Connect with us

Actualités

Autoroute Toulouse-Castres: un opposant délogé de son arbre face au ministère de la Transition écologique | TV5MONDE

Published

on

Un opposant au projet d’autoroute Toulouse-Castres installé depuis 10 jours dans un arbre face au ministère de la Transition écologique, à Paris, en a été délogé dimanche matin par les autorités, a-t-on appris au ministère des Transports, qui invoque la nécessité d’”assurer sa prise en charge médicale”.

Thomas Brail, en grève de la faim depuis début septembre, a été obligé de descendre de son platane par les pompiers équipés d’une nacelle, selon des images diffusées sur les réseaux sociaux.

“La situation de grève de la faim prolongée ainsi que l’annonce d’une grève de la soif imminente faisaient peser un danger majeur pour la santé et la vie même de M. Brail”, a justifié le ministère dans un communiqué.

“Dans ce cadre, les équipes des Pompiers de Paris et de la Préfecture de police sont intervenues et ont assuré sa prise en charge médicale. Cette intervention de protection n’empêchera pas un dialogue de se poursuivre, dans le respect des décisions et principes démocratiques fondamentaux et de l’Etat de droit”, ajoute-t-il.

Advertisement

Un des grimpeurs qui l’accompagnaient a été transféré au commissariat du 7e arrondissement, selon le député (LFI) des Hauts-de-Seine Aurélien Saintoul, qui lui a rendu visite.

Le député n’a pas pu lui parler, mais affirme avoir pu “inspecter les cellules”: “L’idée était de manifester une présence, lui montrer qu’il n’est pas seul”, a-t-il expliqué à l’AFP, saluant sur X (e-Twitter) “de courageux militants, pas des délinquants!”

Contactés par l’AFP, parquet et préfecture de police de Paris n’ont dans l’immédiat pas donné suite.

Thomas Brail s’était installé le 14 septembre dans un arbre situé boulevard Saint-Germain, face au ministère de la Transition écologique (qui regroupe les Transports).

Le collectif “La voie est libre”, qu’il représente, est opposé au projet d’autoroute A69 au nom de l’environnement et du climat, et réclame la suspension des travaux tant que les recours sur le fond ne sont pas épuisés.

Advertisement

Le militant avait été reçu mardi, en vain, par le ministre des Transports Clément Beaune.

En haut de son platane, Thomas Brail a reçu plusieurs visites, dont celle de la climatologue Valérie Masson-Delmotte et du mathématicien et ancien député Cédric Villani.

“Ubac en garde à vue, Thomas hospitalisé, leurs affaires confisquées, l’A69 peut donc se poursuivre en toute bonne conscience”, a réagi dimanche sur le réseau X Sandrine Rousseau (EELV), qui avait également grimpé dans l’arbre au côté du protestataire.

Vendredi, des élus du Tarn et des représentants de l’économie locale ont réaffirmé leur soutien à l’autoroute, le député Renaissance Jean Terlier dénonçant “des minorités agissantes” dans l’opposition au projet.

Pour l’entourage du ministre, “l’A69 est un projet initié de longue date et fortement soutenu par les élus locaux, toutes couleurs politiques confondues”.

Advertisement

Le ministre s’est à nouveau entretenu à ce sujet avec Carole Delga, présidente PS du Conseil régional d’Occitanie, indique le ministère dimanche.

Advertisement
Click to comment

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Actualités

Affaire Bygmalion: fin du procès en appel de Nicolas Sarkozy, décision le 14 février | TV5MONDE

Published

on

Le procès en appel sur les dépenses excessives de la campagne présidentielle perdue de Nicolas Sarkozy en 2012 s’est achevé jeudi à Paris, et la décision a été mise en délibéré au 14 février.

Dans ce procès, le ministère public a requis un an d’emprisonnement avec sursis contre l’ancien chef de l’Etat, qui avait été condamné en première instance à un an d’emprisonnement ferme pour avoir dépassé le plafond légal de dépenses de sa campagne.

Neuf autres personnes étaient rejugées à ses côtés depuis le 8 novembre par la cour d’appel de Paris.

Appelés à la barre, aucun des prévenus n’a souhaité faire de déclaration à la fin du procès.

Advertisement

Contrairement à ses coprévenus, l’ex-chef de l’Etat n’est pas mis en cause pour le système de fausses factures imaginé pour masquer l’explosion des dépenses de sa campagne qui ont atteint près de 43 millions d’euros alors que le plafond légal était de 22,5 millions.

Mais, dans son jugement, le tribunal avait souligné que l’ancien locataire de l’Elysée avait “poursuivi l’organisation de meetings” électoraux, “demandant un meeting par jour”, alors même qu’il “avait été averti par écrit” du risque de dépassement légal, puis du dépassement effectif.

Devant la cour d’appel, Nicolas Sarkozy a, comme lors du premier procès, contesté “vigoureusement toute responsabilité pénale”, dénonçant “fables” et “mensonges”.

Son avocat, Me Vincent Desry, a plaidé vendredi sa relaxe. Selon lui, si Nicolas Sarkozy “n’était pas informé de la fraude, il ne pouvait être informé du dépassement”.

Advertisement
Continue Reading

Actualités

Meublés touristiques: l’Assemblée commence l’examen d’un texte très attendu | TV5MONDE

Published

on

Un texte très attendu, et qu’il faudra attendre encore: les députés ont commencé mercredi soir l’examen d’une proposition de loi visant à réguler les meublés touristiques de type Airbnb, accusés de nuire à la location de longue durée, sans parvenir jusqu’au vote.

L’examen de ce texte transpartisan en première lecture a commencé en début de soirée et s’est achevé à minuit sans que les députés n’aient même adopté l’article 2.

Le texte porté par Annaïg Le Meur (Renaissance) et Iñaki Echaniz (PS) avait été mis une première fois à l’agenda au printemps avant d’être reporté sine die.

Le groupe LR avait décidé la semaine dernière de s’opposer à l’examen simplifié de la proposition de loi, ce qui aurait pu accélérer les débats. Au cours des discussions, les députés LR et RN ont multiplié les manoeuvres – rappels au règlement, prises de parole multiples, demandes de suspension – conduisant à les ralentir.

Advertisement

“Aujourd’hui on a un problème de logement et vous vous amusez à faire des scrutins publics et à nous empêcher de voter”, s’est emporté peu avant minuit M. Echaniz.

Le président de la commission des Affaires économiques, Guillaume Kasbarian, a fustigé ceux qui “ont essayé de faire traîner encore et encore le débat”, mais s’est félicité qu’il y ait “une vraie majorité pour soutenir ce texte”, qui “reviendra en janvier ou en février”.

Tout au long de la soirée, les débats ont opposé la gauche et la majorité à la droite et au RN, hostiles à des mesures qui pénalisent les “petits propriétaires”.

Le député RN Frédéric Falcon a dénoncé “un condensé de vieilles mesures socialistes” multipliant les “normes” et les “hausses d’impôts”. C’est le “RNbnb”, a ironisé le député LFI François Piquemal.

Prudence gouvernementale

La mesure la plus emblématique de la proposition de loi vise à s’attaquer à la “niche fiscale” dont bénéficient les meublés touristiques, avec des taux d’abattement supérieurs à ceux des locations classiques de longue durée (30%).

Advertisement

L’article 3, durci par la commission des lois la semaine dernière contre l’avis du gouvernement, prévoit d’abaisser à 30% le taux d’abattement sur les revenus des meublés de tourisme (contre 71% pour la location meublée classée et 50% pour la location meublée non classée aujourd’hui). Une exception serait retenue en “zone rurale très peu dense” où un taux de 41% supplémentaire (71% au total) pourrait être appliqué.

Dans son propos introductif, le ministre du Logement Patrice Vergriete a dit soutenir “une réforme de la fiscalité locative des bailleurs privés”, avec l’objectif de “mettre fin à des niches fiscales jugées injustifiées”.

Mais il a aussi incité à être “prudent”, rappelant qu’une mission parlementaire sur le sujet avait été confiée à Mme Le Meur et à la députée MoDem Marina Ferrari.

L’avantage fiscal avait déjà fait l’objet d’un bras de fer durant l’examen du projet de budget 2024, avec la promesse de l’exécutif de réduire de 71% à 50% l’abattement en zone tendue.

“Il ne peut pas y avoir de mesure fiscale hors du projet de loi de finance”, a balayé mercredi sous couvert d’anonymat un responsable de la majorité.

Advertisement

Le texte, examiné en première lecture, applique également des obligations de diagnostic de performance énergétique aux meublés de tourisme.

Il prévoit de mettre à disposition des maires une “boîte à outils” pour réguler ces locations touristiques, et leur donne la possibilité d’abaisser de 120 jours à 90 jours par an la durée maximale durant laquelle une résidence principale peut être louée en tant que meublé de tourisme.

Continue Reading

Actualités

Macron veut ‘transformer’ la recherche et ouvrir ‘l’acte 2 de l’autonomie’ des universités | TV5MONDE

Published

on

Emmanuel Macron a annoncé jeudi vouloir, “d’ici dix-huit” mois, “transformer” l’organisation de la recherche française et ouvrir “l’acte 2 de l’autonomie” des universités, dans le cadre d’une “vraie révolution” pour remédier à un “morcellement” qui affaiblit la position mondiale des chercheurs hexagonaux.

“Je souhaite que nous réussissions à transformer nos grands organismes nationaux de recherche”, comme le CNRS, l’Inserm ou l’Inrae, “en de vraies agences de programmes”, qui soient “stratèges” dans leur domaine, a déclaré le chef de l’Etat lors d’une réunion à l’Elysée avec plusieurs dizaines de chercheurs.

Il a énuméré les spécialités dévolues aux organismes transformés: climat, biodiversité et sociétés durables au Centre national de la recherche scientifique (CNRS); santé à l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm); agriculture, alimentation durable, forêt et ressources naturelles associées pour l’Institut national de la recherche agronomique (Inrae); énergie décarbonée au Commissariat à l’énergie atomique (CEA); numérique logiciel à l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique (Inria): spatial au Centre national d’études spatiales (Cnes).

Parallèlement il a plaidé pour donner davantage “d’autonomie” aux universités pour qu’elles “organisent et gèrent la recherche” au niveau local, selon une “logique de site”.

Advertisement

“Ce que je leur propose, c’est d’ici à dix-huit mois d’ouvrir l’acte deux de l’autonomie et d’aller vers la vraie autonomie”, impliquant de “vrais contrats pluriannuels” et “une gouvernance réformée”, a-t-il lancé.

“Il faut avancer sans tabou” sur “les enjeux de gouvernance, de modèle économique et, en effet, bâtir des vrais contrats d’objectifs, de moyens et de performance avec des financements beaucoup plus incitatifs”, a-t-il ajouté.

L’acte un de l’autonomie, sous la présidence de Nicolas Sarkozy, avait donné lieu à un long bras de fer.

Conscient de cet écueil, Emmanuel Macron a plaisanté sur le fait que sa ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Sylvie Retailleau, lui avait “interdit de prononcer le mot” de “statut” pour les personnels car le modifier serait “tout de suite la bronca”. “Tout le monde va se mettre en travers, on n’arrivera à rien faire”, a-t-il acquiescé. “Donc je n’ai pas dit qu’on allait réformer les statuts”, a-t-il ajouté, suscitant les rires du parterre de chercheurs.

Après avoir vanté le bilan des efforts faits depuis sa première élection en 2017 pour remettre la recherche française sur les rails après des décennies de “désinvestissement trop important”, Emmanuel Macron a reconnu que “nous avons vécu des moments difficiles ces dernières années”.

Advertisement

A cet égard, il a évoqué l’”étrange défaite” du vaccin contre le Covid, la France ayant découvert le principe de l’ARN messager mais n’ayant pas su mettre au point le remède.

Il a déploré le “morcellement désordonné” du système de recherche qui “nous prive de nous concentrer sur de grands défis partagés, nous empêche d’être réactifs en cas d’urgence et diminue notre capacité parfois d’être attractif aussi dans le monde”.

Continue Reading

Actualités

Assemblée: un premier revers pour LR, à l’offensive sur l’immigration | TV5MONDE

Published

on

L’Assemblée nationale a rejeté jeudi un texte remettant en cause l’accord franco-algérien de 1968, avant de lancer l’examen d’une réforme constitutionnelle elle aussi proposée par les députés LR, décidés à faire monter la pression sur le camp présidentiel autour de l’immigration.

Quatre jours avant l’arrivée du projet de loi immigration en séance, Les Républicains ont placé ces deux textes en haut de l’affiche de leur journée réservée au Palais Bourbon, avant d’autres sur la santé, le logement ou encore l’éducation.

Sans espoir de les voir adoptés, leur objectif est surtout d’incarner la fermeté aux yeux de l’opinion, face à un gouvernement “sans ambition” sur l’immigration et dont le projet de loi, après son durcissement au Sénat, a été “détricoté” à leurs yeux en commission à l’Assemblée.

Leur proposition de résolution pour mettre fin à l’accord entre la France et l’Algérie, qui confère un statut particulier aux Algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi en France, a été repoussée, avec 151 voix contre et 114 pour.

Advertisement

Au sein du camp présidentiel, seul le groupe Horizons et deux députés isolés du groupe Renaissance ont voté pour ce texte, qui, si jamais il avait été adopté, n’aurait pas eu de valeur contraignante.

Le Rassemblement national a apporté son soutien à l’initiative des LR, à qui tous les groupes de gauche ont, au contraire, reproché d’agiter des “fantasmes” migratoires.

“Demi-mesure”

La députée LR Michèle Tabarot avait plaidé dans l’hémicycle en faveur d’une proposition “très importante”, jugeant que l’accord donnait aux Algériens “un droit quasi-automatique à l’immigration”.

Des députés macronistes ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un “signal” à l’Algérie, mais le groupe Renaissance s’était accordé sur un vote défavorable.

Son oratrice, Huguette Tiegna, a estimé que la révision de l’accord était “nécessaire” mais ne pouvait se faire de manière unilatérale, ce qui serait “une agression envers un pays voisin et ami”.

Advertisement

En revanche, leurs alliés du groupe Horizons ont assumé de voter pour. Une question de “cohérence”, selon leur chef Laurent Marcangeli: l’ancien Premier ministre Edouard Philippe, président d’Horizons, avait prôné en juin la remise en cause de cet accord, soit avant le dépôt du texte de LR.

S’il n’est pas question d’une dénonciation unilatérale, la négociation d’un nouvel avenant “est à l’ordre du jour”, a assuré mercredi Elisabeth Borne.

Après leur premier revers, les députés LR ont commencé à présenter leur deuxième texte, une vaste réforme de la Constitution, sans laquelle légiférer sera vain face à “l’immigration massive”, selon eux.

Ils proposent d’élargir le champ du référendum aux questions d’immigration. Et que des lois organiques adoptées par les deux assemblées ou par référendum puissent déroger aux accords internationaux ou au droit européen.

La droite a déjà essuyé un revers mercredi au Sénat, avec le rejet en commission de ces deux propositions phares.

Advertisement

“Il est temps de revenir à une vision qui redonne aux Français le cours de leur destin”, a estimé jeudi dans l’hémicycle de l’Assemblée le président de LR, Eric Ciotti.

Tous deux présents, les ministres de l’Intérieur et de la Justice, Gérald Darmanin et Eric Dupond-Moretti, n’ont pas fermé la porte sur le volet référendaire de la réforme.

Mais M. Darmanin a fustigé le “double Frexit”, “européen” et “constitutionnel”, que représenterait la dérogation aux règles européennes. “Si vous voulez changer l’Europe, il faut gagner les élections européennes et modifier les traités européens”, a-t-il lancé.

Rétention de sûreté

La réforme de LR prévoit aussi la fin du droit du sol à Mayotte ou encore des quotas annuels plafonnant l’immigration, déterminés par le Parlement.

Rebondissant sur l’actualité, après l’attentat au couteau près de la Tour Eiffel, Eric Ciotti a ajouté un amendement visant à “permettre une rétention de sûreté en centre fermé contre les islamistes qui constituent toujours un danger à leur sortie de prison”.

Advertisement

La gauche a tiré à boulets rouges sur toutes ces propositions. Pour la députée socialiste Cécile Untermaier, elles montrent que “l’extrême droite implante son vocabulaire et ses cadres de pensée au sein de la droite républicaine”.

“Pourquoi courrez-vous derrière les idées du RN? Vous ne les rattraperez jamais”, leur a aussi lancé le député Modem Erwan Balanant.

Si le temps le permet, après l’examen de la réforme constitutionnelle (les niches parlementaires s’arrêtent à minuit précise), LR espère ensuite aller au bout de l’examen d’une proposition de loi visant à former davantage de médecins.

Continue Reading

Actualités

‘Un point précis’ demandé par le gouvernement sur les Ehpad Emera accusés de maltraitances | TV5MONDE

Published

on

La ministre des Solidarités Aurore Bergé a demandé un “point précis” à toutes les agences régionales de santé (ARS) et reste “vigilante” après une plainte pour violences et des informations sur des manquements dans des Ehpad privés du groupe Emera, a-t-on appris jeudi auprès de son entourage.

La numéro un de la CGT Sophie Binet a adressé la semaine dernière une lettre à la ministre dans laquelle elle indique avoir été alertée sur des “violences physiques” et des “manquements” dans plusieurs établissements Emera et réclame une saisine de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas).

“Concernant le groupe Emera, la ministre a demandé un point de situation précis à toutes les ARS”, indique l’entourage d’Aurore Bergé. “Dans le cadre du plan de contrôle des 7.500 Ehpad de notre pays, plus de 67% des établissements du groupe ont été contrôlés ou sont en cours de contrôle.”

“Aucun article 40 (qui enjoint à tout fonctionnaire de signaler tout crime ou délit dont il aurait la connaissance, ndlr) n’a été déclenché à date. Aucune remontée inquiétante n’a été réalisée”, ajoute-t-on de même source. “Comme pour l’ensemble des Ehpad, la ministre est vigilante et met en oeuvre une culture systématique du contrôle qui n’est pas une culture du soupçon vis-à-vis des établissements et des professionnels.”

Advertisement

Fondé en 1987, le groupe, qui compte 7.000 salariés et plus de 100 établissements en France et en Europe, est sous le feu des projecteurs depuis le dépôt de plaintes et des témoignages visant ses Ehpad.

En Gironde, une enquête a été ouverte pour “violences habituelles sur personne vulnérable”, selon le parquet de Bordeaux, après une plainte visant l’établissement “Douceur de France”, à Gradignan.

Contacté par l’AFP, Emera a indiqué avoir recensé, en octobre, cinq plaintes en l’espace de deux ans et précisé qu’”aucune de ces plaintes” n’avait “donné lieu à ce stade à une condamnation ou de mise en cause” de sa responsabilité.

“Nous avons une politique de transparence vis-à-vis des tutelles et d’échange avec les familles dès survenance d’un événement”, a ajouté le groupe, assurant ouvrir systématiquement “des enquêtes internes” et mettre en oeuvre “des actions correctives”.

Advertisement
Continue Reading

Actualités

Périphérique parisien: l’Etat ‘ne validera pas’ la limitation de vitesse à 50 km/h fin 2024, annonce Beaune | TV5MONDE

Published

on

L’Etat “ne validera pas” fin 2024 la limitation à 50 km/h sur le périphérique parisien voulue par la mairie de Paris après les Jeux olympiques, a annoncé jeudi le ministre des Transports, Clément Beaune.

“Je pense que ce n’est pas une bonne idée à court terme d’avoir cette limitation de vitesse” et “à la fin de l’année 2024, nous ne prendrons pas la décision, nous ne validerons pas la décision” de limiter la vitesse à 50 km/h, a-t-il expliqué sur Franceinfo.

La mairie de Paris a expliqué fin novembre sa volonté de limiter la vitesse sur le périphérique à 50 km/h après les Jeux olympiques de l’été 2024, en plus de réserver une des voies au covoiturage – une révolution censée protéger l’environnement mais qui suscite, depuis, une vive polémique politique.

Le périphérique, un des principaux axes urbains d’Europe, est emprunté chaque jour par 1,2 million de véhicules, franciliens en majorité, et circulant à 80% avec pour seul occupant, leur conducteur.

Advertisement

Cette nouvelle limitation de vitesse vise à fluidifier le trafic sur cet axe très embouteillé, en encourageant les Franciliens à éviter l’”autosolisme” et à emprunter les transports en commun.

Cette mesure a surtout pour objectif de réduire la pollution et les nuisances sonores, notamment la nuit pour les 500.000 personnes qui vivent à proximité immédiate de cet axe, souvent dans des quartiers populaires, selon la mairie de Paris.

La vitesse maximale autorisée sur cette ceinture routière de 35 kilomètres qui entoure la capitale depuis 1973, était déjà passée de 90 km/h à 80 en 1993, puis à 70 en 2014. Depuis 2021, la vitesse a par ailleurs été limitée à 30 km/h dans la plupart des rues de la capitale.

Si le périphérique “est géré par la Ville de Paris”, un changement de la limitation de vitesse nécessite “évidemment une validation de l’État”, a fait valoir Clément Beaune, se disant cependant “ouvert” à l’idée d’une voie réservée.

“Je pense que la voie réservée, c’est une bonne chose”, a-t-il noté.

Advertisement

Mais si, en même temps, la limite de vitesse passe à 50 km/h, “je pense que là, vous allez rendre les gens fous”, a-t-il poursuivi.

Les élus de la majorité de gauche de la maire de Paris, Anne Hidalgo, n’ont pas tardé à réagir.

“Plus de 500.000 personnes vivent aux abords du périphérique et en subissent les pollutions tous les jours”, a fait valoir le premier adjoint (PS) Emmanuel Grégoire dans une réaction envoyée à l’AFP.

Comme la voie dédiée au covoiturage, autre projet de la mairie pour le périphérique, la réduction de la vitesse permettrait à ces habitants “de bénéficier d’un air plus respirable et de pouvoir enfin dormir plus sereinement en réduisant les nuisances sonores”, a ajouté M. Grégoire.

“Encore une fois, le gouvernement choisit la petite polémique et cède aux sirènes des lobbies pro-voitures”, a regretté l’adjoint aux mobilités (EELV) David Belliard, pour qui “le passage à 50 km/h est la première étape de la transformation du périphérique en boulevard urbain”.

Advertisement

La position du ministre vis-à-vis d’une “vraie mesure sociale” n’est “pas une surprise, c’est quand même une déception”, a commenté en marge d’un point presse Fatoumata Koné, cheffe des élus écologistes de Paris.

Elle reproche à M. Beaune, “candidat à la mairie de Paris”, une “position politicienne” dont le but est de faire “tordre le bras à la Ville de Paris” plutôt que “d’accompagner” les riverains du périphérique.

Continue Reading

Actualités

Immigration: une renégociation de l’accord franco-algérien de 1968 est à ‘l’ordre du jour’, selon Borne | TV5MONDE

Published

on

Une renégociation d’un accord franco-algérien de 1968, qui confère un statut favorable aux Algériens pour leurs conditions de circulation, de séjour et d’emploi en France, est à “l’ordre du jour”, a affirmé mercredi Elisabeth Borne.

“Dans les conclusions du quatrième Comité intergouvernemental de haut niveau France-Algérie, qui s’est tenu en octobre 2022, nous avions évoqué l’ouverture de discussions en vue d’un quatrième avenant à cet accord. Nous avons des demandes et le gouvernement algérien en a de son côté. C’est donc effectivement à l’ordre du jour”, a déclaré la Première ministre dans un entretien au Figaro, qui lui demandait s’il fallait renégocier ce traité.

L’opposition de droite mais aussi des membres de la majorité macroniste souhaitent la remise en cause par la France de cet accord qu’ils jugent trop favorable aux Algériens en matière d’immigration.

Ce débat survient à quelques jours du début de l’examen, à l’Assemblée nationale lundi, d’un projet de loi controversé sur l’immigration.

Advertisement

Pour démasquer les “faux-semblants” du camp présidentiel sur le plan migratoire, les députés Les Républicains proposeront ainsi dès jeudi, dans une résolution inscrite à l’ordre du jour de l’Assemblée nationale, “la dénonciation, par les autorités françaises, de l’accord franco-algérien du 27 décembre 1968”.

Ce qui a provoqué quelques remous au sein de la majorité présidentielle. Car les députés Renaissance ne voyaient pas d’un mauvais œil l’envoi d’un “signal” à l’Algérie, en remettant en cause le statut favorable accordé à ses ressortissants.

Après un débat interne, le groupe macroniste votera finalement contre, mais les députés du parti allié Horizons de l’ex-Premier ministre Edouard Philippe voteront pour.

Le président Emmanuel Macron lui-même a mis en garde les parlementaires. “Ce n’est pas à l’Assemblée nationale de décider de la politique étrangère de la France”, a-t-il dit mercredi lors du Conseil des ministres, selon une participante.

Cet accord bilatéral signé le 27 décembre 1968 crée un statut unique pour les ressortissants algériens en matière de circulation, de séjour et d’emploi.

Advertisement

Les Algériens n’ont, depuis, pas de carte de séjour en France mais des “certificats de résidence pour Algérien”, dont 600.000 ont été délivrés en 2022.

Il avait été signé à un moment où la France avait besoin de bras pour soutenir son économie.

Continue Reading

Actualités

Les Républicains affirment qu’ils ne ‘voteront pas’ le projet de loi immigration | TV5MONDE

Published

on

“Nous ne voterons pas le texte du projet de loi (sur l’immigration) tel qu’il a été adopté par la commission des Lois” de l’Assemblée nationale, a prévenu mercredi le président de LR, Eric Ciotti, à cinq jours de son examen dans l’hémicycle.

“Je le dis très clairement: nous ne serons pas les complices de cet échec annoncé”, a poursuivi le député des Alpes-Maritimes lors d’une conférence de presse au siège parisien de son parti, pointant du doigt “un texte au rabais”, “sans ambition” et “qui ne règlera au final rien”.

Entouré des présidents des groupes parlementaires LR au Sénat et à l’Assemblée nationale, Bruno Retailleau et Olivier Marleix, le patron des Républicains a au contraire tressé des louanges à la version du texte telle que votée par la chambre haute mi-novembre. Le projet de loi a ensuite été remanié par la commission des Lois à l’Assemblée nationale. Et, c’est cette nouvelle version qui arrive le 11 décembre dans l’hémicycle du Palais-Bourbon.

Le Sénat avait “considérablement amélioré et abouti à un texte dont j’ai salué la portée et qui marquait des avancées très concrètes, aussi loin qu’on pouvait aller dans le cadre constitutionnel actuel”, a souligné M. Marleix.

Advertisement

A l’époque, il avait pourtant marqué ses réticences à l’égard de cette version.

Interrogé sur d’éventuelles abstentions de la part de députés de son groupe, il a assuré ne pas “raisonner comme ça”.

“À l’heure d’aujourd’hui, je ne vois pas beaucoup de députés au sein du groupe qui sont prêts à valider un mouvement de régularisation massive”, a-t-il expliqué, en faisant valoir que “si des gens ont des problèmes de cohérence interne, c’est à eux qu’il faut poser la question”.

Interrogé sur l’éventuel dépôt d’une motion de rejet, M. Marleix a par ailleurs éludé: “On a jusqu’à 12H30 pour le faire, on verra. Vous saurez ça à 12H15”.

Advertisement
Continue Reading

Actualités

‘Ferme ta gueule!’ Larcher se lâche à propos de Mélenchon | TV5MONDE

Published

on

“Ferme ta gueule!” Gérard Larcher, s’en est vertement pris mercredi au leader de La France Insoumise Jean-Luc Mélenchon, un langage inhabituel du président du Sénat mais relativisé par une partie de la classe politique face aux polémiques suscitées par le tribun de la gauche radicale.

M. Larcher était interrogé par RTL sur un message au vitriol sur le réseau social X de M. Mélenchon traitant la journaliste Ruth Elkrief de “manipulatrice” et affirmant que “si on n’injurie pas les musulmans, cette fanatique s’indigne”.

Le chef de file des insoumis “s’est mis en dehors de l’arc républicain”, a estimé le président LR du Sénat, fustigeant “quelqu’un qui a des millions d’abonnés sur X et qui se comporte de cette manière, qui en quelque sorte par sa parole crée un brasier qui peut enflammer, diviser”.

Alors que la journaliste a dû être placée sous protection policière, M. Mélenchon “montre du doigt (…) et on voit bien avec quelle allusion derrière”, a-t-il ajouté, alors que le leader insoumis est régulièrement accusé de flirter avec l’antisémitisme sur fond de conflit au Proche-Orient.

Advertisement

Exaspéré, M. Larcher a finalement résumé le fond de sa pensée à l’endroit du triple-candidat à l’élection présidentielle: à la question “Vous lui dites quoi ce matin? Tais toi?”, le patron de la chambre haute a répondu “Oui, ferme ta gueule !”.

Ces propos ont, sans surprise, fait vivement réagir chez LFI.

“Le président du Sénat (…) se vautre dans l’indignité la plus complète en direct à la radio (…) Vivement le dry January”, le mois de janvier sans alcool, s’est indignée la chef de file des députés Mathilde Panot.

“Gérard Larcher reprend les mots de Jean-Marie le Pen”, a dénoncé le coordinateur de LFI Manuel Bompard tandis que le député Aurélien Saintoul dénonçait un Gérard Larcher “grossier, inepte”.

“Message clair et fort”

Tout en dénonçant la forme des propos de M. Larcher, la majorité a montré une certaine compréhension sur le fond.

Advertisement

“Si mes enfants devaient tenir ce genre de propos à propos de n’importe qui, on aurait une discussion un peu serrée”, a reconnu le porte-parole du gouvernement Olivier Véran.

Mais “je peux parfaitement comprendre que dans le moment que nous connaissons, il y ait une forme de ras-le-bol de voir les invectives se succéder de la part de Mélenchon qui, encore une fois, fait prendre des risques à des gens très bien”, a-t-il ajouté.

“La France n’est pas un pays dans lequel un responsable politique peut ainsi insulter un journaliste dans l’exercice de son travail”, a-t-il insisté.

“Le président du Sénat ne devrait pas dire ça”, a jugé le président de la commission des Lois de l’Assemblée Sacha Houlié. “Face aux outrances de Jean-Luc Mélenchon, il appartient à la classe politique d’être un peu plus responsable et de prendre plus de hauteur”, a-t-il plaidé.

Mais il a accusé dans le même temps Jean-Luc Mélenchon “d’être le meilleur tract pour Marine Le Pen avec sa façon de cannibaliser le débat”.

Advertisement

A droite en revanche, le président des Républicains Eric Ciotti a applaudi des deux mains.

“Message clair et fort adressé à Mélenchon. Bravo à Gérard Larcher, on ne pouvait dire mieux”, a réagi M. Ciotti qui a éreinté des Insoumis qui “veulent saper nos institutions” et “détruire la République”.

Après son refus de qualifier le mouvement palestinien Hamas de terroriste, une attitude qui a entraîné la fin de l’union de gauche Nupes avec ses partenaires, M. Mélenchon a multiplié les critiques contre le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), la présidente de l’Assemblée nationale Yaël Braun-Pivet, etc.

Ses détracteurs l’accusent de manier l’ambiguïté antisémite et de multiplier les tensions pour cultiver le vote musulman, et notamment des jeunes de quartiers populaires.

Advertisement
Continue Reading

Actualités

Ultradroite: La Division Martel dissoute après les manifestations dans la Drôme | TV5MONDE

Published

on

Constituée il y a un an par d’anciens membres d’un groupuscule d’ultradroite dissous, la Division Martel a pris fin mercredi: la dissolution de ce groupement a été prononcée en Conseil des ministres, suite aux actions violentes survenues fin novembre dans la Drôme.

Le ministre de l’Intérieur avait proposé le 28 novembre de dissoudre la Division Martel, au lendemain des incidents aux allures d’expédition punitive consécutifs à la mort du jeune Thomas à Crépol (Drôme).

Mercredi, Gérald Darmanin a confirmé sur X (ex-Twitter) qu’il avait été “dissous” en Conseil des ministres.

“Ce groupuscule incite à la violence et à la haine raciale. Il n’a pas sa place dans notre République”, a-t-il écrit.

Advertisement

Lors de son annonce fin novembre, il avait également évoqué deux autres groupuscules d’ultradroite à dissoudre, sans les nommer. Leurs noms seront prochainement dévoilés et leur dissolution arrivera rapidement, a-t-on appris dans l’entourage du ministre.

Selon le décret de dissolution, la Division Martel, constituée durant le second semestre 2022 et comptant une trentaine de membres, prône un combat par la violence “contre les antifas et les personnes issues de l’immigration ou présumées musulmanes” et promeut “le recours à la violence pour favoriser l’avènement d’une suprématie nationaliste et xénophobe”.

“Le groupement propage des idées justifiant la discrimination et la haine envers les personnes étrangères ou les Français issus de l’immigration, notamment par leur assimilation à des délinquants ou des criminels”, indique le décret, ajoutant que “cette idéologie se traduit par une recherche permanente de confrontation se matérialisant par l’organisation d’opérations punitives à l’encontre de ces personnes”.

A l’issue du Conseil des ministres, le porte-parole du gouvernement Olivier Véran a déclaré: “les actions et les appels à la vengeance, les discours de haine de ces groupuscules constituent une menace grave, avérée à l’ordre public et l’Etat se montre intraitable”.

“Parfois très jeunes”

“Il en va de la sécurité de nos concitoyens. Il en va également du maintien de notre État de droit”, a poursuivi M. Véran, mentionnant certains membres comme “jeunes, parfois même très jeunes”.

Advertisement

Gérald Darmanin avait annoncé proposer la dissolution après la manifestation violente de militants à Romans-sur-Isère (Drôme) dans la nuit du 25 au 26 novembre.

Ils s’étaient rendus dans le quartier de la Monnaie, d’où sont issus plusieurs des mis en cause dans la mort de Thomas, 16 ans, poignardé en marge d’un bal dans le village de Crépol. Leur but était d’en “découdre” avec ces jeunes, selon les autorités.

Ils ont été bloqués par les forces de l’ordre, qu’ils ont longuement affrontées, et six personnes ont été immédiatement condamnées par un tribunal correctionnel à des peines de six à dix mois de prison ferme.

Une personne liée à la Division Martel “est soupçonnée d’avoir contribué à la coordination sur place” de cette manifestation violente, mentionne le décret.

“Parce qu’elle a été ferme, la France a évité un scénario de petite guerre civile”, avait assuré le ministre de l’Intérieur, estimant que la mort de Thomas, un “drame ignoble”, ne devait pas “permettre que quelqu’un d’autre s’érige au nom de l’État pour faire justice”.

Advertisement

La Division Martel, connue pour un projet de violences dans les rues de Paris contre des supporters d’origine maghrébine en marge de la demi-finale du Mondial de foot France-Maroc (au Qatar) le 14 décembre 2022, a été impliquée dans l’agression d’un militant antifasciste le 11 mai et dans les mobilisations en septembre contre l’installation d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile à Saint-Brévin-les-Pins (Loire Atlantique).

D’abord appelé Légionnaires Paris, le groupuscule, présent essentiellement en Ile-de-France et constitué entre autres d’anciens membres des Zouaves Paris, avait changé dernièrement de nom en référence à la bataille de Poitiers en 732 au cours de laquelle Charles Martel mit fin à l’invasion arabe, rapporte le décret.

Le gouvernement avait déjà dissous, entre mars 2021 et janvier 2022, trois groupuscules d’ultradroite: les Zouaves Paris, Génération identitaire et l’Alvarium. Les deux derniers avaient déposé des recours en annulation, rejetés par le conseil d’Etat.

Continue Reading

Rencontre ton âme sœur ici

https://www.highcpmrevenuegate.com/xbaz82pgrw?key=dedb9e02254a11c51c4e72640034c775
Advertisement

Derniers Articles

Afrique2 mins ago

polémique sur la nationalité de Moïse Katumbi en pleine campagne électorale

« J’envoie un message à Moïse Katumbi, qu’il vienne dire au peuple congolais s’il est zambien ou pas. On ne peut...

France15 mins ago

Stéphane Plaza accusé de violences conjugales : l’animateur sort du silence pour la première fois : Femme Actuelle Le MAG

Recruté par M6 en 2006 pour prendre les commandes d’une nouvelle émission consacrée à l’immobilier, Stéphane Plaza n’avait jamais présenté...

Santé20 mins ago

les 5 meilleurs dupes de parfums de luxe, vendus 1 euro, à offrir pour Noël

J-18 avant le réveillon de Noël. Les fêtes approchent à grands pas. D’ailleurs, comme la plupart des personnes, vous avez...

International21 mins ago

Egyptian President Abdel Fattah al-Sisi looks to extend iron-fisted rule after ten years in power

Abdel Fattah al-Sisi is the front-runner in Egypt’s upcoming presidential election which will be held from December 10-12. Despite being...

Sports27 mins ago

Lia Walti: Arsenal midfielder is focused on stopping Chelsea and Emma Hayes on Sunday

Arsenal sit three points below leaders Chelsea in the Women’s Super League table going into this Sunday’s match Arsenal last...

International28 mins ago

I’m the former Microsoft VP of HR –  January is the busiest month for job cuts so here are my six must-dos within 48 hours of being laid off

Layoffs can strike anytime, but January is historically the busiest month for job cuts across all industries due to companies...

Afrique33 mins ago

Jean Michel Nintcheu : « Maurice Kamto représente le Souffle de l’Espoir de notre peuple »

Appel à la mutualisation des forces du peuple du changement lors des prochaines élections Chers Compatriotes, Je suis entré en...

Santé45 mins ago

À Paris, les RER fortement perturbés à cause d’une fuite d’eau à Châtelet-les Halles

STEPHANE DE SAKUTIN / AFP Le RER à Châtelet-les Halles (image d’illustration) STEPHANE DE SAKUTIN / AFP Le RER à...

Société48 mins ago

QR codes could also be a gateway to id theft, FTC warns

Westend61 | Westend61 | Getty Pictures You might wish to assume twice earlier than scanning that QR code. The codes...

Divertissements49 mins ago

HITMAN World of Assassination

HITMAN World of Assassination The post HITMAN World of Assassination first appeared on Actu de Jeux videos.

Afrique1 hour ago

Après le Mali, le Burkina abandonne le français comme langue officielle

Le gouvernement burkinabè a adopté mercredi un projet de loi révisant la Constitution et consacrant désormais les langues nationales comme...

France1 hour ago

Densité osseuse : les exercices à faire pour l’augmenter et renforcer ses os, selon des experts : Femme Actuelle Le MAG

Les femmes sont davantage touchées que les hommes par l’ostéoporose. Cette maladie osseuse qui associe à la fois une diminution...

Actualités1 hour ago

Affaire Bygmalion: fin du procès en appel de Nicolas Sarkozy, décision le 14 février | TV5MONDE

Le procès en appel sur les dépenses excessives de la campagne présidentielle perdue de Nicolas Sarkozy en 2012 s’est achevé...

International1 hour ago

French activists urge Biarritz district to drop ‘racist’ name

Activists on Thursday petitioned a French court to change the name of a neighbourhood and street in the seaside resort...

Sports1 hour ago

Bryan Mbeumo injury: Brentford top scorer ruled out for weeks with ‘bad’ ankle knock

Bryan Mbeumo is Brentford’s top-scorer this season with seven goals Brentford top scorer Bryan Mbeumo will be ruled out for...

International1 hour ago

Nationwide slashes mortgage rates AGAIN: Cheapest deal on the market is now 4.29%

Nationwide has reduced its mortgage rates once again, bringing the cheapest deal on the market down to 4.29 per cent. ...

Santé2 hours ago

Ces associations exhortent Macron à renoncer au toit en plomb

MIGUEL MEDINA / AFP Emmanuel Macron se rend sur le chantier de Notre-Dame de Paris ce vendredi 8 décembre. Des associations...

Afrique2 hours ago

Emmanuel Simh : « On peut tous nous mettre en prison, mais le Mrc ne mourra pas »

À la question de savoir si le Mrc, qui va à la prochaine convention sans Alain Fogue, Pascal Zamboue, Olivier...

Société2 hours ago

New Orleans Marsh Hearth Blamed For Deadly Freeway Crashes is Out After Burning For Weeks

NEW ORLEANS (AP) – A cussed, smoky marsh hearth that contributed to deadly automobile crashes on fogbound highways and typically...

Divertissements2 hours ago

Stories in Glass: Winter – Trophies

Stories in Glass: Winter – Trophies The post Stories in Glass: Winter – Trophies first appeared on Actu de Jeux...

Advertisement

Trending