En Algérie, les populations se rendent aux urnes ce samedi 7 septembre 2024 pour choisir leur prochain président.

Algérie : 24 millions d’électeurs aux urnes pour choisir leur président

L’heure a sonné pour la population algérienne de faire un choix judicieux entre le président sortant Abdelmadjid Tebboune, qui a convoqué les élections deux mois avant la fin officielle de son mandat, Youcef Aouchiche, leader du Front des forces socialistes. et Abdelaali Hassani Cherif, chef du Mouvement de la société pour la paix.

Au total, trois candidats ont été officiellement autorisés et déclarés après étude des dossiers. Durant leur campagne, ces concurrents ont principalement mis en avant la défense du caractère social de l’État, ainsi que des thèmes comme la valorisation des potentialités économiques de l’Algérie, le pouvoir d’achat, l’allocation chômage et le revenu universel.

Selon les tendances de la campagne, une forte chance semble être du côté de l’ancien président Tebboune. Initialement, les élections présidentielles devaient avoir lieu en décembre, mais cette date a été modifiée par les autorités. Une initiative qui, selon l’opposition, ne permettrait pas aux différents candidats qui aspirent à briguer le poste de président de déposer leur candidature à temps.

Malgré ces critiques, la nouvelle date a été maintenue et la population se rende aux urnes ce jour sans incident. Les électeurs des régions nomades et du Sud ont voté jeudi. Il est important de souligner que près de 24 millions d’Algériens se rendent aux urnes ce samedi 7 septembre pour élire leur président.

Par ailleurs, il faut noter que le taux de participation à la mi-journée tournait au environ de 13,11 %, d’après l’Autorité nationale indépendante des élections. Mais cette même source précise que l’affluence a été constatée au sein des bureaux de votes quelques heures plus tard. Ouverts à 09 h, les bureaux de votes fermeront rigoureusement à 20 h. Une étape qui permettra aux dirigeants de faire face à d’autres pour la sortie officielle des résultats.

C’est le sentiment de joie que laisse transparaître le sourire d’Hassan Balla, coach des Lionnes U20 qualifiées pour les huitièmes de finale de la Coupe du Monde dans leur catégorie, qui se déroule en Colombie. Dans la nuit du 06 au 07 septembre, les Camerounaises ont arraché leur qualification face à l’Australie avec un score de 2-0, devant des milliers de supporters venus les encourager. Naomi Eto et A. Toko ont inscrit les deux buts de la soirée.

Dans l’interview d’après-match, Hassan Balla pense avoir rectifié le tir, même si quelques erreurs restent à corriger avant d’entamer la phase à élimination directe.

« Félicitations aux filles, nous avons bien joué et gagné, et je suis content. Nous avons perdu contre la Colombie et avons mieux fait aujourd’hui. Ce n’est pas facile de travailler, la météo ne nous est pas favorable. L’équipe a travaillé comme une seule personne et j’apprécie cela […] Nous nous sommes montrés solides en défense, mais notre ligne de front n’a pas vraiment tenu ses promesses. Nous avons travaillé pour améliorer notre côté offensif. Nous avons eu plusieurs occasions de but que nous n’avons pas pu convertir. Nous allons continuer à travailler et j’espère que nous pourrons faire mieux », a-t-il confié aux journalistes après la belle victoire de son équipe.

Le roi Mswati III, de l’Eswatini, anciennement connu sous le nom de Swaziland, va prendre une 16è épouse. Et l’heureuse future épouse se révèle être Nomcebo Zuma, la fille de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma, âgée de 21 ans.

Cette tradition séculaire rassemble des milliers de jeunes femmes qui dansent torse nu, parées de jupes colorées et d’ornements traditionnels, devant le roi et la famille royale.

C’est dans ce cadre hautement symbolique que Nomcebo Zuma, est apparue en tant que « liphovela« , terme désignant la fiancée royale.

Cette union entre la jeune Nomcebo et le roi quinquagénaire soulève des questions sur la perpétuation de pratiques controversées au sein de la monarchie swazi.

Mais il faut préciser que l’engagement de Nomcebo Zuma avec le roi d’Eswatini revêt également une dimension politique.

Fille de Jacob Zuma, ancien président sud-africain au parcours tumultueux, cette union pourrait renforcer les liens entre les deux pays voisins.

Jacob Zuma, lui-même adepte de la polygamie avec quatre épouses et plus de 20 enfants, voit ainsi sa fille s’unir à un monarque partageant des valeurs familiales similaires.

En effet, ce n’est pas la première fois que le roi choisit une épouse beaucoup plus jeune que lui lors de cette cérémonie.

En 2005, il avait déjà annoncé ses fiançailles avec Phindile Nkambule, alors âgée de seulement 17 ans.

Ces mariages entre un homme mûr et de très jeunes femmes alimentent les critiques envers un système, jugé archaïque par ses détracteurs.

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