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Des manifestants devant le Parlement géorgiens protestent contre un texte ressemblant à une loi répressive russe, le 17 avril 2024.

INTERNATIONAL – « Non à la loi russe ! » Des milliers de personnes ont manifesté ce mercredi 17 avril en Géorgie contre le vote en première lecture d’un texte sur l’« influence étrangère », comparé à une loi russe répressive sur les « agents de l’étranger » et vu comme un obstacle aux ambitions européennes de ce pays du Caucase.

Le projet de loi, à l’origine de rassemblements massifs depuis le début de la semaine, vient de franchir une étape législative majeure en recevant l’aval des députés du parti du Rêve géorgien, au pouvoir, au cours d’un vote boycotté par l’opposition.

Deux autres lectures devraient suivre, un processus qui pourrait prendre des semaines, d’autant que la présidente géorgienne Salomé Zourabichvili, proeuropéenne et en conflit avec le gouvernement, pourrait ensuite mettre son veto.

Avec cette loi, la Russie persécute les voix dissidentes

Les députés proches du pouvoir disposent cependant d’une majorité suffisante pour le surmonter. Selon ses détracteurs, cette législation est liberticide et pourrait menacer le rapprochement de la Géorgie, une ex-république soviétique, avec l’Union européenne.

Dans la soirée, des milliers de manifestants ont bloqué la circulation sur l’artère principale de la capitale Tbilissi, devant le parlement, où des centaines de policiers antiémeutes avaient été dépêchés. Des vidéos et photos ont circulé sur les réseaux sociaux, comme vous pouvez le voir ci-dessous.

« Non à la loi russe ! », ont clamé les participants, tandis que résonnaient les notes de l’hymne national géorgien et de l’Ode à la joie, un des symboles de l’Europe. Ils étaient environ 20 000 à protester.

Le texte est comparé à la législation russe sur les « agents de l’étranger » utilisée par le Kremlin depuis 2014 pour persécuter les voix dissidentes, les ONG et les médias indépendants.

« Triste journée pour la Géorgie »

« C’est une triste journée pour la Géorgie car notre gouvernement a fait un pas de plus vers la Russie et loin de l’Europe », a estimé une manifestante, Makvala Naskidachvili. « Mais je suis aussi heureuse de voir une telle unité au sein de la jeunesse », a ajouté cette femme de 88 ans. Ces jeunes « sont de fiers Européens et ne laisseront personne gâcher leur rêve européen. »

Lundi et mardi, d’autres rassemblements avaient été organisés. La police antiémeutes avait pourchassé certains manifestants dans les rues étroites autour du parlement, brutalisant ou arrêtant certains. Des médias géorgiens ont assuré que leurs journalistes avaient aussi été malmenés par les forces de l’ordre.

Si le projet de loi est voté, les organisations qui reçoivent plus de 20 % de leur financement de l’étranger seront obligées de s’enregistrer en tant qu’« organisations poursuivant les intérêts d’une puissance étrangère », sous peine d’amendes.

L’intégration dans l’UE menacée

L’UE, qui a accordé en décembre à la Géorgie le statut de candidat, a demandé l’abandon du texte, estimant qu’il va à l’encontre du programme de réformes que ce pays doit entreprendre pour progresser sur la voie de l’adhésion. Le gouvernement géorgien assure pour sa part que le texte vise uniquement à plus de « transparence » dans le financement des organisations.

La Géorgie a pour objectif depuis des années d’approfondir ses relations avec les Occidentaux mais le parti au pouvoir est accusé de vouloir, au contraire, rapprocher ce pays de 3,7 millions d’habitants de la Russie.

Lundi, des députés du pouvoir et de l’opposition en étaient venus aux mains au cours d’un échange sur le texte, provoquant une bagarre dans l’hémicycle. Une première mouture de ce projet de loi avait été abandonnée en mars 2023 après des manifestations massives de protestation qui avaient été dispersées par la police au moyen de gaz lacrymogène et de canons à eau.

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CLIMAT – Des centres commerciaux inondés, un aéroport qui ressemble désormais plus à une piscine et des rues transformées en fleuves. Au lendemain des pluies records qui se sont abattues sur les Émirats arabes unis dans la nuit de mardi, Dubaï est paralysée par des inondations spectaculaires ce mercredi 17 avril.

Trois autres pays du Golfe subissent également de fortes inondations : Bahreïn, le Qatar et Oman, où 18 personnes ont péri. Pourtant ce genre de phénomène est particulièrement rare dans la région, connue pour son climat subtropical aride. Les Émirats arabes unis ont ainsi indiqué ne pas avoir connu des précipitations aussi abondantes depuis 75 ans.

Un an et demi de pluie en 24 heures

Comment expliquer une telle catastrophe ? « Quatre systèmes orageux massifs et très actifs se sont succédé, notamment aux abords de Dubaï qui a recueilli un cumul de pluie de + de 150 mm en 24 heures, exceptionnel pour cette région », a indiqué sur X (ex-Twitter) l’observatoire français des orages Keraunos.

« Il est tombé en une seule journée l’équivalent d’une année et demie de pluie », résume le climatologue américain Colin McCarthy, dans un post sur le même réseau social. Cette quantité dépasse en effet de loin les précipitations annuelles moyennes de 95 millimètres enregistrées à la station météo de l’aéroport international de Dubaï.

Pire encore, dans la ville d’Al Ain, à une centaine de kilomètres au sud de Dubaï, il est tombé « 254,8 mm de précipitations en moins de 24 heures », a indiqué le Centre national de météorologie des Émirats arabes unis (CNM), qui a qualifié cet événement d’« exceptionnel dans l’histoire climatique du pays ».

Des pluies « rendues plus fortes » par le changement climatique

Pour Friederike Otto, maître de conférences en sciences du climat au Grantham Institute de l’Imperial College de Londres, il est probable que le réchauffement climatique ait joué un rôle dans cet évènement météorologique. « Il est très probable que les pluies meurtrières et destructrices à Oman et Dubaï aient été rendues plus fortes par le changement climatique provoqué par l’homme », a-t-il déclaré auprès de l’AFP.

S’il est encore trop tôt pour lier les deux phénomènes, les gouvernements émirati et omanais avaient averti précédemment que le changement climatique risquerait d’entraîner davantage d’inondations. Plus encore, dans son rapport le plus récent, le GIEC exprime clairement que « l’influence humaine, en particulier les émissions de gaz à effet de serre, est probablement le principal moteur de l’intensification observée à l’échelle mondiale des fortes précipitations sur les régions terrestres » ces dernières années.

Anticiper l’intensification générale des catastrophes naturelles

Problème : le réchauffement climatique n’engendre pas seulement des pluies plus intenses. Selon les résultats les plus récents du GIEC, il a aussi des conséquences sur la fréquence et l’intensité d’un large ensemble de catastrophes naturelles : les fortes précipitations, les crues fluviales, les tempêtes, y compris les ouragans pour ce qui concerne leur fréquence seulement, les canicules et les épisodes de sécheresse.

Ainsi, si l’on prend l’exemple des Émirats arabes unis, l’année 2024 est déjà marquée par une pluviométrie record, mais le pays a également récemment enregistré l’année la plus sèche de son histoire, avec seulement 40 mm de précipitations en 2021. Face à cette sécheresse et pour pallier son climat aride exacerbé par le changement climatique, Abou Dabi a relancé ces dernières années ses recherches dans le champ de la géo-ingénierie, et même mené des expérimentations d’ensemencement des nuages, ce qui permet de générer de la pluie sur commande.

Cette solution reste très controversée : la méthode n’est pas encore complètement au point, très énergivore et ses conséquences sont incertaines. En revanche, la communauté scientifique s’accorde sur deux axes pour faire face au changement climatique. D’abord réduire le problème à la source en réduisant les émissions de gaz à effet de serre, ce qui s’applique particulièrement aux pays pétroliers comme les Émirats arabes unis. Ensuite, adapter les territoires pour les rendre résilients : ici par exemple équiper Dubaï d’un meilleur réseau d’évacuation des eaux pluviales ou créer des zones « éponges » autour et en dessous des bâtiments.

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SARAH STIER / Getty Images via AFP

Caitlin Clark (à gauche) a été draftée en première position de la WBNA mais des questions sur son salaire se posent.

INTERNATIONAL – Même la Maison Blanche s’en mêle. L’annonce de l’entrée de Caitlin Clark dans la ligue professionnelle de basket féminin aux États-Unis n’a rien eu d’une surprise. Ce qui l’a été en revanche pour les fans de sport, c’est le salaire que la joueuse va recevoir, jugé bien trop insuffisant.

L’athlète originaire de l’Iowa a bluffé le monde entier lors de sa dernière saison universitaire. Sélectionnée en première position de la WNBA par l’équipe des Indiana Fever, son salaire a été révélé dans la foulée par le site spécialisé Sportrac mardi 16 avril.

Comme vous pouvez le voir ci-dessus, celle qui est adoubée par LeBron James gagnerait 338 000 dollars sur quatre ans, 76 000 dollars la première année. Son salaire augmenterait ensuite chaque année. Mais la somme paraît outrageusement basse si on la compare à celle gagnée par Victor Wembanyama. Le Français, premier de la draft en 2023 côté garçon, a gagné 12 millions de dollars rien que pour la saison 2023-2024, sur les 55 millions prévus en quatre ans.

Des records d’audience et un intérêt redoublé pour la WNBA

De nombreux Américains se sont insurgés de cet écart entre les hommes et les femmes. D’autant que Caitlin Clark a engrangé les records et permis d’atteindre des sommets en termes de visionnage du basket féminin : la finale entre les Iowa Hawkeyes et les South Carolina Gamecocks a fait un record d’audience en réunissant 24 millions de téléspectateurs.

Même Joe Biden a réagi sur X mardi. « Les femmes dans le sport continuent de repousser de nouvelles limites et nous inspirent tous. Mais à l’heure actuelle, nous constatons que même si vous êtes les meilleures, les femmes ne reçoivent pas leur juste part », a-t-il écrit. « Il est temps que nous donnions à nos filles les mêmes opportunités qu’à nos fils et que nous veillions à ce que les femmes reçoivent le salaire qu’elles méritent », a ajouté le président démocrate.

« Caitlin Clark devrait gagner un demi-million de dollars voire plus grâce aux revenus de la WNBA la saison prochaine, en plus de quoi elle aura des partenariats qui dépassent déjà 3 millions d’euros », s’est justifiée la ligue féminine auprès de CBS. La WNBA espère aussi voir ses revenus télé augmenter avec la nouvelle joueuse qui attire tous les regards. Mais il resterait encore un pas de géant entre les salaires des femmes et des hommes.

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ERNESTO BENAVIDES / AFP

Une femme a amené son oncle mort à la banque pour tenter de lui voler son argent (image d’illustration de réais prise à Sao Paulo le 3 octobre 2022).

INSOLITE – Une histoire à peine croyable. Une femme a été arrêtée au Brésil après avoir tenté d’obtenir un prêt dans une banque au nom d’un homme qu’elle poussait dans un fauteuil roulant alors qu’il était décédé, a annoncé ce mercredi 17 avril la police.

Les employés de la banque, située dans le quartier populaire de Bangu, à Rio de Janeiro, ont appelé les urgences, « après avoir soupçonné que l’homme était mort » car il demeurait inerte, a expliqué à Police civile dans un communiqué. Une fois arrivés sur place, les professionnels de santé ont bel et bien confirmé le décès.

La suspecte a été arrêtée en flagrant délit de tentative de vol avec fraude et atteinte à l’intégrité d’un cadavre. Ses avocats réfutent ces accusations. Une enquête est en cours pour établir la cause et le moment du décès. D’après CNN Brésil, l’homme décédé serait son oncle.

Un prêt de 3 000 euros

Selon les médias brésiliens, la suspecte nommée Érika de Souza Vieira Nunes a dit aux employés de la banque qu’elle était la nièce de l’homme de 68 ans et a tenté d’obtenir un prêt de 17 000 réais (environ 3 000 euros) en son nom.

« Elle a essayé de faire semblant qu’il signait des papiers » a affirmé le commissaire chargé de l’enquête, Fabio Luiz, au site d’informations G1.

Dans une vidéo filmée par des employés de la banque et diffusée par les médias locaux, on peut l’entendre dire : « Oncle Paulo, tu m’entends ? Tu dois signer, je ne peux pas le faire à ta place ».

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PIERRE OLIVIER/M6 / PIERRE OLIVIER/M6

Thibault Marchand réagit avec nous à son élimination de « Top Chef », saison 15.

TÉLÉVISION – Il ne sera pas resté invincible. Éliminé dès la première semaine de cette saison de Top Chef, Thibault Marchand a eu droit à une seconde chance avec la brigade cachée. Invaincu pendant quatre épreuves, son parcours s’est définitivement stoppé, ce mercredi 17 avril, sur M6.

Pour le cinquième épisode de la brigade cachée, Thibault s’est retrouvé face à Lise et Shirley, éliminée cette semaine après la tant attendue et redoutée épreuve de la boîte noire. Tous trois se sont affrontés sur une épreuve autour du cordon-bleu. Le candidat breton a misé sur un cordon-bleu au chevreuil, mimolette, lard et champignon.

Si le chef étoilé Pierre Gagnaire et le critique gastronomique François-Régis Gaudry ont salué la « belle cuisson de la viande » malgré l’épaisseur, ils ont regretté que le fromage ne soit pas coulant. Des petits détails qui ont malheureusement coûté sa place à Thibault. Après son élimination, ce dernier a accepté de répondre à quelques-unes des questions du HuffPost :

Le HuffPost : Votre aventure au sein de la brigade cachée se termine ce soir après quatre belles victoires. Quel est votre secret pour remporter ces épreuves ?

Thibault Marchand : On va dire que mon petit secret, c’est d’être sorti des codes de la cuisine « classique » et d’aller un peu dans les sentiers battus. Se creuser la tête pour sortir du lot. Je n’ai fait que des plats assez innovants, assez techniques et des choses qui se font rarement en cuisine. Je pensais que l’originalité et la prise de risque de mon cordon-bleu de chevreuil, mimolette, lard et champignon allaient passer. Malheureusement, il m’a manqué un fromage plus coulant.

Quelle a été votre épreuve préférée ?

Je les ai à peu près toutes kiffées. Après, j’ai deux petits coups de cœur. Le premier, c’est le Wellington de lotte avec une cuisson à l’aveugle compliquée à réaliser. Le deuxième, c’est l’aspic. Je me suis éclaté sur cette épreuve où j’ai pu retranscrire mes voyages en Asie. Je pense que c’est ma meilleure réalisation.

Comment avez-vous réagi en découvrant l’existence de ce concours parallèle ?

Quand on est éliminé, on se dit qu’on aimerait bien avoir une brigade cachée comme l’année dernière. Après la première semaine du concours, j’ai pris un énorme coup de massue et j’ai eu du mal à encaisser le coup. J’ai tenté de vite oublier cette mauvaise passe. Quand la production m’a rappelé, ça a été une réelle surprise et encore plus de voir Pierre Gagnaire.

Justement, que vous a-t-il apporté ?

Dès que je commençais à partir un peu en sucette ou que je voulais vraiment avoir des goûts très explosifs, il a su me calmer et me mettre en garde. Donc j’ai pris note des conseils d’un grand chef. Je ne l’avais jamais rencontré avant, mais on m’avait dit énormément de bien de lui. Ça reste un super chef qui est vraiment lui-même, calme, bienveillant, avec de bons conseils. Ce qu’on voit à la télévision, c’est un copier-coller de ce qu’il est en plateau.

« Ma femme nous a inscrits tous les deux »

Revenons à la toute première épreuve du concours autour de la carotte. Avez-vous des regrets sur cette assiette qui ne vous a pas permis d’intégrer une brigade ?

Dans la première émission de Top Chef, je fais quelque chose d’un peu simpliste aux yeux des chefs. Pourtant, j’avais énormément travaillé la carotte avec plus de huit textures différentes. Ça n’a pas été assez salué. Si j’avais quelque chose à refaire, peut-être que je partirais plus en freestyle, un peu comme j’ai fait dans les épreuves de la brigade cachée. J’aurais peut-être dû mettre plus de twists, avoir des dressages et des goûts plus farfelus.

Si vous aviez eu le choix dans les brigades, laquelle auriez-vous choisie ?

Au début, je ne savais pas vraiment, car j’étais concentré sur mon assiette de carottes. Au final, je pense que mon choix se serait porté sur la brigade orange. Elle m’inspirait et me correspondait plus. J’aime vraiment la cuisine des trois cheffes.

Quelles ont été vos motivations pour participer à Top Chef ?

Il faut savoir que ce n’est pas un concours qui m’intéressait dans la vie. Je ne pensais pas du tout y participer un jour. J’ai reçu un coup de fil de la production pour m’informer que mon dossier de candidature a été retenu. Je suis allé voir ma femme en lui demandant si elle y était pour quelque chose et c’est là où elle m’a informé qu’on était tous les deux inscrits à Top Chef.

On est allés tous les deux jusqu’en finale du dernier casting. Elle n’a pas été prise, mais elle ne ferme pas la porte à une nouvelle participation. De mon côté, j’ai intégré la nouvelle saison. Comme c’était la première fois que je mettais les pieds dans la famille Top Chef, j’ai parlé avec mon ami Danny Khezzar, avec qui j’ai travaillé pendant deux ans. Il m’a donné des conseils simples : rester moi-même, me donner à fond et ne pas avoir peur de tenter.

Que retenez-vous de votre participation ?

Je pense que Top Chef m’a fait grandir, même si je ne suis pas resté longtemps. Quand on est éliminé, on vit une grosse remise en question. Il faut vite relever la tête. La brigade cachée est une deuxième chance où il faut se dépasser. Donc ce que je retiens, c’est le dépassement de soi et de ne pas avoir peur de l’échec.

Quels sont maintenant vos projets futurs ?

Déjà, je vais bientôt devenir papa. Ensuite mon avenir, pour l’instant, c’est de me concentrer sur le restaurant où je travaille, Le Zingue en Suisse. Avant que je parte du restaurant, j’aimerais bien obtenir 15/20 au Gault et Millau. On a déjà obtenu 14/20 en 2023, donc c’est un petit défi. Et peut-être que mon prochain challenge sera d’obtenir cette fameuse étoile Michelin. Seul l’avenir nous le dira, mais en tout cas, je le garde dans un coin de ma tête.

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PAUL ELLIS / AFP

Ruben Dias de Manchester City et Vinicius Junior du Real Madrid lors du match retour en quart de finale de Ligue des Champions le 17 avril 2024.

FOOTBALL – Au bout du suspense. Manchester City et le Real Madrid se sont affrontés ce mercredi 17 avril en quart de finale retour de Ligue des Champions. Toujours à égalité après 120 minutes de jeu, les joueurs ont dû aller jusqu’aux tirs au but pour se départager. Ce sont finalement les Madrilènes qui ont arraché leur qualification en demies (1-1, 4 tab à 3).

L’attente était grande après le match aller fou proposé par les deux équipes une semaine plus tôt et qui s’était terminé par un 3-3. Tout restait à faire lors de la confrontation retour pour les deux ogres européens, présents en demi-finale des trois précédentes saisons.

Le match a commencé à l’avantage des Madrilènes, avec un but de Rodrygo dès la 12e minute. Les Cityzens ont tenté de répondre très vite, mais raté une énorme occasion à la 19e : Haaland, transparent lors du match aller, a trouvé la barre et le ballon a rebondi sur Silva… qui n’a pas cadré.

Égalisation par De Bruyne

Malgré la pression continue des Mancuniens, les Madrilènes n’ont pas lâché. Il a fallu attendre la 76e minute pour que Kevin de Bruyne perce la défense du Real et permette à Manchester de revenir au score. Deux minutes plus tard, il manque le doublé. Rebelote à la 82e, empêchant son équipe de prendre le large.

La prolongation n’a pas plus réussi à désigner un vainqueur. Après 120 minutes, les deux équipes se sont donc affrontées aux ultimes tirs au but. Cette fois, le Real Madrid a pris l’avantage après deux tirs ratés de Silva et Kovacic côté Manchester. Les Madrilènes filent donc en demi-finale en renversant au passage le tenant du titre.

L’autre confrontation du soir voyait s’affronter le Bayern contre Arsenal. Vainqueur 1-0 (2-2 à l’aller), c’est le club allemand qui affrontera le Real au prochain tour.

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Si vous cherchez à perdre des kilos, vous pensez probablement à revoir votre mode de vie. La plupart des personnes se lancent notamment dans des régimes alimentaires restrictifs, sans penser aux problèmes qu’ils cachent. En plus de mener à une privation régulière de nourriture, ils ont tendance à créer de la frustration.

Et une fois qu’ils sont terminés, il est fréquent que les personnes qui ont suivi ces régimes finissent par reprendre du poids. En diététique, ce phénomène a un nom : l’effet yo-yo. Après une perte de poids rapide liée à des restrictions alimentaires, vous reprenez nécessairement beaucoup de poids dès lors que vous recommencez à manger normalement. Alors, la recherche de perte de poids est-elle sans espoir ?

Cet homme a perdu 55 kilos en deux ans et demi

En réalité, il existe plusieurs méthodes alternatives, moins populaires et, pourtant, considérablement plus efficaces pour perdre du poids. C’est ce qu’a récemment partagé un homme, Chris Terrell, dans les médias américains. Il a raconté comment il a pu perdre plus de 50 kilos sans passer par des régimes alimentaires restrictifs.

Cet Américain a connu une perte de poids formidable. Il s’est en effet délesté de 55 kilos au total en seulement deux ans et demi. Selon lui, il a toujours plus ou moins lutter contre la prise de poids. À plusieurs reprises, il s’est essayé à des restrictions alimentaires. Or, ses tentatives se sont toutes soldées par des échecs jusqu’au jour où il a enfin trouvé la solution miracle pour mincir sur le long terme.

crédit photo : Shutterstock Un homme qui se pèse

Une perte de kilos impressionnante sans se priver

Selon Chris Terrell, il a réussi à perdre ses kilos sans se compliquer la vie. « J’ai perdu plus de 55 kilos sans changer mon alimentation, juste en respectant cette règle toute simple », a-t-il ainsi partagé. Sa règle miraculeuse ? Cet homme s’est simplement fixé comme principe de ne plus manger que lorsqu’il a faim. Cette idée peut sembler une évidence, mais ce n’est pas du tout ce qu’il faisait avant de la suivre.

Pendant des décennies, Chris Terrell s’est laissé aller à une consommation excessive de malbouffe. Même lorsqu’il n’avait pas faim, il s’autorisait des en-cas à base de produits transformés, trop sucrés, trop gras ou trop salés. En bref, son alimentation n’était pas vraiment saine. Pour perdre des kilos, il a certes dû ralentir la malbouffe. Toutefois, il ne s’est pas complètement privé des repas qu’il aime le plus.

crédit photo : Shutterstock Une consultation médicale

Un principe simple qui lui a permis de perdre plus de 50 kilos

« Je me suis dit : Je peux manger ce que je veux, mais je dois avoir faim. Et quand je n’ai plus faim, je dois arrêter de manger », a juste expliqué Chris Terrell dans les colonnes de Business Insider. Non seulement cette pratique a été plus facile à gérer que ces précédents régimes. Mais en plus, cette méthode lui a aussi permis de se rendre mieux compte de ses habitudes alimentaires.

crédit photo : Shutterstock Un homme mesure son tour de taille

« Je ne me suis pas privé des aliments que j’aimais, mais si je n’avais pas faim, je me disais d’attendre d’avoir faim et de manger plus tard », a-t-il ajouté. Cette technique de perte de kilos peut sembler surprenante pour beaucoup de personnes. Elle a pourtant fonctionné pour Chris Terrell, ce qui prouve bien qu’il n’existe pas qu’une approche lorsqu’il s’agit de perdre du poids.

Définition : qu’est-ce qu’un furoncle fessier ?

Furoncle ou bouton : quelle différence ?

Furonculose : des furoncles à répétition sur les fesses

Anthrax : un agglomérat de furoncles sur les fesses

Quelles sont les causes du furoncle fessier ?

Le furoncle fessier est-il contagieux ?

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Symptômes : comment savoir si c’est un furoncle fessier ?

Furoncle inter fessier : un risque accru d’abcès et d’autres complications

Faut-il percer un furoncle fessier ?

Furoncle sur la fesse ou l’anus : quand consulter ?

Traitement : comment soigner un furoncle fessier ?

Soigner son furoncle seul(e) avec des antiseptiques

Parfois des antibiotiques sont nécessaires

Un geste chirurgical parfois proposé

Sur le marché de la beauté, la diversité ne manque pas ! Régulièrement, de nouvelles marques viennent enrichir l’offre déjà existante. Mais toutes ne se valent pas dans le cœur des beautystas… Après avoir mené une récente étude, Cosmetify vient de dévoiler le nom de la marque la plus populaire en 2023/2024 dans le monde.

Si de plus en plus de célébrités lancent leur marque, force est de constater que le succès est au rendez-vous. En 2022/2023, c’était Florence By Mills, signée Millie Bobby Brown, qui s’élevait tout en haut de la liste des favorites. Le classement a été bousculé et c’est maintenant une autre star qui voit la popularité de sa marque de cosmétique s’envoler…

Rare Beauty est la marque de cosmétique la plus populaire en 2023/2024

En effet, Rare Beauty, par Selena Gomez, a été désignée comme la plus tendance du moment ! Il faut dire que la chanteuse et actrice n’a rien laissé au hasard depuis sa création en 2020. Absolument viraux sur TikTok, les produits de maquillage et de soin de l’enseigne cumulent des millions, voire des milliards, de vues.

L’année 2024 a bien débuté pour Rare Beauty, suite au lancement de sa toute première collection de soins pour le corps, intitulée Find Comfort. Entre la brume parfumée anti-stress, la crème corps ultra-cocooning, le stylo d’aromathérapie décompressant, ou encore la crème hydratante pour les mains, Selena Gomez donne une nouvelle définition au bien-être.

crédit photo : Instagram / @selenagomez

Rare Beauty : la marque de Selena Gomez multiplie les nouveautés beauté

Plus récemment encore, Selena Gomez a fait sensation en annonçant la sortie d’une nouveauté que toutes les beauty addicts s’arrachent désormais : le Soft Pinch Powder Blush. À mi-chemin entre deux best-sellers de la marque – le blush liquide Soft Pinch et l’highlighter Positive Light Silky Touch – cette pépite ultra-pigmentée a vraiment tout pour plaire !

Prête à tout pour surprendre ses adeptes, Selena Gomez est allée encore plus loin en lançant… une gamme de jouets pour nos compagnons préférés ! Oui, oui, vous avez bien lu. Effectivement, deux produits phares de la marque – le blush liquide Soft Pinch et le Perfect Stokes Volumizing Mascara – ont été transformés en peluches XXL pour nos amis à quatre pas.

crédit photo : Rare Beauty

Au travers de sa marque Rare Beauty, Selena Gomez s’engage toujours plus

Ainsi, Selena Gomez assoit son soutien sans faille à la cause animale. Parce que Rare Beauty, ce n’est pas seulement une marque populaire, c’est aussi le porte-étendard de valeurs fortes depuis la première heure ! Santé mentale, mouvement body positive, causes humanitaires… La star américaine s’impose comme une véritable icône engagée. 

crédit photo : Instagram / @selenagomez

D’ailleurs, 1 % des revenus de Rare Beauty sont directement reversés à sa fondation Rare Impact Fund. Tout porte à croire que l’engagement de la marque, autant que ses produits aux nombreuses qualités, ravissent les beautystas du monde entier. Une alliance prospère grâce à laquelle Rare Beauty est désormais considérée comme la marque la plus populaire de 2023/2024 !

A24

Kristen Stewart et Katy O’Brian dans ce film racontant l’histoire d’une gérante de salle de sport qui tombe amoureuse de Jackie, culturiste ambitieuse. Mais leur histoire va basculer dans une spirale de violence.

CINÉMA – Homophobie, toxicité et violence. Voilà comment résumer la séance cauchemardesque qui s’est déroulée samedi 13 avril lors de la projection en avant-première à Bruxelles du film Love Lies Bleeding, mettant notamment à l’honneur l’actrice Kristen Stewart. Plusieurs jours après les événements, le BIFFF (Brussels International Fantastic Film Festival) sort enfin du silence.

Il aura donc fallu attendre cinq jours et ce mercredi 17 avril pour que l’organisation du festival belge finisse par s’exprimer sur cette séance émaillée d’insultes misogynes et lesbophobes qui ont conduit de nombreuses spectatrices (mais aussi spectateurs) à quitter la salle, traumatisées par les conditions de cette séance qui réunissait un « millier de personnes ».

Il faut dire que le festival belge traîne depuis longtemps la réputation de séances bruyantes et vivantes lors de la découverte des films. Sauf que ce soir-là, certains spectateurs mal intentionnés s’en sont pris à la communauté LGBT présente en nombre pour découvrir ce thriller de la réalisatrice Rose Glass, « très attendu, surtout par la communauté LGBTQIA+ », comme le souligne d’emblée le festival belge.

« Des propos homophobes et lesbophobes ont été tenus par quelques spectateurs et ont suscité de fortes réactions émotionnelles par les membres de la communauté LGBTQIA+ », reconnaissent ensuite les organisateurs, dans un message posté sur X évoquant une « séance compliquée ».

Reconnaissant volontiers des « codes spécifiques » aux séances du BIFFF, « connu mondialement pour son public très expressif », le festival tient toutefois à condamner ces excès « inacceptables » qui ont d’ailleurs conduit à des « réactions de violence physiques isolées tout autant intolérables ».

Applaudissements lors d’une scène de viol

Dans la suite de son message, le festival bruxellois explique que les spectateurs qui ont quitté la salle ont demandé « l’arrêt immédiat » de la séance, car ni les bénévoles, ni la sécurité n’ont été prévenus assez tôt des incidents dans la salle de projection. Ce qui a finalement conduit à l’intervention de la police pour éviter une confrontation entre les spectateurs outrés et ceux à l’origine des propos offensants.

Au regard des événements, le BIFFF affirme avoir été « marqué de façon viscérale », comme toutes les personnes concernées. Et affirme avoir recueilli un maximum de témoignages pour « avoir une vue globale de cet incident ». Le but étant d’éviter une situation similaire à l’avenir.

Le BIFFF assure à ce titre que de nouvelles mesures seront mises en place. Parmi elles, le rappel des règles élémentaires de respect, de partage, et de sécurité avant chaque séance. La moindre des choses quand on sait que de nombreuses personnes présentes ont remis en cause la gestion de cette crise par les organisateurs du festival.

Comme le rapportent plusieurs médias, dont Variety, les nombreuses spectatrices venues découvrir le nouveau film avec Kristen Stewart en vedette ont été initialement surpris de voir entrer un nombre important d’hommes lançant des « commentaires glaçants » ou applaudissant lors d’une scène de viol présente dans le long-métrage.

En réaction, le distributeur du film, Searchers, avait imposé au festival de prendre des mesures urgentes pour « prévenir toute manifestation de discrimination ». Searchers avait également annulé la présence de ses autres films programmés lors de cette édition.

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