France
Fonds Marianne : le Parquet national financier ouvre une information judiciaire
Le parquet national financier (PNF) a ouvert ce jeudi 4 une information judiciaire sur des soupçons de «détournement de fonds publics» dans la gestion du fonds Marianne, créé en 2021 pour lutter contre le séparatisme, et faisant suite à l’assassinat de Samuel Paty.
Une information qui devrait ébranler un peu plus l’exécutif. Le parquet national financier (PNF) a ouvert ce jeudi 4 mai une information judiciaire sur des soupçons de «détournement de fonds publics», dans la gestion du fonds Marianne, créé en 2021 par l’actuelle secrétaire d’État chargée de l’Économie sociale et solidaire et de la Vie associative Marlène Schiappa.
Cette enquête menée par un juge d’instruction porte sur de possibles détournements de fonds publics, abus de confiance et prise illégale d’intérêts, ainsi que détournement de fonds publics par négligence a indiqué l’instance à l’AFP.
Ce fonds devait initialement servir à «financer des personnes et associations qui vont porter des discours pour promouvoir les valeurs de la République et pour lutter contre les discours séparatistes notamment sur les réseaux sociaux et plateformes en ligne», avait défendu Marlène Schiappa.
355.000 euros de dotation
Fin mars dernier, l’hebdomadaire Marianne et France 2 ont diffusé une enquête conjointe mettant au jour sa gestion opaque. Selon leurs investigations, le principal bénéficiaire du fonds, l’association USEPPM aurait, avec ses 355.000 euros de dotation, seulement alimenté un site internet et des publications peu suivies sur les réseaux sociaux. Quelque 120.000 euros ont aussi été utilisés pour salarier deux de ses ex-dirigeants.
Le site Mediapart a ensuite révélé que plusieurs personnalités de gauche avaient été dénigrées dans des contenus mis en ligne par une autre structure bénéficiaire du fonds, «Reconstruire le commun», qui a obtenu 330.000 euros.
Un premier signalement a été émis par Christian Gravel, patron du Comité interministériel de prévention de la délinquance et de la radicalisation (CIPDR), à qui avait été confiée la procédure de sélection des associations subventionnées et dont le rôle est questionné dans les enquêtes journalistiques.
Deux autres signalements ont été adressés à la justice par la maire PS de Paris Anne Hidalgo et la cheffe des députés de La France insoumise Mathilde Panot.
France
plus d’1 Français sur 2 pense que la France ne sera pas prête à accueillir les Jeux olympiques cet été
Selon un sondage mené par l’Institut CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD, publié ce vendredi 29 mars, un peu plus d’un Français sur deux (52%) pense que la France n’est pas prête à accueillir les Jeux olympiques à Paris cet été.
Le sujet déchaîne toutes les passions. À un peu plus de quatre mois du coup d’envoi des Jeux olympiques (JO) et paralympiques de Paris, un sondage publié ce vendredi 29 mars par l’Institut CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD indique que 52% des Français pensent que le pays n’est pas prêt à accueillir la compétition multisports mondiale.
A l’inverse, 47% des sondés pensent que la France est prête à accueillir les JO, tandis que 1% des personnes interrogées ne se sont pas prononcées sur la question posée, à savoir : «Pensez-vous que la France sera prête à accueillir les Jeux olympiques et paralympiques cet été ?»
Dans le détail, les hommes sont un peu plus confiants que les femmes. En effet, 55% des femmes ont ainsi répondu «non», tandis que la part des «non» baisse légèrement à 50% chez les hommes (NB : 1% des sondés masculins ne se sont pas prononcés).
Concernant l’âge, les résultats sont plutôt hétérogènes. Si les 65 ans et plus semblent plus convaincus (55% de «oui») et estiment la France prête pour les JO, leurs cadets de 50 à 64 ans, et de 35 à 49 ans ne sont plus que 43% à l’affirmer.
Les 18-24 ans semblent plus pessimistes encore, avec seulement 42% de «oui», contre 54% de «non», et 4% qui ne se prononcent pas. Leurs aînés de 25 à 34 ans sont nettement plus optimistes car 51% d’entre eux pensent que le pays est prêt à accueillir les JO de Paris.
Du côté du profil social des sondés, CSP- et inactifs affichent un certain scepticisme avec 55% et 53% de «non», dont 1% respectif qui ne se prononce pas. Ce pourcentage baisse jusqu’à 49% chez les CSP+.
Des divergences notables sur le plan politique
Mais la vraie disparité se note suivant les affinités politiques des sondés, et des divergences se notent même à l’intérieur même de chaque famille politique.
De ce fait, à gauche – où globalement, 57% des sondés pensent que la France est prête à accueillir les JO – on observe deux sons de cloches différents : tandis que les sondés proches du PS et d’EELV sont optimistes à 66% et 57%, leurs homologues de La France insoumise ne sont plus que 45% à penser que la France est prête à accueillir la compétition.
La dynamique semble similaire à droite, où 67% des sympathisants du Rassemblement national pensent que le pays n’est pas prêt à accueillir les Jeux, tandis que Les Républicains ne sont plus que 39% à partager cette opinion, et les 1% restant ne se prononcent pas.
Du côté de Renaissance, 56% des répondants pensent que la France est prête à accueillir les JO.
sécurité et transports en commun inquiètent
Le fait de savoir si la France sera prête ou non à accueillir les JO ne laisse personne indifférent et suscite de nombreuses inquiétudes sur plusieurs plans, à commencer par celui de la sécurité.
Depuis le 24 mars dernier, la France est désormais placée en «urgence attentat» – soit le plus haut niveau du plan Vigipirate, après l’attaque terroriste survenue à Moscou deux jours auparavant. Cette dernière s’est conjuguée à une série de menaces d’attentats en France, visant des établissements scolaires ou encore des médias.
«La police française, les gendarmes, les préfets, les renseignements, seront prêts» pour assurer la sécurité aux Jeux olympiques à Paris cet été, a toutefois assuré le ministre de l’Intérieur, au lendemain du relèvement du plan Vigipirate.
L’autre inquiétude des Français concerne les transports en commun et ses nombreux dysfonctionnements parmi lesquels figurent la ponctualité des métros et des trains, ainsi que l’affluence monstre que devrait générer l’arrivée de milliers de touristes dans la capitale.
À ce sujet, la présidente de la région Ile-de-France et d’Ile-de-France Mobilités Valérie Pécresse a annoncé lundi 25 mars des moyens renforcés pour assurer les flux de voyageurs durant les Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024.
*Sondage réalisé par questionnaire auto-administré, le 26 et 27 mars, auprès d’un échantillon représentatif de 1.013 personnes âgées de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
France
l’ancien magnat des cryptomonnaies Sam Bankman-Fried condamné à 25 ans de prison
Poursuivi pour des faits de fraude, d’association de malfaiteurs et de blanchiment d’argent, Sam Bankman-Fried, l’ancien génie des cryptomonnaies et patron de la plate-forme d’échange FTX, a été condamné ce jeudi 28 mars à 25 ans de prison par un tribunal de New-York.
La chute d’un ancien leader du secteur de la cryptomonnaie. Après un procès long de plusieurs semaines, Sam Bankman-Fried, l’ancien patron de la plate-forme d’échange de cryptomonnaies, a été condamné à 25 ans de prison ce jeudi 28 mars.
Poursuivi pour des faits de fraude, d’association de malfaiteurs et de blanchiment d’argent, l’ancien diplômé de physique du Massachusetts Institute of Technology (MIT) risquait jusqu’à 110 ans de prison. Une sanction qui aurait été l’une des plus lourdes de l’histoire judiciaire américaine dans le secteur financier.
Lors de l’audience devant un tribunal de New York, Sam Bankman-Fried a présenté ses excuses, reconnaissant avoir «pris une série de mauvaises décisions», tandis que le juge Lewis Kaplan a relevé que le trentenaire n’avait «jamais eu un mot de remords pour avoir commis un crime terrible», indiquant que l’accusé avait commis au moins trois parjures lors de son témoignage et une subordination de témoin.
Des milliards de dollars perdus dans la nature
FTX, une start-up dédiée à l’échange de cryptomonnaies, a connu un succès monumental à son lancement en mai 2019 avant de s’effondrer et de devenir insolvable le 11 novembre 2022, avec 9 milliards de dollars manquants à l’appel lors du dépôt de bilan.
Une chute provoquée par l’utilisation d’avoir des clients afin d’effectuer des transactions à risques par le biais d’une société soeur, Alameda, afin d’acheter des biens immobiliers.
Pour l’heure, seulement 6,4 milliards de dollars ont pu être récupérés par les liquidateurs du groupe, qui ont promis de rembourser toutes les victimes lésées.
France
y aura-t-il des frais bancaires en cas de découvert ?
Exceptionnellement, les virements bancaires sont suspendus durant quatre jours, dès ce jeudi 28 mars et jusqu’au mardi 2 avril. Gare au découvert, si vous n’avez pas encore reçu votre salaire.
La chasse aux œufs risque d’être reléguée au second plan, en ce week-end de Pâques. Dès ce jeudi 28 mars à 18h, et jusqu’à 2h30 du matin, le mardi 2 avril, les virements bancaires seront impossibles. En cause, la fermeture du système Target 2. Inconnu du grand public, ce système de paiement est géré par la Banque centrale européenne (BCE) et permet d’envoyer de l’argent gratuitement d’un compte bancaire européen vers un autre, sous forme de virements SEPA. Cette plate-forme est toujours fermée les week-ends et les jours fériés, notamment le Vendredi saint, férié dans de nombreux pays européens, et le lundi de Pâques.
La paye de mars en avril
Seulement cette année, le calendrier cache une petite farce. Pâques tombe un week-end de fin de mois, au moment même où les salaires sont habituellement versés. Nombreux sont donc les Français risquant de recevoir leur salaire du mois de mars en avril. Et pour cause, les virements interbancaires seront impossibles dès ce jeudi 28 mars à 18h. Seuls les virements instantanés ou les virements internes seront assurés. Ainsi, si l’ordre de virement de l’employeur est passé après 18h, le bénéficiaire ne percevra sa paye que mardi 2 avril, voire mercredi 3 avril.
Anticiper le découvert
Bonne nouvelle tout de même, les prélèvements seront également suspendus ce week-end. Ainsi, les loyers, abonnements, et autres charges ne seront pas prélevés avant le mardi 2 avril. Le sort est le même pour les agios ou les remboursements de crédit, puisque tout le système bancaire sera bloqué.
Cependant, sans salaire, le risque de se retrouver dans le rouge est accru pour la journée du mardi. Plusieurs solutions existent pour anticiper cette situation. Dans un premier temps, il est possible de négocier un découvert autorisé avec sa banque, de manière exceptionnelle et limitée dans le temps. Cette initiative n’est néanmoins pas gratuite. La personne concernée sera autorisée à effectuer des paiements, mais elle devra s’acquitter d’intérêts débiteurs, généralement débités en fin de mois ou de trimestre. Si le montant du découvert est de 400 euros ou plus, des agios proportionnels à la somme et à la durée seront facturés. Dans le cas où le montant serait inférieur à 400 euros, certaines banques mettent en place un montant forfaitaire, indépendant du montant du découvert.
Néanmoins, si la personne concernée n’est pas autorisée à détenir un compte débiteur, ou si la limite de découvert est dépassée, les paiements peuvent être refusés, et des frais seront appliqués, à hauteur de huit euros par opération.
France
Quel modèle de machine à coudre choisir ? Nos lectrices donnent leur avis : Femme Actuelle Le MAG
Pour mener vos travaux de couture à un niveau supplémentaire (et plus durable dans le temps), vous souhaitez investir dans une machine à coudre. Ces précieuses alliées offrent une multitude de fonctionnalités, simplifiant ainsi la vie des passionnés de couture. Après des heures passées à manier l’aiguille, trois lectrices de Femme actuelle nous livrent des avis éclairés sur différents modèles de machines à coudre.
Marie : “pour un public non confirmé”
Avec 23 points proposés, un enfile-aiguille automatique, un moteur de 70 watts, un châssis solide en métal, un éclairage Led, une boutonnière en 4 temps, une boite d’accessoires incluse, la fonction “Drop&sew” et une poignée de transport, cette machine a des atouts pour un prix modéré. Simple à utiliser, une fois lancée, elle s’adresse néanmoins à un public non confirmé ou pour des travaux ponctuels.
Le + La machine n’est pas bruyante, facile à mettre en route, elle ne bouge pas pendant la couture ce qui est très important et est très légère, donc facile à transporter. Le porte bobine transparent permet de voir s’il reste du fil.
Le – La notice n’est pas claire, avec des explications qui ne sont pas en face des bonnes illustrations. Après plusieurs tentatives avec l’enfile-aiguille, j’ai dû me résoudre à enfiler le fil “à l’ancienne” !
Mon avis : je m’attendais à être conquise par une machine moderne, moi qui utilise un modèle en métal des années 50, mais ça n’a pas été le cas ! J’ai d’abord été un peu déconcertée par le côté “jouet” du revêtement plastique. Puis, de la notice complexe à l’enfile-aiguille qui n’a pas tenu ses promesses… j’ai été très déçue. Je n’ai pas été conquise par la pédale au sol car je ne suis pas habituée à ce système. Néanmoins, la machine compte beaucoup de points et conviendra pour débuter ou pour une utilisation ponctuelle.
Marie, 48 ans, Paris.
Thérèse : “elle a tout pour enrichir son expérience de couture“
Cette machine compte 23 points réglables en largeur jusqu’à 6 mm, un enfile-aiguille intégré, une largeur de point réglable, un voyant Led, un couvercle rigide avec anse, 5 pieds de biche inclus, 16 accessoires, une position de l’aiguille réglable et une boutonnière automatique en une étape, un réel atout. Avec ses nombreuses fonctionnalités, des points utilitaires jusqu’aux points décoratifs, extensibles…, cette machine est accessible à toutes et séduira les plus aguerries des couturières. On apprécie son design et sa légèreté.
Le + La prise en main est simple, le tissu glisse bien avec un entrainement optimal grâce aux 7 griffes. La notice est parfaitement illustrée et claire. Peu bruyante, légère, facile à transporter avec son capot rigide et sa poignée. De très nombreuses possibilités, pieds-de-biche, etc. et surtout la boutonnière en une étape !
Le – Il faut s’habituer au changement de canette par le haut qui diffère de la majorité des machines.
Mon avis : j’avais déjà utilisé d’autres machines mais celle-ci a été si simple à utiliser qu’elle m’a donné envie de me remettre à la couture. Elle est très complète, plus encore que ce à quoi je m’attendais. Son utilisation est assez peu bruyante. J’ai trouvé le petit guide illustré très bien fait d’ailleurs il m’a été utile pour enfiler le fil de la canette, différent de ceux dont j’avais eu l’habitude. J’ai utilisé pas mal de points, droit, zig-zag, fait des ourlets, sans aucun souci. Je la conseillerais aussi bien à une débutante tant elle est simple et pratique qu’à une experte grâce à toutes ses fonctionnalités. Un excellent rapport qualité/prix. J’ai beaucoup aimé !
Thérèse, 71 ans, Nanterre (92).
Inès : “une prise en main ultra simple”
Avec 21 points décoratifs, une sélection facile du point, un enfile-aiguille intégré, 5 accessoires supplémentaires inclus, une boutonnière en 4 étapes et un couvercle souple de protection, la petite dernière de Husqvarna tient ses promesses. Relativement silencieuse, c’est une machine d’entrée de gamme, qui assure. On apprécie ses équipements en petite fourniture et sa prise en main simplissime, le livret détaillé parfait pour une débutante. Tout est fait pour donner envie.
Le + : Le livret fourni, en français, est complet et très claire avec de nombreuses explications et des schémas parfaitement lisibles. La prise en main est étonnement simple et fluide. Les 5 accessoires sont un réel atout. Son prix !
Le – : peut-être pas pour des couturières ultra averties, et encore !
Mon avis : sa simplicité d’utilisation et de mise en marche sont très agréables. J’ai lu attentivement la notice et apprécié chaque étape parfaitement explicitée et illustrée. J’ai aussi beaucoup apprécié les accessoires dont un point de bourdon, un ourlet invisible ou encore la boutonnière invisible et le lot d’aiguilles. J’ai l’habitude de coudre des choses simples et même si j’ai rencontré des difficultés pour passer mon fil la première fois, sans doute avais-je choisi un fil trop gros, j’ai pu réaliser dès la première fois, des créas plus élaborées, sans difficultés. C’est un produit que je recommanderais sans hésiter à une couturière débutante et même avec un peu d’expérience.
Inès, 17 ans, Saint-Cloud (92).
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France
quelle est la seule région de France où il est férié ?
Il existe une région en France où le vendredi saint est férié. Il s’agit d’une tradition lointaine qui remonte à l’époque de Napoléon III.
De quoi faire des jaloux. Ceux qui travaillent en Alsace et dans le département de la Moselle auront un jour de repos en plus. Le vendredi saint, jour où l’on célèbre la crucifixion du Christ avant Pâques, est un jour férié uniquement dans cette partie de France.
Pour comprendre pourquoi, il faut remonter à 1871, au moment où la France perdait une guerre contre l’Empire allemand. À cette époque, la région Alsace-Moselle se retrouvait annexée et donc alignée au calendrier de l’Allemagne. Et dans ce pays, le vendredi saint est un jour férié. Il l’est encore aujourd’hui.
L’Alsace-Moselle est aujourd’hui bien française mais la population a préféré garder quelques spécificités.
La relation entre l’Église et l’Etat est bien particulière, faisant exception au principe de laïcité qui s’applique sur l’ensemble du territoire français. Le Concordat, adopté en 1802, régit toujours les rapports de religion.
Ainsi, dans cette région, les religieux sont fonctionnaires, les cultes sont reconnus et financé par l’Etat et les cours de religion sont encore obligatoires à l’école primaire et au collège.
France
“Ça flingue toute la vie, tout le temps, tous les jours”, témoigne Énora Malagré à propos de l’endométriose : Femme Actuelle Le MAG
“L’endométriose, au quotidien, elle empêche de tout faire”, témoignait Enora Malagré auprès de Femme Actuelle, en 2021. En France, 1 femme sur 10 en est touché. Elle se catactérise par “une douleur aiguë dans le bassin, surtout pendant les règles”, présente l’OMS. “C’est une maladie chronique, donc on est fatigué tout le temps. C’est ne pas pouvoir faire du sport qu’on en a envie, être en soirée et se vérifier le pantalon, aller aux toilettes plus que de raison quand on est en crise ou quand on a ses règles parce que c’est un flux de sang continu”, poursuivait-elle. L’endométriose peut se matérialiser à tout moment et provoquer e violentes douleurs, mais aussi donner “envie de vomir” et provoquer un besoin de “pisser”, ajoutait l’autrice du livre “Un cri du ventre” aux éditions Leduc S.
“J’ai l’impression d’avoir deux morsures qui me prennent en bas du ventre”, témoigne Enora Malagré
Chez la chroniqueuse, l’endométriose se matérialise par “l’impression d’avoir deux morsures qui me prennent comme ça en bas du ventre et qui me terrasse le bas du dos, qui remonte jusqu’en haut pour arriver jusqu’à la tête et de trembler”, et l’animatrice d’ajouter que “pour certaines d’entre nous aussi, avoir des douleurs pendant les rapports sexuels, ça flingue toute la vie, tout le temps, tous les jours”. De plus, cette maladie est la première cause d’infertilité chez les femmes. “Je suis toujours malade et je n’ai toujours pas d’enfants. Et moi, je veux des enfants. Si toutes les solutions sont épuisées pour moi, c’est l’adoption qui s’offrira à moi”, raconte-t-elle.
Malgré ces impacts sur la vie des femmes, le diagnostic de l’endométriose reste encore difficile. Si Enora Malalgré en souffre depuis plus de 10 ans, il faut en moyenne entre 5 ans et 7 ans pour que le diagnostic ne soit posé. “Donc, je ne vous dis pas le parcours du combattant et le nombre de gynécologues que j’ai dû voir pour enfin avoir un nom sur ma maladie”, raconte-t-elle. À l’heure actuelle, il n’existe pas de moyen d’en guérir, mais cette dernière disparaît avec la ménopause. Mais “il y a des petits moyens pour avoir un peu mal et pour contrôler cette maladie”, précise Enora Malagré qui liste la prise de pilule en continu, la ménopause artificielle ou encore certaines opérations. Le choix devant être fait avec un professionnel de santé.
“Dans un cri du ventre, un cri du cœur (…) j’ai dit : ‘J’ai pas d’enfant parce que j’ai de l’endométriose”, se souvient Enora Malagré
Mais le sujet a encore une place à se faire dans le débat public, estime Enora Malagré. Quand les femmes “parlent en société de leurs douleurs, on pense que c’est juste une douleur de règles un peu plus, plus. Puis on n’a pas envie d’entendre ça. On n’a pas envie d’entendre des ‘bonnes femmes’ se plaindre de leurs règles”. Si désormais, la chroniqueuse n’hésite pas à lever le tabou sur cette maladie, cela ne relevait pas de sa volonté initiale. “J’étais un soir en direct lors d’un prime time de Touche pas à mon poste et, alors que j’avais bien précisé à la production que je ne voulais pas de questions sur mon intimité justement, et sur le fait que j’ai pas d’enfant, évidemment, ça n’a pas été respecté”, se souvient-elle.
Interrogée sur son désir d’enfant, la chroniqueuse a alors répondu. “Dans un cri du ventre, un cri du cœur, j’ai balancé. J’ai dit : ‘Moi j’ai pas d’enfant parce que j’ai de l’endométriose’”. En rentrant chez elle, Enora Malagré se souvient avoir reçu des milliers de messages sur les réseaux sociaux et alors décidé de continuer à briser des tabous pour libérer la parole des femmes. Aujourd’hui, elle appelle les femmes qui souffrent d’endométriose de ne pas taire la maladie et à ne pas “être esclave d’elle”. Au contraire, elle recommande d’en parler, parce ce qu’il “n’est pas question que cette saloperie gagne”.
France
un homme recherché après avoir été aperçu armé dans un centre hospitalier
Ce jeudi 28 mars, un homme armé d’un couteau aurait été aperçu à l’intérieur de l’hôpital de Montélimar, dans la Drôme. Une intervention policière a par la suite été lancée. L’individu n’a pas été retrouvé.
Un homme armé d’un couteau aurait été aperçu, ce jeudi 28 mars vers 15h, au centre hospitalier de Montélimar, dans la Drôme. À la suite du signalement, d’importants effectifs de la police nationale du département et de la police municipale ont été déployés.
Sur les réseaux sociaux, le Préfet de la Drôme a estimé qu’il n’y avait «pas de danger pour les patients qui peuvent rester hospitalisés». L’accès à l’hôpital a été interdit et la préfecture a demandé à la population d’«éviter le quartier Beausseret et la route de Sauzet».
#sécurité | Un individu armé aurait été aperçu au centre hospitalier de Ville de Montélimar vers 15H.
Pas de danger pour les patients qui peuvent rester hospitalisés
D’importants effectifs de la Police nationale de la Drôme et de la police municipale sont sur place. Le… pic.twitter.com/eYfyhgw7yh
— Préfet de la Drôme (@Prefet26) March 28, 2024
Selon nos confrères de France bleu, citant des témoignages, l’individu recherché porterait un sweat à capuche et une casquette. L’hôpital a été bouclé pendant plus de deux heures. Toujours d’après nos confrères, les chambres et différents locaux ont été fouillés.
Finalement, l’homme n’a pas été retrouvé et l’intervention a pris fin aux alentours de 17h30. En revanche, comme l’indique le Préfet de la Drôme, la surveillance policière dans les environs du centre hospitalier de Montélimar a été maintenue.
France
Quand tailler un magnolia et comment en prendre soin ? : Femme Actuelle Le MAG
Les magnolias sont des arbres et des arbustes aux grandes feuilles résistantes et caduques (qui tombent en hiver) ou persistantes, selon la variété. Ses fleurs délicates leur confèrent un charme fou. Leurs grands pétales s’étirent telles des étoiles. D’autres, se referment en forme de cloche. Leurs couleurs ? Rose, violine, crème, blanc. Ce sont les premières fleurs à être apparues au monde, il y a 100 millions d’années. Au printemps et en été, elles recouvrent toute la plante. Voici quelques indications générales sur la période de taille de cette plante, jeune ou adulte.
Grandiflora, Stellata, Soulangeana : feuillage, floraison et variétés de magnolias (caducs ou non)
Il existe plusieurs variétés de magnolias : le magnolia Stellata, le magnolia Soulangeana ou encore le magnolia Grandiflora “au feuillage coriace et lustré et aux fleurs délicieusement parfumées“, indique la jardinerie Truffaut. De manière générale, un magnolia ne fleurit qu’une seule fois par an, au début du printemps. Si toutefois ses bourgeons s’ouvrent avec de l’avance en raison d’un été clément, il aura moins de fleur la saison suivante. Cela fait partie des conséquences du dérèglement climatique.
À quelle période de l’année tailler un magnolia de petite taille ?
Un magnolia ne nécessite aucune taille particulière. Sa floraison n’en dépend pas. Toutefois, il est conseillé de le tailler les premières années à la fin du mois d’avril. Cela permettra à l’arbuste ou à l’arbre d’orienter et de façonner sa silhouette, de remodeler la ramure. Et, ce, notamment, en fonction de la place disponible que vous pouvez lui accorder. Pour moduler sa forme dès son plus jeune âge, les jardineries recommandent de tailler “les branches indésirables disgracieuses“. Mais jamais plus d’un tiers de la totalité de la surface de l’arbre.
Pourquoi faut-il arrêter de tailler un magnolia en pleine croissance ?
Comme mentionné, un magnolia peut se passer de taille, surtout une fois qu’il est bien établi et enraciné. Aussi, après 4 ou 5 ans, sa croissance s’accélérera naturellement, il grandira de manière pyramidale et ne nécessitera plus d’entretien. Bien qu’il n’ait pas encore atteint l’âge adulte (ce sera le cas à partir de 5 ou 6 m de hauteur), il devient donc inutile de continuer à le tailler.
La taille de formation
Un élagage est possible mais seulement pour équilibrer la ramure. Il faut dire que ce qui caractérise le plus cet arbre c’est sa forme naturelle. Au fur et à mesure de sa croissance, il peut avoir tendance à se déstructurer et s’arrondir avec le poids de sa floraison, surtout s’il est en pot. La préserver fait donc partie de ses atouts. Pour cela, on peut effectuer une taille de formation à raison d’une fois par an ou tous les 2-3 ans.
Les jardineries conseillent vivement de procéder avant les premiers signes du printemps (le retour végétatif) mais tout de même en dehors des périodes de gel. Chez les espèces caduques, elle s’effectue donc plutôt après la floraison, lorsque la pression de la sève diminue. Chez les magnolias persistants, c’est au mois de février ou mars. Quant aux branches mortes ou fragiles, il est toutefois possible de les retirer dès apparition.
Comment rajeunir un vieux magnolia et en prendre soin ?
Contrairement à d’autres arbres, le magnolia ne nécessite pas d’entretien spécifique notamment l’hiver. Toutefois, le temps peut avoir des conséquences sur sa vitalité : bois sec, peu esthétique, feuillage troué, arbre arrondi et alourdi… Pour redonner une jeunesse à un vieux magnolia, la taille est une bonne méthode.
Pour cela, il suffit de couper les branches basses d’un diamètre inférieur à 2 cm pour ne garder que les branches charpentières. Gardez également les branches supérieures plus épaisses qui feront mieux circuler la sève. Ainsi, on permet à l’arbre de concentrer son énergie sur les branches les plus vivaces. De quoi lui conférer, à la manière d’une coupe de cheveux, un rafraîchissement.
Les périodes de taille à éviter absolument (pour les fleurs)
Peu importe la variété et l’âge de l’arbre, il faut absolument éviter de le couper au cours du printemps ou de l’été. Cela correspond à sa période de floraison. Un conseil également valable pour de nombreuses autres plantes et fleurs.
En effet, tailler un magnolia à ces périodes de l’année le fait saigner abondamment en raison de sa pression racinaire importante. L’écoulement de sève va s’accélérer et la plante perdre une grande partie de ses réserves. Cela ne le mettra pas en danger mais affectera sévèrement son apparence et notamment la prochaine floraison. Au printemps suivant, non seulement les fleurs risquent d’être moins nombreuses mais surtout moins robustes et jolies.
France
L’athlète Mélina Robert-Michon candidate pour être porte-drapeau aux JO 2024
Mercredi soir, aux ateliers Louis Vuitton, Mélina Robert-Michon, vice-championne olympique du lancer de disque, a officialisé sa candidature pour être porte-drapeau de la France lors des JO de Paris 2024. En juillet, elle participera à ses septièmes Jeux.
Elle respecte tous les critères. Mercredi, la marque Louis Vuitton, propriété de LVMH, partenaire des Jeux olympiques et paralympiques de Paris, a présenté mercredi ses malles dédiées aux médailles et à la torche.
Et, lors de ce rendez-vous dans les ateliers Louis Vuitton, à Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine, la vice-championne olympique du lancer de disque en 2016, Mélina Robert-Michon, a officiellement présenté sa candidature pour porter le drapeau français lors de la cérémonie d’ouverture des JO de Paris 2024, le 26 juillet prochain.
La France cherche ses porte-drapeaux pour @Paris2024. Nous avons ce qu’il faut en Isère. Deux champions qui le méritent, @melrobertmichon et @David_Smetanine !
Des athlètes multimédaillés, courageux et humbles qui inspirent de nombreux jeunes bien au-delà de leur discipline. pic.twitter.com/0AHVIsaJTZ
— Jean-Pierre BARBIER (@JPBARBIERISERE) March 27, 2024
Robert-Michon au 7e ciel à Paris ?
Mi-mars, le Comité olympique français a révélé les critères retenus pour prétendre à être le ou la porte-drapeau de la France. Pour cela, il faut respecter trois conditions bien définies. Dans un premier temps, le sportif devra avoir déjà disputé les Jeux olympiques par le passé. Par la suite, il ne devra pas avoir été désigné porte-drapeau lors des JO précédents. Puis, les prétendants devront présenter un casier judiciaire vierge.
Trois critères que remplit parfaitement Mélina Robert-Michon. Elle qui n’a jamais eu l’honneur d’être porte-drapeau peut compter sur sa grande expérience olympique. Après Sydney, Athènes, Pékin, Londres, Rio et Tokyo, la Française va connaître, à domicile, sa septième édition des Jeux olympiques. «Forcément ça me branche, c’est quelque chose qui me tient à cœur. Les JO représentent énormément de choses pour moi, ça a guidé plus de vingt ans de ma vie», a reconnu la vice-championne olympique.
Les athlètes votent eux-mêmes
Concrètement, les athlètes français vont avoir eux-mêmes la responsabilité de désigner leur représentant. Un critère qui ne déplaît pas à la médaillée d’argent à Rio en 2016.
«Ils doivent me choisir si mon parcours les inspire, si ma personnalité leur plaît. Je suis comme je suis. Chacun a une définition un peu propre du rôle de porte-drapeau. Ça doit correspondre à leur idée. Je serais très fière de les représenter et de les emmener tous avec moi sur ces JO pour que ce soit une belle réussite», a-t-elle souligné.
Il faudra donc attendre le 17 avril prochain, à J-100 du lancement des Jeux olympiques, pour connaître la date officielle de dévoilement des quatre porte-drapeaux. Par la suite, le CNOSF et le CPSF présenteront mi-juillet le nom des quatre athlètes sélectionnés. Le sprint final vers Paris 2024 est donc lancé.
France
Halle Berry se livre sur son entrée dans la périménopause et évoque avec transparence un symptôme qui l’a éprouvée : Femme Actuelle Le MAG
La ménopause est un voyage propre à chaque femme, qui réserve souvent son lot de secousses. Ces dernières années, les célébrités ont été de plus en plus nombreuses à témoigner et à livrer leurs histoires, à l’image de Naomi Watts qui s’est récemment confiée sur sa ménopause précoce survenue à l’âge de 36 ans. À son tour, Halle Berry a décidé de parler de sa périménopause, soit la période de transition qui précède l’arrêt définitif des règles. Cette étape charnière dure généralement deux à quatre ans, et s’accompagne souvent de multiples symptômes dus au bouleversement hormonal qui traverse l’organisme.
C’est en se rendant à l’événement A Day of Unreasonable Conversation, un rendez-vous annuel qui réunit des membres du milieu artistique et des dirigeants gouvernementaux, qu’Halle Berry s’est livrée sur sa périménopause. À l’occasion de ce sommet, l’actrice de 57 ans a échangé avec la Première dame américaine, Jill Biden, sur la santé des femmes, la manière dont les femmes âgées sont représentées et plus précisément la ménopause. Sur la scène, Halle Berry est revenue sur son histoire personnelle et a expliqué qu’elle était loin de penser que son corps entrait en ménopause quand c’est arrivé. “Au début, mon ego m’a fait croire que je n’allais pas devoir passer par la case périménopause. Je suis en pleine forme. Je suis en bonne santé“, a-t-elle confié, avouant qu’elle était “peu informée sur le sujet à l’époque“.
Halle Berry espère sensibiliser l’opinion publique sur la ménopause
Halle Berry a poursuivi et expliqué qu’un jour, après un rapport sexuel avec son compagnon, le musicien Van Hunt, elle a soudainement ressenti une intense douleur, semblable à “des lames de rasoir dans [s]on vagin“. Elle s’est alors rendue auprès de son gynécologue, qui a pensé qu’elle avait de l’herpès. Le couple est allé se faire dépister afin de savoir s’ils souffraient bel et bien d’herpès génital, or le diagnostic s’est avéré négatif. Halle Berry a su par la suite que sa douleur cachait en réalité un symptôme de périménopause : la sécheresse vaginale. À la suite de cet épisode, l’ancienne James Bond girl a décidé de partager son histoire dans l’espoir de “faire la différence pour les autres femmes“, raconte-t-elle.
Face au public, Halle Berry a souhaité “changer la façon dont les femmes et les hommes voient les femmes qui ont la cinquantaine” et les perceptions qu’ils ont de la ménopause. Pour l’actrice, ce mot qui était, jusqu’à il y a peu, tabou comme un gros mot, doit être prononcé haut et fort : “Nous, dans cette salle, nous devons changer cela… Ce n’est pas une histoire sombre et malheureuse, c’est une période glorieuse de la vie.” En chœur avec Jill Biden, Halle Berry a terminé par lancer un appel aux dirigeants présents afin d’aider à “changer la façon dont la culture perçoit les femmes à ce stade de leur vie“. Un appel qui fait écho à la signature par Joe Biden d’un décret sommant son administration de faire progresser la recherche sur la santé des femmes, trois semaines plus tôt.
Sources :
- Halle Berry Recalls Her Doctor Saying She Had the ‘Worst Case of Herpes’ He’d Ever Seen — but It Was Perimenopause – People
- Halle Berry Details Herpes Scare That Was Actually Perimenopause in Conversation with First Lady Jill Biden – Hollywood Reporter
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