Il a prévenu les pompiers lui-même. À Nice, un homme âgé de 87 ans a appelé les secours pour prévenir de la mort de sa femme, dans la nuit du mercredi 27 au jeudi 28 septembre 2023. Ce n’est qu’ensuite qu’il a avoué l’avoir lui-même tué. Selon lui, il voulait abréger les terribles souffrances de son épouse, atteinte d’un cancer, explique le site Actu 17, samedi 30 septembre. Il a déclaré avoir étranglé sa femme avec un câble électrique. L’octogénaire a immédiatement été placé en garde à vue. Une enquête a été ouverte et confiée au commissariat de Nice. Elle va devoir faire toute la lumière sur les conditions et les circonstances de ce nouveau féminicide. Véritable preuve d’amour pour la “sauver” de la maladie ou acte de folie ? L’enquête le dira. Selon le site Nous toutes, on dénombrait, au 26 septembre 2023, 95 féminicides en France depuis le début de l’année. Un chiffre qui ne cesse d’augmenter.

Le suspect inconnu des services de police

L’homme était totalement inconnu des services de police. “Il a indiqué que sa compagne souffrait de fortes douleurs et qu’il avait agi pour y mettre fin”, rapporte encore le site Actu17. Depuis le 2 janvier 2023, le média Les Jours recense les nombreux féminicides qui ont lieu en France. On entend par féminicide, les meurtres de femmes, commis par un homme. “Les ‘féminicides intimes’, commis par un compagnon ou ex, représentent plus du tiers de tous les meurtres de femmes dans le monde, selon l’OMS”, rapporte le média. Selon ce dernier, “en France, 29 % de l’ensemble des homicides survenus dans le pays entre 2016 et 2021 ont été commis au sein de la famille et les deux tiers des victimes sont des femmes”. La délégation aux victimes rapportait en août 2022 que 122 femmes ont été tuées dans de telles circonstances en 2021. Elles étaient 102 en 2020, 146 en 2019, 118 en 2018, 130 en 2017. Un chiffre qui ne diminue pas malgré le combat de différentes associations pour inscrire le terme de “Féminicide” dans la loi, afin de mieux encadrer ces actes, et qu’ils ne restent pas impunis.

Aux Etats-Unis, des chercheurs sont sur le point d’essayer un vaccin sur l’homme pour prévenir les surdoses de fentanyl et d’héroïne.

Un vaccin contre les effets, parfois mortels, de certaines drogues ? Dès le début de l’année prochaine, des chercheurs de l’Université du Montana et leurs partenaires souhaitent essayer un vaccin sur l’homme pour prévenir les surdoses de fentanyl et d’héroïne alors que le taux de mortalité par overdoses d’opioïdes a dramatiquement augmenté au cours des cinq dernières années aux Etats-Unis.

Pour tenter de venir en aide aux patients dépendants, les chercheurs ont créé un vaccin qui génère des anticorps.

arrêter l’envie d’en consommer

Un consommateur qui veut arrêter et suivre une cure de désintoxication a entre 80 à 90% de chances de rechuter lors des deux premières années, selon Jay Evans, l’un des chercheurs et cofondateur d’Inimmune, partenaire universitaire.

Le vaccin crée pourrait pallier cette problématique puisqu’il contient un ingrédient, un «adjuvant», qui provoque la production d’anticorps contre l’opioïde ciblé. «Nos adjuvants améliorent la réponse vaccinale, fournissant une immunité plus forte et plus durable», a expliqué le chercheur.

Concrètement, le système immunitaire considère le vaccin comme un élément étranger et il développe ainsi une réponse immunitaire contre celui-ci, limitant les effets de la drogue mais aussi l’envie d’en consommer. Les travaux ont déjà bien avancé, reste à trouver les consommateurs tentés par les essais cliniques, mais aussi le nombre de doses nécessaires et le temps requis entre les différentes injections.

Le vaccin, financé par les National Institutes of Health, devrait également éviter une surdose en cas de rechute d’un patient.

C’était la suite logique de l’enquête. Plus d’une semaine après la disparition de Lina, qui n’a donné aucun signe de vie depuis le samedi 23 septembre 2023, les procureurs de la République de Strasbourg et de Saverne ont annoncé dimanche 1er octobre 2023 l’ouverture d’une information judiciaire pour “pour enlèvement ou séquestration de plus de 7 jours”, a relayé BFMTV, le même jour. Le parquet de Saverne a annoncé se dessaisir de l’affaire au profit du parquet de Strasbourg, au vu de la complexité de l’enquête. Deux juges d’instruction du tribunal judiciaire de Strasbourg ont été cosaisis de la procédure. Après sept jours d’investigation, l’enquête n’a pas permis de retrouver l’adolescente. Ainsi, elle a basculé en information judiciaire, comme le veut la procédure. Mais qu’est-ce que ça change au niveau de l’enquête ?

Plus de moyens mis en place

Dans le cadre de l’ouverture d’une information judiciaire, l’enquête est alors remise à un (ou plusieurs) juges d’instructions spécialisés. Ces derniers détiennent des pouvoirs plus étendus que le procureur par exemple, qui peut être soumis à des autorisations pour réaliser certaines demandes. Le 18 juillet 2023, BFMTV en disait un peu plus sur cette procédure pénale. “L’information judiciaire permet, par exemple, de réaliser des perquisitions sans l’assentiment des personnes, de procéder à des saisies, des opérations de surveillance ou des écoutes – qui peuvent d’ailleurs être plus longues ou se faire sans autorisation d’un juge des libertés et de la détention”, expliquait alors nos confrères. “Le ou les juges d’instruction peuvent également demander des expertises (ADN) ou utiliser des dispositifs de géolocalisation. Il leur est également possible se rendre sur les lieux ou organiser une reconstitution des faits.” Une procédure qui devrait peut-être faire accélérer l’enquête, tandis que les enquêteurs continuent de vérifier une par une les voitures jugées suspectes. Une maison a également été mise sous scellé le dimanche 1er octobre. Une disparition qui a plongé la commune de Plaine dans une véritable angoisse.

Le tribunal administratif de Lille a validé, le 20 septembre dernier, la révocation d’un pompier de Hautmont (Nord), impliqué dans une affaire de harcèlement ayant entraîné le suicide d’une pompier volontaire en novembre 2020.

Il clamait pourtant sa réintégration. Un pompier a été révoqué mercredi 20 septembre par le tribunal administratif de Lille, pour avoir diffusé à plusieurs reprises des vidéos à caractère pornographique d’une jeune collègue pompier volontaire, qui s’était donné la mort en novembre 2020. 

Cette décision de justice vient confirmer les différentes mesures prises par le Service départemental d’incendie et de secours (SDIS) du Nord, rendues publiques dans un communiqué daté du 30 mai 2022, rappellent nos confrères de Lille Actu. 

Harcèlement(s): le #Sdis du Nord ne laissera jamais rien passer ! #transparence #justice pic.twitter.com/LNRGCImSAF

— SDIS 59 (@Sdis59) May 30, 2022

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Le pompier incriminé avait également reconnu auprès des policiers avoir également «capté une vidéo intime et à caractère sexuel» de la victime, sans son consentement, a indiqué le tribunal de Lille dans un jugement datant du 19 septembre dernier. 

Cinq autres agents avaient été visés par des sanctions émanent du SDIS. Le quotidien régional La Voix du Nord précise de son côté que «le parquet d’Avesnes-sur-Helpe jugeait les charges existantes “suffisantes” pour renvoyer quatre pompiers devant le tribunal correctionnel». 

Vers des poursuites pénales ?

La famille de la défunte de 23 ans a tenté à plusieurs reprises de poursuivre en justice le et les auteurs de ces faits, en vain. La Voix du Nord précise que l’absence d’une suite judiciaire résulte de manquements au niveau de la procédure, notamment de l’absence de plainte de la jeune pompier volontaire. 

«La victime n’a jamais déposé plainte de son vivant. Comme elle est décédée, les poursuites ont été abandonnées, quand bien même la famille a tenté d’obtenir une condamnation devant la justice», avait glissé une source judiciaire en mai 2022 auprès de nos confrères. 

Les punaises font la une de l’actualité depuis quelques mois, montrant leur présence au grand jour, aussi bien au cinéma que dans les transports en commun. Pour lutter contre ce fléau, qui pèse sur la santé mentale des personnes infectées mais aussi leur porte-monnaie, l’Anses a donné des recommandations. Invitée dans l’émission de France Inter à la mi-septembre, Johanna Fite, chargée de mission au sein de l’unité de santé animale de l’Anses livre quelques préconisations et astuces. Lit, matelas ou sommier, on fait le point sur les manières d’éliminer les punaises de lit de votre chambre.

La terre de diatomée est-elle efficace pour traiter un matelas ?

Pour Johanna Fite, le rapport de l’Anses, a conclu “que l’efficacité de la terre de diatomée était modérée. Elle peut être efficace, mais il faut savoir bien l’utiliser“. En effet, la chargée de mission précise que la terre de diatomée présente des dangers. Elle peut causer des irritations, notamment en cas d’inhalation. Il ne faut donc pas “en pulvériser directement sur l’oreiller” précise-t-elle, ni sur le matelas !

L’astuce du fer à repasser pour éliminer les punaises du matelas

Puis, Pascal Delaunay, parasitologue et entomologiste en CHU, interrogé à son tour explique que le matelas n’est pas le seul ou unique nid de la punaise de lit. Bien souvent, elle se trouve dans le sommier, dans les jointures des lattes où elles peuvent se cacher et pondre en paix. Au niveau des matelas, elles se cachent dans les rainures, coutures et autres recoins. Pour Pascal Delaunay, ce n’est pas compliqué de les débarrasser de cet endroit : “pour votre matelas, vous prenez un fer à repasser, vous lui repassez les angles et vous n’avez plus de punaises de lit“. Comme nous l’écrivions précédemment, la chaleur tue les punaises de lit, à partir de 60°C sur les textiles et jusqu’à 120 °C dans le cas de l’utilisation d’une vapeur sèche.

Retrouvez l’émission complète La Tête au carré, du 13 septembre consacrée aux punaises de lit ici.

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À Murcie, dans le sud-est de l’Espagne, un incendie dans une discothèque a fait au moins 13 morts et quatre blessés ce dimanche 1er octobre.

La fête s’est transformée en cauchemar. Un incendie dans une discothèque à Murcie, dans le sud-est de l’Espagne, a provoqué la mort d’au moins 13 personnes et blessé quatre autres ce dimanche 1er octobre, selon les informations fournies par les secours sur le réseau X, anciennement Twitter, qui ont également indiqué que le bilan pourrait s’alourdir.

Les secours se sont rendus à la discothèque «Teatre», également connue sous le nom de «Fonda Milagros», à 7 heures du matin, après de multiples alertes. Cependant, ce n’est qu’à 8 heures que les pompiers ont pu maîtriser les flammes et pénétrer dans le bâtiment, découvrant alors 7 corps dans un premier temps, puis «6 nouveaux cadavres» dans les décombres quelques heures plus tard. 

.@BomberosMurcia, en el interior de la discoteca Teatre de Murcia donde han muerto 6 personas. pic.twitter.com/2HWFF6B3Uz

— Manuel Segura Verdú (@manuelsegura) October 1, 2023

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Sur les lieux du drame, José Ballesta, le maire de Murcie, n’a pas exclu la possibilité de découvrir d’autres victimes : «Les pompiers continuent à s’activer sur les lieux et n’écartent pas la possibilité de trouver de nouvelles victimes». «L’enquête n’a pas encore démarré puisque le bilan n’est pas établi. Par conséquent, il n’y a aucune piste privilégiée pour le moment», a ajouté une porte-parole de la police nationale.

Quatre personnes, dont 2 femmes âgées de 22 et 25 ans, ainsi que 2 hommes de 41 et 45 ans qui ont inhalé de la fumée, ont également été blessés. Toutefois, leur pronostic vital n’est pas en danger. 

Trois jours de deuil national

Les images de la catastrophe ont montré les camions de pompiers aspergeant la façade de la discothèque encore en proie aux flammes. Les véhicules de secours ont envahi la rue, tandis qu’une épaisse fumée s’échappait du toit de la discothèque. D’après les premiers éléments recueillis par les autorités, l’incendie s’est déclaré au premier étage.

Hasta el momento el incendio de la discoteca Teatre en #Murcia se salda con cuatro heridos y cuatro fallecidos. Es posible que el número de fallecidos aumente.

Mas información en https://t.co/S12MqtTstH pic.twitter.com/Q3ezb4VTHK

— 112 Región de Murcia (@112rmurcia) October 1, 2023

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Le Premier ministre, Pedro Sanchez, a déclaré sur X : «Mon affection et ma solidarité avec les victimes et leurs familles du tragique incendie survenu à l’aube dans une discothèque de Murcie». 

«Je suis vraiment désolé et je veux accompagner dans leur douleur les familles des victimes de l’incendie survenu ce matin à Murcie. Toute ma reconnaissance et ma gratitude aux services d’urgence», a également commenté Alberto Núñez Feijóo, leader de la droite, sur le même réseau social. 

En hommage aux victimes, le maire de Murcie a annoncé un deuil de trois jours, tandis que la municipalité a mis en place une cellule d’accueil pour les proches des personnes touchées. 

En 1990, un incendie dans une boîte de nuit à Saragosse, dans le nord-est de l’Espagne, avait déjà causé le décès de 43 personnes.

C’est une histoire qui secoue sérieusement le clan Delon depuis le 5 juillet 2023. L’affaire opposant Alain Delon et Hiromi Rollin, qui prétend être la compagne du comédien, continue de faire couler de l’encre au vu des récents éléments. Pour rappel, les enfants de l’acteur de 87 ans ont porté plainte contre “la dame de compagnie” de leur père pour “harcèlement moral” et “abus de faiblesse”. La fratrie l’accuse d’avoir détourné des correspondances, mais aussi de harcèlement moral sur leur père. Ne voulant se laisser faire, Hiromi Rollin a à son tour porté plainte pour “violences en réunion” et “dénonciation calomnieuse”. Dans une interview accordée à nos confrères de BFMTV, Anthony Delon assure que “110.000 euros ont été trouvés dans un placard de la salle de bain” d’Hiromi Rollin, qui crie au coup monté. Samedi 30 septembre 2023, le célèbre réalisateur était l’un des invités de l’émission C l’hebdo sur France 5. Interrogé par Aurélie Casse, le fils de la légende du septième Art en a profité pour donner des nouvelles de son père. “Je ne vais pas faire le psy et dire que c’est un choc post-traumatique, mais il y a eu un contrecoup […] comme s’il avait été rattrapé par une fatigue morale, donc physique”, a décrit l’acteur en mimant une courbe descendante avec son bras pour illustrer la chute de son père.

Anthony Delon : “C’était surtout moral mais la tête elle commande tout”

“Si vous voulez, il y a eu un soulagement”, a-t-il expliqué avant de se reprendre et de préférer donner des précisions au sujet de la chronologie de l’état de santé de son paternel. “Pour être tout à fait honnête, il y a eu plusieurs phases. C’est-à-dire qu’en fait il y a eu d’abord un soulagement, d’ailleurs j’ai vu que ma sœur a posté une photo hier où il est tout sourire, etc… Ça, c’est la première phase”, a-t-il développé avant de poursuivre sur le caractère inattendu de ce contrecoup, puis sur la manière dont il ressort aujourd’hui la tête de l’eau. Anthony Delon a insisté sur le fait que son père n’avait pas été atteint au point de voir sa santé altérée d’une manière inquiétante pour don pronostic vital. “C’était surtout moral mais la tête elle commande tout”, a-t-il encore expliqué en rassurant les téléspectateurs et les personnes présentes en plateau.

Plus d’une semaine après la disparition de Lina, les enquêteurs se penchent sur un tronçon de route de 900 mètres tandis qu’ils ont reçu le signalement d’un véhicule possiblement suspect.

L’enquête se poursuit une semaine après la disparition de Lina. L’adolescente de 15 ans n’a plus donné signe de vie depuis le samedi 23 septembre alors qu’elle se rendait à pied à la gare de Saint-Blaise-la-Roche (Bas-Rhin), à trois kilomètres de chez elle. Un trajet qu’elle avait l’habitude d’emprunter pour prendre le train et rejoindre son petit ami à Strasbourg.

Les enquêteurs ont passé le secteur au peigne fin. Des plans d’eau ont été sondés et des auditions menées. Désormais, ils se penchent sur un tronçon de route de 900 mètres, entre l’endroit où les chiens de la gendarmerie ont perdu la trace de Lina et l’étang de Breux, où l’adolescente n’apparaît pas sur les caméras de surveillance.

Des éléments concordants, puisque les pêcheurs présents ce jour-là, où elle aurait dû passer, ont indiqué n’avoir jamais vu la jeune fille.

UN VÉHICULE SUSPECT ?

​D’après Le Parisien, les enquêteurs ont reçu le signalement d’un véhicule de couleur sombre qui a emprunté la départementale dans le créneau de la disparition de la jeune lycéenne, sans que cette personne ne se soit manifestée. Un élément qui a été confirmé par la vidéosurveillance de Saint-Blaise-la-Roche.

Vendredi, une «opération coordonnée d’envergure» en «plusieurs points de la zone potentielle de disparition» a ainsi permis de mener «des actes de police technique et scientifique sur plusieurs véhicules ciblés par l’enquête», a indiqué la procureure de la République de Saverne, Aline Clérot.

«Ces actes d’investigations se poursuivront dans les heures qui viennent», avait-elle ajouté, sans préciser si ces fouilles avaient permis la découverte d’indices. Selon DNA et Le Parisien, entre 6 et 10 véhicules auraient été vérifiés.

Samedi matin, sur la base d’un «renseignement», les gendarmes ont procédé «à des actes de police technique et scientifique sur le bas-côté» d’une route départementale, près du lieu de la disparition de Lina. «Des ossements ont été découverts» mais ils ont été «formellement» identifiés par un légiste de l’institut médico-légal de Strasbourg «comme de nature animale», a précisé la magistrate.

Les gendarmes étaient de nouveau à pied d’oeuvre ce dimanche matin dans une maison de Plaine, commune d’origine de Lina. ​

Drôle de raison de réserver un logement sur Airbnb ! En effet, comme le rapporte France Bleue Pays de Savoie le mercredi 27 septembre 2023, un homme a été interpellé à Poisy, en Haute-Savoie, pour avoir commencé à installer un trafic de drogue dans un logement réservé sur la plateforme. C’est une patrouille de la gendarmerie d’Annecy-Meythet qui repère lundi 25 septembre le comportement suspect d’un conducteur. Des surveillances sont alors mises en place et identifient rapidement le logement en question. Le conducteur est aperçu en train de réaliser une transaction avec un client. La gendarmerie décide donc de mener des perquisitions dans le Airbnb. Ils y retrouvent 1,5 kg d’héroïne, “autant de produits de coupe et environ 3.000 euros d’argent liquide” précisent nos confrères. Avec une valeur de revente estimée à 80 euros le sachet de 5 grammes, 1,5 kg d’héroïne équivaut donc à 120.000 euros.

Le jeune homme placé en détention provisoire

Mercredi 27 septembre 2023, le jeune homme a été présenté en comparution immédiate puis placé en détention provisoire dans l’attente de son jugement qui aura lieu le 25 octobre 2023. La gendarmerie de Haute-Savoie s’est félicitée d’avoir mis la main et démantelé ce qui allait devenir un nouveau point de chute du trafic d’héroïne. Les forces de l’ordre ont “rapidement porté un coup d’arrêt à un lucratif trafic de produits de stupéfiants sévissant sur le bassin annécien”, a ainsi précisé la gendarmerie dans un communiqué. “L’enquête de flagrance avait été menée par la gendarmerie d’Annecy-Meythet avec le concours du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) d’Annecy”, a indiqué France bleu. Une histoire qui poussera peut-être les gérants de logements Airbnb à faire attention à qui ils louent leur habitation ? Parfois, les dealers décident d’installer leur trafic dans des lieux plus loufoques. À Caen, c’est un résident d’Ehpad qui avait installé, dans sa chambre, son petit business de cocaïne et de cannabis. C’est désormais derrière les barreaux que dort ce “papy dealer”.

Antoine Dupont, qui se remet de son opération à la pommette droite, ne doit pas jouer l’éventuel quart de finale de la Coupe du monde de rugby du XV de France, selon une majorité de Français.

Toute la France, ou presque, est suspendue à l’état de santé d’Antoine Dupont. Le capitaine du XV de France se remet actuellement de son opération d’une fracture maxillo-zygomatique, après avoir été touché lors du match face à la Namibie. Et s’il a déjà rejoint le XV de France afin de reprendre progressivement l’entraînement et son retour est espéré pour un éventuel quart de finale (14 ou 15 octobre), une large majorité de Français est inquiet pour sa santé (74%), selon un sondage réalisé par Odoxa pour Winamax et RTL.

Ils sont tellement inquiets qu’ils sont plus d’un sur deux à estimer que le joueur du Stade Toulousain ne doit pas jouer l’éventuel quart de finale (56%) et qu’il est préférable de le préserver en vue d’une possible demi-finale. Une proportion identique chez l’ensemble des Français que les amateurs de rugby. Et pour le remplacer, les amateurs de rugby penchent davantage pour Baptiste Couilloud (59 %) que de Maxime Lucu (40 %).

Les Français ont toutefois bien conscience que sa présence pourrait tout changer dans la quête du Graal. Ils sont en effet 82% à penser que les Bleus peuvent être sacrés champions du monde avec leur capitaine contre 70% sans lui.

Mais avant de penser à conquérir son premier titre de champion du monde, le XV de France, en tête du groupe A, jouera sa qualification pour les quarts de finale, ce vendredi, contre l’Italie à Lyon.