Alegue residents are now living in fear and uncertainty after several armed young men stormed the area on Monday, September 25th, 2023, destroying houses.
“As I write, dozens are homeless; we are even scared they will come again,” a source and a victim who preferred not to be named told MMI.
Alegue is a small community (quarter) situated after the Nkwen industrial zone. Nkwen is in Bamenda, the headquarters of Cameroon’s restive North West Region.
Our source has revealed that Alegue has been at the centre of conflict between the indigenes of Nkwen, where Alegue is situated, and Bambili in Tubah Sub-Division.
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Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Both Nkwen and Bambili are in Mezam Division.
“Some unidentified young men reported from Nkwen invaded the community, destroying houses and rendering some people homeless,” an Alegue resident who says he has been living in the area for years told MMI.
Genesis
The conflict between the people of Nkwen and Bambili started in the 1970s. The Anglophone Crisis, which started in 2016, has further exacerbated the inter-tribal conflict among several villages in Cameroon’s English-speaking regions.
Our source told us that the majority of those whose houses have been destroyed are neither from Nkwen nor Bambili. “Some of us are not from the two villages; we only bought plots and built our houses; unknown to us, it was a disputed area,” he told MMI.
“And all through, we haven’t had any confrontation, resistance, or notification during the construction of our houses. Only for us to get into this now, and upon finding out, we are told uncompleted stories,” our source added.
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Conflicts like these have spread and worsened across other villages like Akwaya and some parts of the Momo, Fako, and Ngoh-Ketunjia Divisions.
Administrative silence
For almost a week, dozens of the at least ten houses destroyed are now in the cold.
Victims are now worried about the silence of the authorities regarding their plight.
The Anglophone Crisis has also had an impact on the ability of security forces to quickly intervene and put an end to such conflicts.
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“We could only use temporal things to shield the cold. The strange thing is that no civil administrator or Fon of Bambili and Nkwen has visited us, the victims, to assess the situation,” our source lamented, adding, “We have been left to ourselves.”
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
Mass destruction in Alegue, Nkwen, North West Region of Cameroon.
“Kindly share our story and the pictures for the world to see,” Philip (not his real name) residing in Alegue told MMI.
Fear of the unknown
As Alegue residents go to bed this Sunday night, they have raised serious concerns about their safety. “We heard there might be another invasion tomorrow morning,” Philip told MMI.
As our sources cried for help, they said, “We still hear rumors of another invasion to take place tomorrow, Monday, October 2, 2023, to continue destroying houses.”
“People of goodwill, please come to our rescue,” they told MMI.
Remise en Liberté avortée de Jean Pierre Amougou Belinga & Maxime Eko Eko
Le vendredi soir, le juge d’instruction, chargé de l’enquête au niveau du tribunal militaire, ordonne la mise en liberté provisoire du patron des renseignements, Maxime Eko Eko et de l’homme d’affaires, Jean-Pierre Amougou Belinga. Après quelques heures, une autre note conteste la première décision.
Joint au téléphone, Me Laurent MBONDJE pense qu’une enquête permettra de faire la lumière. « Je pense qu’il faut ouvrir une enquête pour savoir qui est responsable de la propagation de cet acte qui annonce la mise en liberté de Jean Pierre Amougou Belinga et Maxime Eko Eko … Il faut le retrouver, puisque l’auteur présumé de cet acte ne se reconnaît dans cette signature… », déclare l’Avocat au Barreau du Cameroun.
Tous deux restent mis en examen parmi les 14 personnes mises en examen dans ce dossier. L’enquête dans laquelle ils sont inculpés de complicité d’enlèvement et de torture n’est pas encore terminée.
En proie à des coups d’Etat militaire, les responsables de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), devront tabler sur plusieurs sujets le 10 décembre à Abuja.
Après le dernier sommet qui s’est tenu en août et qui avait été entièrement consacré à la situation du coup d’Etat militaire du 26 juillet au Niger, « le prochain sommet ordinaire » de la Cedeao « aura lieu le 10 décembre à Abuja », capitale du Nigeria.
C’est ce qu’indique un communiqué de la présidence ivoirienne publié à l’issue d’une rencontre mercredi à Abidjan entre le chef de l’Etat ivoirien Alassane Ouattara et le président de la commission de l’organisation régionale, Omar Alieu Touray.
Au menu des échanges du 10 décembre prochain, les chefs de d’Etat vont passer en revue la situation dans plusieurs Etats.
Sur les quinze pays membres de la CEDEAO, quatre sont dirigés depuis 2020 par des militaires après des coups d’Etat: le Mali, le Burkina Faso, le Niger et la Guinée.
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Tous ont depuis été suspendus de l’organisation, et ne seront donc pas représentés au sommet d’Abuja.
Le cas de la Sierra Leone sera aussi sur la table des discussions. Une tentative de coup d’Etat a fait 21 morts dimanche dernier dans le pays qui est également membre de la CEDEAO.
Mais les chefs des Etats pourront encore tabler sur l’option militaire au Niger. « Je ne dirais pas que nous avons renoncé à l’option militaire. Nous l’avons suspendue, en attendant que les sanctions donnent des résultats », a déclaré Abdel-Fatau Musah, commissaire aux affaires politiques de la Cedeao, dans un entretien publié jeudi sur le site de Jeune Afrique.
Concernant la période de transition de trois ans, avancée par le général Tiani avant un retour à l’ordre constitutionnel, il a estimé que « beaucoup de choses sont négociables, mais en aucun cas nous n’accepterons une transition de trois ans ».
« De toute façon, le dialogue est pour l’instant rompu. Nous avons essayé de rencontrer (les dirigeants nigériens) et de leur parler. Ils refusent », a-t-il ajouté.
Le président de transition au Gabon effectuera une visite d’amitié et de travail au Cameroun, le mercredi 06 décembre 2023. Après le coup d’Etat au Gabon, le ministre de la communication a publié un communiqué pour condamner le putsch. Et le consultant d’Info TV se demande comment il va regarder le nouvel homme du Gabon qui arrive au Cameroun. « Comment les ministres camerounais vont se comporter devant Oligui Nguema ? Quand on se rappelle que le ministre Sadi s’est fustigé des coups d’État, sur les plateaux TV », déclare-t-il.
« Est ce que les généraux camerounais ne vont pas se dire que nous ressemblons de plus en plus à ce monsieur [Brice Clotaire Oligui Nguema] », ajoute Pierre Blériot Nyemeck, concernant l’arrivée du Président gabonais Brice Clotaire Oligui Nguema au Cameroun.
Libération avorté de Jean Pierre Amougou Belinga et Maxime Eko Eko
« Un jour, un de ces deux groupes va fomenter un gouvernement et faire lire à la Crtv. D’ailleurs, avec la situation actuelle, la Crtv n’est plus crédible en la matière », déclare Pierre Blériot Nyemeck, concernant l’affaire Martinez Zogo.
Après la libération alléguée du Directeur de la DGRE Maxime Eko Eko et de l’homme d’afaffaires Jean Pierre Amougou Belinga, le juge d’instruction militaire Sikati dément l’existence de toute décision émanant de lui relative aux suspects Eko Eko et Amougou Belinga. Qui n’a à ce jour encore aucune ordonnance, ses investigations se poursuivant évidemment.
Pour l’homme politique Cabral Libii cette situation rend indigne le Cameroun. « Les institutions qui rendent un pays digne d’être considéré comme tel, ne peuvent être à ce point manipulées. Si l’ordonnance de mise en liberté n’est pas authentique, le procès-verbal de notification de cette ordonnance qu’on voit ici n’est donc pas authentique non plus ? Si cette ordonnance n’est pas authentique, quelle enquête est immédiatement diligentée pour traquer les auteurs de ce faux, de cet usage de faux, de ce faux en écriture publique? Ceux dont les noms figurent sur le procès-verbal de notification non authentique sont-ils déjà interrogés dans le cadre d’une enquête ? Qui prend la parole pour édifier et rassurer le peuple? Est-il donc clair que désormais chacun doit « couper sa part de pays » ? Le Gabon se rapproche… », écrit le député de la nation.
Pour le journaliste Paul Mahel « à partir de maintenant, les communiqués et autre actes administratifs écrits, lus à la radio ou à la télé n’ont plus de valeur. Si un officiel veut faire une communication, il vient lui-même lire de vive voix au stade devant nous tous ».
S’agissant de la sortie des chefs de la Lekié sur l’hommage de Maurice Kamto au défunt Hubert Mono Ndjana, le cadre et militant du MRC estime que ces derniers n’ont pas parlé au nom de tous les chefs de ce département. « Ces chefs n’ont pas parlé pour tout le département de la Lékié. Ils ont parlé pour leur petit village. Rien n’arrivera au Professeur Kamto et au MRC. Ils n’ont invoqué aucun dieu camerounais, ce qu’ils ont fait c’est du vaudou. Ces chefs sont des rigolos », déclare Roger Justin Noah dans Libre Expression sur Info TV.
Visite du président de transition gabonais
« Oligui Nguema vient au Cameroun pour prendre les leçons chez le président Paul Biya, pour connaître comment se maintenir aussi longtemps au pouvoir », indique Roger Justin Noah dans Libre Expression sur Info TV.
L’information est rapportée par RFI. A en croire la radio française, l’armée malienne a affirmé dimanche avoir repoussé quatre attaques « terroristes » dans quatre localités du nord du pays, dont une dans la ville de Ménaka, encerclée par les djihadistes de l’État islamique.
« Les Forces armées maliennes (Fama) ont repoussé successivement des attaques terroristes contre quatre postes (militaires) dans les localités de Labbezagan, Gossi, Tessalit et Ménaka », dit un communiqué publié dimanche soir.
Le Mali est en proie depuis 2012 aux agissements des groupes affiliés à Al-Qaïda et à l’organisation État islamique, aux violences des groupes proclamés d’autodéfense et au banditisme.
La crise sécuritaire se double d’une crise humanitaire et politique profonde.
Dans les prochains jours, le Cameroun va vacciner les enfants contre le paludisme avec Mosquirix. Le vaccin en question fait polémique et François Bikoro ne trouve pas de problème, même si la polémique enfle au sein de l’opinion publique locale. « Je vous jure que le Cameroun sera ingouvernable d’ici 10 ans. Parce qu’on laisse les gens débattre sur les sujets qu’ils ne maîtrisent pas […] Les questions de santé publique sont des questions de confiance […] Le ministre de la santé ne peut pas importer un vaccin qui va mettre les Camerounais en mal », déclare François Bikoro sur le débat autour de l’importation par le Cameroun, du nouveau vaccin de lutte contre le paludisme, dans Le Grand Débat sur CAM 10 Télévision. Les parlementaires demandent des garanties par rapport à ce vaccin.
Libération avortée de Jean Pierre Amougou Belinga et Maxime Eko Eko
« On a comme impression que le juge d’instruction qui a signé l’ordonnance de mise en liberté provisoire en circulation aurait reçu des pressions politiques », déclare Yaya Bello sur l’affaire Martinez Zogo, dans Le Grand Débat sur CAM 10 Télévision.
Le président bissau-guinéen avait dénoncé samedi, « une tentative de coup d’État ». Après avoir repris la main à Bissau, Umaro Sissoco Embalo a décidé ce lundi, de dissoudre le Parlement, dominé par l’opposition.
Cette option était plus qu’envisagée tant il est vrai que depuis les élections législatives de l’été dernier, la cohabitation est des plus dures et complexes entre le chef de l’État et le Parlement d’opposition victorieux au sein de la plateforme de l’Alliance inclusive-Terra Ranka.
La tentative du coup d’État de la semaine dernière, provoquée par un interrogatoire de police à l’encontre de deux ministres de cette opposition, en est l’illustration.
Tandis qu’ils étaient interrogés, faut-il le rappeler, des éléments de la Garde nationale ont fait irruption dans les locaux de la police judiciaire, jeudi soir, pour les libérer.
Une ingérence des forces de sécurité intolérable pour le président Embalo, qui a donc décidé de faire table rase du paysage politique actuel en provoquant un nouveau scrutin législatif.
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Des élections anticipées pour tenter de ramener un peu de sérénité dans le pays et d’équilibre entre législatif et exécutif.
Invité sur Equinoxe TV, Me Calvin Job, avocat des ayant-droits de Martinez Zogo évoque l’hypothèse d’une tentative d’évasion. « Il s’agissait d’une tentative d’évasion sur la base d’un document apocryphe », déclare l’Avocat dans l’émission droit de réponse sur Equinoxe.
Edmond Kamguia pense que la situation de libération échouée doit être clarifiée. « Il faudrait qu’une communication officielle soit faite, dans la mesure du possible, au niveau du commissaire du gouvernement ou du juge d’instruction pour rassurer les médias et l’opinion publique et dire voici la situation réelle »précise le consultant médias à propos de l’affaire Martinez Zogo dans Droit De Réponse sur Équinoxe TV.
Me Cheikh Ali Assad pense que la sortie du magistrat militaire Sikati est fondée. « Le juge d’instruction peut signer une ordonnance de mise en liberté à 07h, et signer un mandat de détention plus tard, sur la même affaire. C’est cette disposition de la loi qui me fait croire à la sincérité du juge d’instruction, de n’avoir signé aucun document en circulation », déclare le juriste sur l’affaire Martinez Zogo, dans droit de réponse sur Équinoxe Tv.
Alors que l’armée israélienne a étendu ce lundi 4 décembre ses opérations dans toute la bande de Gaza, où le bilan des civils palestiniens s’alourdit considérablement, le président turc, Recep Tayyip Erdoğan affirme que le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahu, serait finalement jugé comme « criminel de guerre » pour l’offensive israélienne en cours dans la bande de Gaza.
Reuters rapporte que dans un discours prononcé lors d’une réunion d’un comité de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) à Istanbul, le président turc a déclaré que Gaza était une terre palestinienne et appartiendrait toujours aux Palestiniens, et a de nouveau qualifié le premier ministre israélien de « boucher de Gaza ».
A rappeler que la trêve à Gaza a volé en éclats vendredi matin 1ᵉʳ décembre.
Dans la foulée, le bureau des médias du gouvernement à Gaza affirme que plus de 700 Palestiniens ont été tués par les frappes aériennes israéliennes dans la bande de Gaza assiégée au cours des dernières 24 heures.