Comme chaque soir depuis déjà près de 17 ans, Nagui recevait de nouveaux challengers sur le plateau de N’oubliez pas les paroles, ce jeudi 18 avril 2024. Et parmi les quelque 5.000 candidats qu’il a rencontrés depuis le lancement de son émission de karaoké, nul doute que l’animateur se souviendra de Maé. Venue tenter de ravir le micro d’argent à la Maestro Karine, la jeune étudiante en écologie évolutive et comportementale a fait forte impression… mais pas forcément dans le bon sens du terme ! S’étant présentée comme une fan de faits divers, fascinée par la psychologie des tueurs en série, la candidate a légèrement effrayé Nagui. “J’ai envie de sortir du plateau, parce que vous m’inquiétez beaucoup”, a lancé la star de France 2, avant d’aller plus loin encore, en imaginant Maé commettre son meurtre : “Elle est capable de nous tuer, tous ! Et plus tard, dans le reportage aux infos, on dira ‘Elle était très gentille Maé, on ne comprend pas, elle s’est jetée sur Nagui…’” De quoi faire beaucoup rire la principale intéressée.

“Vous pourriez vivre ensemble tous les trois”, Nagui effrayé par l’anecdote de la candidate

Mais bien sûr, comme à son habitude, Nagui a fait durer la vanne tout au long de la soirée. Notamment lorsque Maé lui a raconté les débuts surprenants de son histoire d’amour. “Comment s’est passée la rencontre ?”, lui a demandé l’animateur, à propos de son compagnon Thomas, avec qui elle est en couple depuis deux ans. Et quelle ne fût pas sa surprise lorsque la candidate a répondu : “Grâce à vous ! Je l’ai vu dans l’émission il y a deux ans, je ne le connaissais pas du tout. Il y avait une bonne ambiance avec vous, ça se vannait bien, c’était super.” Séduite, Maé avait alors “mis un message sur les réseaux sociaux” à l’attention de l’étudiant, qui avait participé à N’oubliez pas les paroles en décembre 2021… sans même prévenir sa famille. “Il m’a répondu, il est passé outre sa peur et ça fait deux ans qu’on est ensemble maintenant”, a raconté la jeune femme.

Tout au long de ce récit, Nagui n’a pas cherché à masquer sa terreur. “Vous pourriez peut-être vivre ensemble tous les trois, pour toujours”, a plaisanté le musicien Fabien Haimovici, avant que l’animateur ne rétorque : “Oui… au fond d’un caveau !” Il n’a d’ailleurs pas manqué de faire une nouvelle raillerie sur son invitée. “Mais vous l’avez harcelé ? Sécurité ! Sécurité !”, s’est-il mis à hurler en plateau, sous les rires du public. Une séquence pleine d’humour, à retrouver dans notre vidéo ci-dessus.

Désigné la semaine dernière pour être l’un des porteurs français de la flamme olympique, Baptiste Moirot connu pour sa vidéo «mais t’es pas net», a finalement renoncé à cet honneur à la suite d’accusations de harcèlement sexuel sur des mineures.

Peut-être pas si net. «Compte tenu des accusations récentes portées contre Baptiste, celui-ci a pris la décision en lien avec le Comité d’Organisation de ne pas porter la flamme», a indiqué à la presse le comité ce jeudi 18 avril. En effet, une semaine après avoir été désigné comme l’un des 11.000 porteurs de la flamme olympique pour les JOP de Paris 2024, Baptiste Moirot a décidé, en accord avec le Cojo, de se retirer du relais.

«J’ai pris la décision de me retirer du relais de la flamme, par respect et pour protéger ma famille et moi-même», a précisé sur son compte Instagram le Français de 29 ans connu pour sa vidéo virale publiée en 2017. Vidéo dans laquelle ce dernier essayait de faire du feu dans sa chambre.

Et pour cause, depuis le début de la semaine Baptiste Moirot est la cible de plusieurs accusations sur les réseaux sociaux. D’après différentes femmes, le jeune homme aurait envoyé à des mineures des messages à caractère sexuel en 2021. En outre, une internaute a également évoqué des attouchements non consentis.

«J’ai commis des erreurs»

Sans reconnaitre les faits, le désormais influenceur a toutefois présenté ses excuses avant de renoncer au port de la flamme olympique. «J’ai commis des erreurs et j’en suis profondément désolé. Depuis que je suis devenu père, j’ai fondé ma propre famille, j’ai vraiment pris conscience de l’importance de mes actions et de l’exemple que je veux donner. Je suis déterminé à apprendre de mes erreurs du passé et à continuer à œuvrer pour un monde meilleur», a-t-il déclaré dans une story Instagram.

De son côté, le Comité d’Organisation des Jeux olympiques a reconnu «une décision responsable au regard de la situation».

Il compte plus de 170 chansons à son répertoire, dont certaines sont devenues de véritables tubes. On pense bien sûr à Fruit de la passion, mais aussi Alice ça glisse ou encore Vas-y Francky c’est bon, devenues des emblèmes d’une époque. Et c’est justement grâce à ces titres cultes que Francky Vincent continue aujourd’hui de mener un train de vie très confortable, plus de trente ans après ses premiers succès en France. C’est ce qu’il a confié lors de son passage dans l’émission Chez Jordan, diffusée sur C8 jeudi 18 avril 2024. Comme à son habitude, Jordan de Luxe n’a pas pu s’empêcher d’interroger son invité sur sa situation financière. L’animateur a ainsi demandé à Francky Vincent quelle est la chanson qui lui rapporte le plus par mois, encore aujourd’hui. “Fruit de la passion”, a immédiatement répondu le chanteur guadeloupéen, sans même y réfléchir.

Francky Vincent gagne près de 10.000 euros par mois, pour un seul tube !

Bien sûr, Jordan de Luxe a voulu en savoir plus et a demandé à son interlocuteur de donner un chiffre. “On n’arrive pas toujours à mensualiser ça”, explique Francky Vincent, précisant toucher de l’argent tous les six mois. Un montant qui n’est pas forcément le même d’un mois à l’autre, et qui “s’effrite un peu avec le temps”. Une réponse qui n’a évidemment pas satisfait l’animateur : “Tous les six mois, c’est quoi, 10.000 euros ?”, a-t-il insisté. “Non, c’est beaucoup plus que ça ! Mais je n’ai pas envie d’afficher, parce que ça va, ça vient”, a rétorqué Francky Vincent, en acquiesçant toutefois lorsque Jordan de Luxe a estimé à 10.000 euros par mois ses revenus pour Fruit de la passion. Une somme colossale, qui lui permet donc de vivre très aisément depuis déjà 33 ans. Sans oublier bien sûr ses dizaines d’autres titres à succès !

Mais Francky Vincent l’assure : il n’est pas millionnaire. En tout cas, selon sa propre définition. “Il faut que tu gagnes un million par mois, ce n’est pas mon cas !”, s’est défendu le chanteur de 68 ans, avant d’être repris par Jordan de Luxe : “Non, il faut avoir un million sur son compte, c’est votre cas.” Pas de quoi convaincre son invité, qui restera campé sur sa position ! Du pur Francky Vincent, finalement.

Ce jeudi 18 avril, adidas a dévoilé ses tenues pour les équipes de France d’athlétisme et de handball ainsi que pour d’autres disciplines dont la boxe pour les Jeux olympiques et paralympiques Paris 2024.

A 99 jours des JO 2024, c’est au tour de la marque allemande adidas de dévoiler ce jeudi 18 avril, les tenues que porteront de nombreux sportifs pendant les Jeux olympiques de Paris 2024. Car si Le Coq Sportif s’occupe de la majeure partie des tenues françaises, certaines disciplines conservent leur équipementier. C’est le cas du handball et de l’athlétisme.

Conçu pour atteindre les sommets !

Découvre le nouveau kit qui accompagnera l’équipe de France jusqu’à l’été 2025 ! @ffathletisme x @adidasFR #PortesParNosCouleurs #Createdwithadidas pic.twitter.com/61NfHeQzHC

— FFAthlétisme (@FFAthletisme) April 18, 2024

Pour les deux disciplines, le design est inspiré par Paris, ville hôte, appelée aussi «la ville des lumières». «Les tenues s’affichent avec des détails évoquant des rayons lumineux. Vingt lignes distinctes composent chacun des rayons en hommage aux vingt arrondissements de la ville. La dernière ligne rose au bas de chaque triangle représente le cœur de Paris», peut-on lire sur le communiqué de la marque. A noter que sur le devant des maillots se trouve une bande blanche «symbolisant l’union des athlètes».

Faire briller nos couleurs, poursuivre la légende ✨

Tunique de combat pour un rendez-vous avec l’histoire @ffhandball x @adidasFR #PortesParNosCouleurs pic.twitter.com/KYY5d0PP99

— Equipes de France de Handball (@FRAHandball) April 18, 2024

Les tenues ont été conçues avec une matière de la gamme Adizero, censée rendre les athlètes «20 à 40 % plus légers» que les anciens équipements. «En athlétisme, cela fait partie des gains marginaux, indique Adidas. Plus tu es léger, plus tu as de chances de gagner ce centième, ce centimètre qui peut faire la différence.»

En parallèle de cette présentation des tenues des équipes de France de handball et athlétisme, la marque aux trois bandes a également présenté les tenues de plusieurs nations mais également des paires de crampons (football), running, ou encore boxe. Elles sont toutes d’un coloris noir et jaune avec les 3 bandes en blanc.

Et comme il n’y a pas que les «Olympiques» mais aussi les «Paralympiques», Adidas a annoncé que 86 % des produits de sa collection (destinés au terrain et en dehors) ont été créés à l’aide de principes de design universels afin que tous les athlètes puissent les porter, qu’ils aient un handicap ou non. Dans le cadre de cette collection, adidas lance pour la première fois une tenue d’entraînement adaptée dont les motifs et les finitions ont été spécialement conçus pour des athlètes en position assise ou en fauteuil roulant.

“Encore aujourd’hui en 2024, nous n’acceptons pas que les femmes soient au pouvoir et qu’elles demandent le pouvoir, qu’elles cherchent le pouvoir.” Être la cible de critiques, c’est le propre de toute personne qui se lance en politique. En revanche, lorsque les critiques deviennent des menaces, c’est que l’opposition va trop loin. Et ça, Sandrine Rousseau en fait les frais depuis des années. Voilà maintenant quinze ans qu’elle a débuté sa carrière chez Europe Écologie Les Verts, et presqu’aussi longtemps qu’elle subit du harcèlement au quotidien. À tel point qu’elle estime avoir été, “à une époque”, la femme la plus harcelée de France. C’est ce qu’elle a confié dans une interview avec Paul Larrouturou, reporter politique pour TF1Info, mardi 16 avril 2024. La députée de Paris, connue pour lutter ardemment contre les violences sexistes et sexuelles, a dévoilé certaines des pires menaces de mort et de viol qu’elle reçoit chaque jour.

“Un jour prochain, on te coincera dans le sous-sol de ton immeuble et on te donnera le plaisir auquel tu aspires. Mais si tu n’es pas d’accord, fais donc appel à la police que tu détestes”, lit-elle face à la caméra. “Je vais t’égorger sale p*te, tu ne parles plus jamais du voile en négatif, on a toujours un œil sur toi, où que tu ailles, tu auras toujours un frère devant et derrière toi, t’as compris l’européenne ?” ; “Demain, si vous traversez la route devant moi, je ne sais pas si je n’aurais pas de frein ou si ma voiture ne répondra pas” ; “Il finira par t’arriver de sérieux problèmes, va te cacher sal*pe” ; ou encore “Va crever sale chienne”. Voici des exemples des courriers que Sandrine Rousseau reçoit chaque jour.

Sandrine Rousseau se livre sur l’impact de ce harcèlement sur sa “santé psychique”

“Il faut bien comprendre que ces violences-là ne sont pas des petites violences, des sous-violences. Se faire insulter, cracher à la gueule toute la journée, ce n’est pas sans impact sur notre santé psychique, sur le fait qu’on se sente bien ou pas”, rappelle la députée. D’ailleurs, elle ne vit plus sereinement depuis qu’elle est victime de ces insultes et menaces. “Aujourd’hui je ne marche plus jamais dans la rue sans être en hyper vigilance, quand je prends le métro je ne me mets jamais au bord du quai, jamais. Je me colle au mur. Je reçois tellement de choses que je me dis ‘ces gens existent’, donc qui me dit qu’un jour je ne vais pas croiser le chemin de l’un d’entre eux”, se désole Sandrine Rousseau.

Et si elle estime que “rien ne vaut le coup de vivre tout ça”, elle n’a pas pour autant l’intention d’abandonner ses combats ou sa carrière dans la politique. Car elle pense avant tout à “toutes les jeunes filles qui sont beaucoup plus cyberharcelées que les autres”, à qui elle souhaite adresser un message fort : “Non seulement vous n’êtes pas seules mais si aujourd’hui, je parle, c’est pour vous et j’espère de tout mon cœur que cette parole vous aidera vous-même à relever la tête. Vous n’êtes pas responsables des violences que vous subissez.”

“Je ne suis pas dans le rôle de la petite fille sage et gentille”

Bien sûr, Sandrine Rousseau est parfaitement consciente que ses opinions politiques peuvent déplaire, mais pour rien au monde elle ne cautionnerait de tels comportements : “Oui, j’ai des punchlines, si elles ne vous plaisent pas vous zappez, […] vous râlez dans votre cuisine, vous avez le droit de dire ‘je ne la supporte pas’. Ce que vous n’avez pas le droit de faire, c’est de faire des menaces, d’avoir des propos sexistes, de poster des photos où je suis présentée comme folle. C’est interdit par la loi.” Mais l’éco-féministe en est persuadée, ces cas de harcèlement étant loin d’être isolés, cela relève d’un plus large problème de société. “Nous n’acceptons pas que les femmes soient au pouvoir. […] C’est ça qu’on me reproche, c’est le fait que je n’ai pas de fausse pudeur ou que je ne suis pas dans le rôle de la petite fille sage et gentille que l’on attend. Moi, je dis ‘je suis là et je veux bouger les choses’ et ça c’est inaudible, c’est inacceptable pour une partie de la population”, déplore-t-elle finalement face à Paul Larrouturou.

Les factures de péage autoroutiers seront bientôt réglables dans les bureaux de tabac, a révélé le président de la confédération nationale des buralistes samedi 13 avril. Quels sont les contours de ce système inédit ?

Faciliter le trajet des automobilistes. C’est ce que permettra ce nouveau moyen de paiement grâce auquel le conducteur pourra régler sa facture de péage autoroutier dans un bureau de tabac, dans les 48 heures qui suivent le trajet.

Dans un entretien accordé à Ouest-France, le président de la confédération nationale des buralistes Philippe Coy a dévoilé le fonctionnement de ce tout nouveau système. Il sera d’abord mis en place sur l’axe Paris-Normandie, par la SANEF (Société concessionnaire d’autoroutes françaises), chargé de la gestion des péages des Hauts-de-France.

Ainsi, les barrières sur l’A13 et l’A14 seront remplacées par des portiques équipés de caméras. Ces dernières prendront en photo les plaques d’immatriculation des véhicules. Leurs propriétaires auront alors 48 heures pour régler la facture de leur passage : «Ça pourra se faire en ligne. Mais d’ici le deuxième semestre, il sera possible de le payer chez votre buraliste», a précisé Philippe Coy. 

L’automobiliste n’aura qu’à présenter le numéro de sa plaque d’immatriculation au bureau de tabac, et ce dernier encaissera l’argent par le service de paiement Nirio de la Française des Jeux.

Les personnes n’ayant pas pu régler leur péage dans les 48 heures auront toujours la possibilité de le faire, passé le délai, en échange d’une majoration de retard.

Avec cette nouvelle initiative lancée, la confédération nationale des buralistes étend son ambition d’élargir son champ d’activité, face à la baisse des ventes de cigarettes. Régler son péage s’ajoute ainsi à la liste d’actions récemment rendues possibles sur place, à savoir payer ses impôts, ses amendes, et parfois même son loyer, pour certains locataires. 

Le cancer de la vessie est le 5ème cancer en France et le 2ème cancer urologique après celui de la prostate. Il correspond à une multiplication excessive de cellules anormales dans la paroi interne ou muqueuse de la vessie, indique l’Assurance Maladie.

Comme l’ont expliqué les docteurs Benjamin Pradere et Yann Neuzillet, tous deux urologues et membres du comité de cancérologie de l’Association Française d’Urologie, lors d’une conférence de presse de l’AFU qui s’est déroulée le 18 avril, l’apparition du cancer de la vessie est favorisée par certains facteurs de risque tels que la consommation de tabac, qui en est le principal, puisqu’il est à l’origine de 53% des cas de cancer de la vessie chez les hommes et 39% chez les femmes.

Plus le cancer de la vessie est détecté tôt, plus les chances du survie sont grandes. Cependant, lors de cette conférence de presse, les urologues ont pointé du doigt un retard de diagnostic du cancer de la vessie chez les femmes, notamment lié à une confusion dans les symptômes.

Cancer de la vessie : quels sont les principaux signes et pourquoi peuvent-ils retarder le diagnostic chez les femmes ?

Lorsque le cancer de la vessie est pris en charge à temps, son taux de survie est de plus de 80 % sur les cinq années qui suivent, peut-on lire dans le communiqué de l’Association Française d’Urologie. Par ailleurs, si le diagnostic est réalisé plus tard, on observe seulement 50 % de survie et 5 % au stade métastatique.

Pour que le cancer de la vessie soit pris en charge le plus tôt possible, il est donc essentiel de prêter attention à certains symptômes, comme la présence de sang dans les urines appelée hématurie, qui peut se révéler plus ou moins abondante, être présente tout au long de la miction ou survenir par intermittence. Parmi les symptômes de ce cancer, l’on retrouve également les cystites à répétition ou encore les troubles de la miction.

Malheureusement, ces symptômes sont parfois mal interprétés par les femmes, comme l’on expliqué les spécialistes en urologie lors de la conférence de presse. En effet, certaines femmes ont tendance à assimiler ces symptômes à ceux d’une infection urinaire, ce qui retarde le diagnostic du cancer de la vessie, car elles ne vont pas consulter leur médecin dès l’apparition des premiers symptômes. De plus, selon les experts, les femmes ont tendance à moins uriner que les hommes, ce qui fait qu’elles sont en contact durant plus longtemps avec les toxines contenues dans la vessie et qui doivent être expulsées en urinant. Ainsi, même si les hommes sont quatre fois plus concernés par le cancer de la vessie, les femmes qui le développent sont souvent touchées par une forme plus grave et plus invasive.

Comment se déroule la prise en charge du cancer de la vessie ?

En ce mois de sensibilisation au cancer de la vessie, il est essentiel de rappeler qu’il faut se faire dépister dès lors que l’on ressent le moindre symptôme. D’autant plus que le taux d’incidence de ce cancer a augmenté de 7,1 % depuis 2020. Pour cela, il est essentiel de consulter votre médecin qui vous orientera vers un urologue. Celui-ci vous prescrira plusieurs examens :

• Un examen cytobactériologique des urines (ECBU) dont l’objectif est de rechercher la présence de germes dans les urines.
• Une cystoscopie ou fibroscopie vésicale qui correspond à une exploration endoscopique de la vessie.
• Une anatomopathologie si une tumeur a été décelée. Comme l’explique l’Institut National du Cancer, “l’objectif de cet examen est de déterminer toutes les caractéristiques de la tumeur : sa nature exacte, sa composition, son degré d’agressivité”. C’est seulement après cet examen que les médecins peuvent affirmer notamment si la tumeur est cancéreuse ou non et quel est son grade.

Une fois le diagnostic posé, l’urologue doit réaliser une résection endoscopique pour traiter la tumeur. Cette technique est réalisée par les voies naturelles à l’aide d’un tube de faible calibre, appelé résecteur, munie d’une anse coupante et coagulante qui permet de retirer chirurgicalement les polypes puis de coaguler la base des lésions. Une fois les traitements terminés, débute la phase de l’après-cancer pendant laquelle le suivi commence. Il s’agit d’une surveillance indispensable à court et à long terme, régulière et adaptée à votre situation durant laquelle vous serez amené à réaliser des examens de contrôle afin d’éliminer tout risque de récidive.

Sources :

• Dossier de presse – Cancer de la vessie : Les urologues se mobilisent pour que les patients français puissent accéder aux traitements les plus innovants – Association Française d’Urologie
• Cancer de la vessie : définition et facteurs favorisants – Assurance Maladie
• Examen anatomopathologique – Institut National du Cancer

Depuis ce jeudi 18 avril, des pièces de la garde-robe de la princesse Diana sont exposées dans un centre commercial à Hong-Kong. Parmi elles, des tenues uniques qui seront proposées dans une vente aux enchères prévue en juin.

L’ancienne colonie britannique accueille, depuis jeudi, une exposition d’une partie de la collection de robes, sacs et chaussures de la princesse Diana. Durant 12 jours, ces pièces, souvenirs de moments vécus par Lady Di (1961-1997), seront visibles dans le centre commercial d’Hong-Kong, avant de prendre la route vers l’Irlande pour une nouvelle exposition. Elles feront enfin l’objet d’une vente aux enchères le 27 juin. Voici trois des tenues proposées, qui évoquent des moments de la vie de la «princesse des cœurs». 

La robe fleurie d’anniversaire

Cette robe à l’imprimé floral rouge a été portée par la princesse Diana le jour de son anniversaire, le 1ᵉʳ juillet 1992. Diana Spencer a été aperçue la portant à la sortie de l’école du prince Harry. 

La veste jaune jonquille

Cette veste mythique, cintrée et épaulée, a été portée par la princesse lors d’un voyage à Hong-Kong en 1989. Créée par Catherine Walker, elle pourrait atteindre les 50.000 dollars lors de la vente. 

La robe de soirée

Une autre pièce risque d’attirer toutes les attentions : une robe en tulle bleu nuit, ornée d’étoiles, créée par Murray Arbeid. Lady Di l’avait portée à l’occasion de la première de la comédie musicale «Le Fantôme de l’Opéra», en 1986 au West End à Londres. Cette dernière pourrait s’envoler au prix de 400.000 dollars.  

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