutes à Matignon. Pas simple.
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Setareh Maleki, ici dans « Les Graines du Figuier sauvage », en salles ce mercredi 18 septembre.
CINÉMA – « Femme, vie, liberté. » Ce mercredi 18 septembre, le mouvement de soutien au peuple iranien s’apprête à résonner haut et fort dans les salles de cinéma avec la sortie des Graines du figuier sauvage, dernier long-métrage du cinéaste iranien en fuite Mohammad Rasoulof, récompensé d’un prix spécial du jury lors du dernier Festival de Cannes.
L’histoire de ce film tourné clandestinement nous emmène à Téhéran, au cœur d’une famille de classe moyenne, dont le patriarche (Missagh Zareh) vient d’être nommé « enquêteur ». Si aux yeux de ses deux filles (Mahsa Rostami etSetareh Maleki), c’est un fonctionnaire comme un autre, dans la réalité ce nouveau poste l’intègre aux rouages de la justice répressive de l’État.
Alors que le mouvement de protestation éclate dans le pays contre l’actuel régime autoritaire en place, sa hiérarchie lui confie une arme à feu pour qu’il se protège. Rangée soigneusement dans le tiroir de sa table de chevet, elle disparaît un beau jour.
Impossible. Qui a bien pu la voler ? C’est forcément l’une de ses filles. Et très certainement la plus grande. Sa nouvelle meilleure amie (Niousha Akhshi) a été aperçue dans l’une des manifestations. Et s’il s’agissait en réalité de sa propre épouse, jouée par l’actrice Soheila Golestani ? Malgré leurs vingt ans de vie commune, le mari est en proie au doute. Et très vite, il sombre dans la paranoïa.
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Comme ceux de beaucoup d’autres alliés du régime, son nom et son adresse ont fuité sur les réseaux sociaux. On veut sa peau. Il en est certain et embarque alors femme et enfants en route vers leur vieille maison de campagne. Ce sera plus « safe ». Vraiment ?
Un thriller social
Au programme du road trip familial improvisé : course-poursuite en voiture, séquestration et chasse à l’homme. Les deux jeunes femmes et leur mère – pourtant loin d’être une révolutionnaire – s’unissent dans ce qui est en train de devenir un étonnant thriller, fait de ressorts aussi déconcertants qu’amusants.
Standing ovation de plusieurs minutes, applaudissements et cris du cœur… À l’issue de la projection cannoise où nous étions en mai dernier, Mohammad Rasoulof et une partie de l’équipe (qui a pu monter les marches) ont reçu un accueil hors du commun. On comprend pourquoi. Le nouveau film du réalisateur d’Au Revoir prône haut et fort le pouvoir et la résilience des femmes iraniennes dans le mouvement actuel de dénonciation du régime et de l’oppression.
Derrière le pitch décrit un peu plus haut, se trame un film social bouleversant qui, à grand renfort de vidéos amateurs (souvent sanglantes) filmées pendant les émeutes de 2022, nous empêche de détourner le regard sur la situation en Iran. Le spectateur revit l’actualité, et notamment la disparition de Mahsa Amini, cette étudiante d’origine kurde arrêtée quelques jours avant sa mort parce qu’on lui reprochait d’avoir mal ajusté son voile.
Mohammad Rasoulof à Cannes
Condamné à la veille du Festival de Cannes à cinq ans de prison pour « collusion contre la sécurité nationale », Mohammad Rasoulof a bien failli ne pas être présent sur la Croisette pour se voir remettre sa récompense des mains du jury présidé par Greta Gerwig.
Après avoir longtemps fait partie de ces artistes iraniens déterminés à rester sur place, le cinéaste a dû se résoudre à l’exil après l’annonce de sa nouvelle condamnation. Au mois de mai, il a pris la fuite sans son passeport, confisqué par les autorités en 2017. Passé par l’Allemagne (où, comme lui, ses actrices se sont exilées après le tournage du film), il était finalement arrivé à temps pour la projection de son film au Palais des festivals.
Une arrivée marquante, ponctuée par un discours fort dans lequel il disait espérer « que tout l’appareil de l’oppression et de la dictature finira par disparaître en Iran ». Son film Les Graines du figuier sauvage, lui, ne va pas s’effacer de nos mémoires. Il donne à son combat un nouvel écho bien au-delà des frontières de son pays.
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L’alcoolest dangereux pour la santé et doit être consommé avec
modération. Cela fait plusieurs décennies que les organismes de
santé publique répète inlassablement ce message. Mais ce neurologue indique qu’il faut aller encore plus
loin en supprimant purement et simplement l’alcool à partir
d’un certain âge pour éviter la perte des capacités
cognitives.
Cela fait bien longtemps que les effets
néfastes de l’alcool sur la santé sont connus. En effet,
dès 1872, est créée en France l’Association française contre l’abus
des boissons alcooliques à l’initiative des membres de l’Académie
de Médecine. Mais au-delà de l’alcoolodépendance,
la consommation même occasionnelle peut poser problème, comme l’a
expliqué un spécialiste.
Ce neurologue préconise d’arrêter l’alcool à partir d’un
certain âge
Le Dr Richard Restak est professeur à l’Université George
Washington, aux États-Unis. Pour ce neurologue, il y a un âge où il faut bannir toutes les boissons
alcoolisées. “Je suggère fortement, si vous avez 65
ans ou plus, d’éliminer complètement et définitivement
l’alcool de votre alimentation.”, a expliqué ce neurologue
reconnu dans des propos qui ont été rapportés dans le magazine Top Santé en janvier
dernier.
“C’est le meilleur moyen de prévenir l’apparition d’une démence.”, a ajouté le professionnel de
santé. Il a ensuite poursuivi en indiquant “que l’alcool est
une ‘neurotoxine directe’ qui endommage le
fonctionnement du système nerveux, y compris le
cerveau.” Cela est dû au fait que la molécule réduit le
volume de la substance blanche. Et c’est celle-ci qui assure la
transmission de l’information entre les différentes zones du
cerveau.
crédit photo : Shutterstock
L’alcool provoque des dommages sur le cerveau
Boire de l’alcool après cet âge augmente le risque de
perte de capacités cognitives
Il existe même une forme de démence directement liée à une consommation
excessive. Le syndrome de Wernicke-Korsakoff est “marqué par une perte sévère de la mémoire
récente et résulte de l’effet direct de l’alcool sur le
cerveau”. Autant dire que pour le Dr Richard Restak, il
est préférable de stopper sa consommation après 65 ans pour éviter
les risques de perte de capacités cognitives.
Ses préconisations vont d’ailleurs dans le même sens que celles
qui sont présentes sur le site de l’Assurance Maladie.
L’organisme de santé prévient tout d’abord qu’“il n’y
a pas de consommation d’alcool sans risque,
mais des consommations à risque plus ou moins élevé.” Et
de la même façon que le neurologue, le site d’Améli introduit des recommandations particulières pour les plus de 65
ans.
Les personnes âgées ont tout
intérêt à stopper leur consommation d’alcool
À partir de cet âge, l’alcool est moins bien toléré par l’organisme. Il est donc important d’adapter sa consommation s’il n’est pas possible
de la stopper complètement. Les personnes qui ont l’habitude de
boire quotidiennement doivent se limiter à un verre par jour en
ayant des jours sans consommation. Ceux qui consomment plus
occasionnellement doivent se limiter à deux verres maximum par
occasion, tout en ayant deux jours sans consommation et un maximum
de sept verres hebdomadaires.
crédit photo : Shutterstock Un
couple de séniors qui trinque
Il est également important de noter les risques d’interactions
ou d’effets indésirables avec certains traitements
médicamenteux. De plus, l’alcool va augmenter le risque de chutes et de confusion mentale. Enfin, l’arrêt de
la consommation chez les personnes âgées peut surtout les aider à
préserver leur autonomie et a de nombreux bénéfices sur leur santé
avec une amélioration globale de leur qualité de
vie.
Les Sims, jeu vidéo culte, va être adapté en film après le succès de « Barbie » et « Super Mario Bros »
CULTURE – Y aura-t-il une piscine sans échelle dans ce film ? C’est officiel : un long métrage basé sur le jeu vidéo culte Les Sims est actuellement en développement, a confirmé mardi 17 septembre Electronic Arts, qui espère reproduire l’engouement suscité par les récentes adaptations des univers de Mario et Sonic au cinéma.
L’entreprise a rendu ce projet public lors d’une conférence à destination des investisseurs, après plusieurs mois de rumeurs. Elle va travailler avec Amazon MGM Studios pour emmener Les Simsvers le grand écran.
Depuis son premier opus sorti en 2000, ce jeu vidéo – où le joueur peut tout personnaliser, du mobilier de la maison jusqu’aux relations de ses avatars – s’est imposé comme une franchise connue dans le monde entier. Les quatre volets sortis en 25 ans totalisent plus de 200 millions d’exemplaires vendus et Electronic Arts prépare actuellement une version multijoueurs.
Un film « très ancré » dans l’univers des jeux
Le film doit être réalisé et co-écrit par Kate Herron, cinéaste connue pour la série Marvel Loki et le feuilleton Netflix Sex Education. Décrits par leur créateur comme une « maison de poupée virtuelle », les jeux de la franchise Les Sims n’ont généralement pas d’objectifs ou d’intrigue spécifique.
Plusieurs générations de joueurs se sont saisies de cet espace de liberté, sans interdit ou norme : le premier jeu permettait déjà des relations homosexuelles et, depuis Les Sims 2, un corps d’homme peut enfanter.
Les détails sur le film sont rares et aucune date de sortie n’a été fixée. Mais le long-métrage sera « très ancré » dans l’univers des jeux et comportera de nombreux éléments de l’histoire des Sims, a assuré Kate Gorman, une responsable d’Electronic Arts, au magazine Variety.
Les producteurs de « Barbie » derrière le projet
LuckyChap, la société de l’actrice Margot Robbie, qui est à l’origine de l’adaptation cinématographique du carton planétaire Barbie, doit produire le film sur Les Sims.
« Nous voulions les bons partenaires et avoir un impact similaire à celui d’un film Barbie est exactement ce que nous désirons », a expliqué Kate Gorman. Le film sur la poupée peroxydée a dominé le box-office mondial l’an dernier. Pas très loin derrière, Super Mario Bros, le film, tiré des aventures du célèbre plombier de Nintendo, s’est imposé comme le deuxième plus gros succès commercial de 2024.
Parmi les autres succès hollywoodiens inspirés récemment par des jeux vidéos, on compte notamment Sonic, le film, sur le hérisson bleu de Sega, et la série The Last of Us.
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Le livre-enquête « Les Ogres », de Victor Castanet, dénonce les dérives des crèches privées.
CRÈCHES – Deux ans après Les Fossoyeurs, où il ciblait les maisons de retraite et le groupe privé d’Ehpad Orpéa, le journaliste Victor Castanet épingle, dans Les Ogres (éd. Flammarion), un autre secteur où la rentabilité l’emporte sur l’intérêt et le bien-être des plus vulnérables : celui des crèches.
Et en particulier les crèches détenues par de grands groupes privés, où se multiplient les « comportements inappropriés » et les « maltraitances » envers les tout-petits. C’est notamment le cas de People & Baby,pointé du doigt dans plusieurs affaires mettant en cause des professionnels de la petite enfance, l’une ayant causé la mort d’une enfant.
Le HuffPost a demandé à Véronique Escames,auxiliaire de puériculture et co-secrétaire générale du Syndicat National des Professionnel·le·s de la Petite Enfance (SNPPE), de commenter pour nous les retentissements de cette nouvelle enquête accablante.
Le HuffPost. La sortie du livre-enquête du journaliste Victor Castanet sur les dérives des crèches privées fait beaucoup de bruit. Qu’espérez-vous d’une telle médiatisation ?
Véronique Escames. Comme à chaque fois qu’un rapport ou qu’une enquête sort, on espère que cela va faire bouger les choses. Victor Castanet a réussi à en changer certaines avec Les fossoyeursdans le secteur des Ehpad, même si tout n’est pas fait.
Ce n’est pas un livre qui va régler le problème de la petite enfance, en claquant des doigts. Mais s’il peut y avoir une prise de conscience du futur gouvernement et de l’opinion publique, cela fera avancer les choses. C’est l’occasion de remédiatiser encore une fois, de dire et de redire que oui, il y a une forme de maltraitance dans les structures, mais que ce ne sont pas les professionnels qui sont en cause. Que c’est une maltraitance institutionnelle. Que l’on piétine nos valeurs toute la journée.
Certains points du livre sont une évidence et ont été rappelés par différents rapports parlementaires, sept au total depuis 2016. Tous font le même constat. Par exemple, qu’il faut revenir sur le Cifam (ndlr : le crédit d’impôt famille, qui permet à des entreprises de réserver des places pour les enfants de leurs salariés, grâce à une incitation fiscale). Cela fait des années qu’on le dit.
Quel bilan faites-vous des actions menées sous les mandats d’Emmanuel Macron concernant la petite enfance ?
Emmanuel Macron a accéléré la déréglementation du secteur de la petite enfance et a accentué sa dégradation, clairement. Il a promis un service public de la petite enfance et un certain nombre de places en crèches, mais pour l’instant il n’a pas dit quels professionnels il allait trouver pour les encadrer, ni avec quelle formation. Sur la création d’un service public de la petite enfance, cela avance très, très doucement, car c’est un énorme chantier.
Le livre de Victor Castanet le montre, la marchandisation n’a rien à faire dans la petite enfance. Il faut que les collectivités locales reprennent leur rôle, ainsi que les associations. Nos enfants ne sont pas là pour qu’on se fasse de l’argent sur leur dos, au détriment de leur accueil, en plus. Si la qualité était là, pourquoi pas, mais ce n’est pas le cas.
Il y a beaucoup de recherches qui ont été faites sur le développement de l’enfant ces dernières années. Mais en parallèle, les conditions d’accueil ont été saccagées. Quand on lit le rapport des « 1 000 premiers jours de l’enfant », par exemple, tout ce que l’on a appris, on n’en tient pas compte.
C’est même plutôt l’inverse. Le rapport de l’Igas (en avril 2023) a dit qu’il fallait diminuer la taille des groupes, on n’en est pas là. Qu’il fallait augmenter le taux d’encadrement, on n’en est pas là. Il recommande de recruter des personnes qualifiées et on nous sort un décret qui dit qu’on peut embaucher n’importe qui… Depuis, on nous a promis une évaluation de ce décret, pour savoir combien de structures l’ont utilisé. Mais pour l’instant, nous n’avons pas eu de suite.
Les accusations de collusion entre Aurore Bergé et les lobbys des crèches privées, publiées dans le livre de Victor Castanet – et démenties par l’intéressée –, ont-elles été une surprise pour vous ?
Disons qu’on le ressentait. Il y avait des discours de la Fédération française des entreprises de crèches qui étaient repris parfois, de manière un peu différente, par les différents ministres et par Aurore Bergé… Ce sont des questions qui ont été posées lors de la commission d’enquête. Ce qui est différent, désormais, c’est que l’on sait que Victor Castanet a les documents qui prouvent ce qu’il avance, que ce n’est pas du vent.
Le fait que Matignon fasse appel à une crèche privée low cost, qu’est-ce que ça envoie comme message, pour vous ?
C’est un très mauvais signal. Cela dit que pour eux, n’importe qui peut s’occuper des enfants des autres et qu’à la limite, la qualité et le nombre de professionnels qui sont là, cela n’a pas d’importance.
Et tout ce qui concerne l’éveil des enfants, leur épanouissement, l’observation que l’on peut faire lorsque l’on est dans de bonnes conditions, de potentiellement pouvoir détecter de petits ou gros soucis, la sécurité affective des enfants, tout cela, on s’en moque.
Au moins, cela montre que les enfants des employés de Matignon sont sur le même plan que les autres. Mais c’est difficile de voir le peu de considération qu’on a pour les enfants.
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