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La France s’engage à continuer les réformes après la baisse de sa note par Fitch

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Le ministre français des Finances Bruno Le Maire a assuré samedi à l’AFP que Paris allait continuer à “faire passer des réformes structurantes”, au lendemain de l’abaissement de la note financière de la France par l’agence Fitch.

“Je crois que les faits infirment l’appréciation de l’agence Fitch. Nous sommes en mesure de faire passer des réformes structurantes pour le pays”, a-t-il dit, citant la réforme de l’assurance chômage et celle des retraites.

“Et nous continuerons à faire passer des réformes structurantes pour le pays”, a-t-il affirmé dans cette déclaration à l’AFP.

Fitch a abaissé vendredi soir la note française, invoquant les fortes tensions sociales à l’oeuvre autour de la réforme des retraites.

“L’impasse politique et les mouvements sociaux (parfois violents) constituent un risque pour le programme de réformes de Macron”, a estimé dans un communiqué l’agence de notation en annonçant la dégradation de la note française d’un cran, à “AA-” contre “AA” précédemment.

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“Même les arbitres du marché financier donnent un carton rouge à Emmanuel Macron sur sa gestion de la réforme des retraites”, a ironisé sur Twitter le président de la commission des Finances de l’Assemblée nationale Eric Coquerel (La France insoumise).

“Dépenses incontrôlées, production industrielle au plus bas, emprunts indexés sur l’inflation. La France dépense plus qu’elle ne produit. La vérité nous rattrape après des années d’impuissance et de démagogie”, a attaqué sur le même réseau le président des Républicains Eric Ciotti.

Bruno Le Maire a de son côté réaffirmé samedi sa volonté de mener “toute une série de réformes qui vont accélérer la transformation du modèle économique français”. Il a évoqué à ce sujet le “projet de loi industries vertes qui va être présenté dans quelques jours et qui va permettre de réindustrialiser la France, d’ouvrir de nouveaux sites industriels et de créer de nouveaux emplois”.

“Ne doutez pas de notre détermination totale à rétablir les finances publiques de la nation (…) à accélérer le désendettement du pays, à réduire les déficits et à accélérer la réduction des dépenses publiques”, a déclaré le ministre français depuis Stockholm où il participe à une réunion des ministres des Finances de l’UE.

– “Forces radicales” –

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Il y a six semaines, le gouvernement français a définitivement adopté son projet de réforme des retraites prévoyant un report de l’âge légal de 62 à 64 ans, grâce à l’appui de l’article 49-3 de la Constitution qui permet de faire passer un texte sans vote au Parlement.

Cette décision a entraîné au niveau social un net durcissement de la contestation, et plusieurs journées de manifestations violentes sur tout le territoire, rappelant l’épisode des gilets jaunes à partir de 2018.

“Cette décision a donné lieu à des manifestations et à des grèves dans tout le pays et renforcera probablement les forces radicales et anti-establishment”, a estimé Fitch qui avait assorti sa précédente notation d’une perspective négative, soit le risque d’un abaissement.

La situation actuelle pourrait aussi “créer des pressions en faveur d’une politique budgétaire plus expansionniste ou d’un renversement des réformes précédentes”, redoute l’agence.

Une “appréciation pessimiste”, a réagi samedi sur Twitter le député Renaissance Jean-René Cazeneuve, rapporteur général de la commission des finances, reprenant les mots employés la veille par Bruno Le Maire.

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Attendue pour une actualisation de sa note vendredi dernier, l’agence Moody’s n’a finalement pas annoncé de nouvelle notation, tandis que l’agence S&P Global, qui accorde actuellement la note de “AA” à la France avec une perspective négative, doit publier ses conclusions le 2 juin.

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Le gouvernement présente un plan anti-fraude sociale tous azimuts | TV5MONDE

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Allocations, cartes Vitale, retraités à l’étranger… Le ministre délégué chargé des Comptes publics Gabriel Attal a dévoilé lundi un vaste plan de lutte contre la fraude sociale qui doit permettre de faire des économies et de doubler les redressements d’ici à 2027.

Ces annonces interviennent trois semaines après un premier plan centré sur la lutte contre la fraude fiscale.

Mais l’une d’elles, la fusion de la carte vitale avec la carte d’identité, n’a apparemment pas fait l’objet de concertation au sein du gouvernement, un cadre du ministère de l’Intérieur a réagi immédiatement et mis en garde contre une telle mesure “techniquement impossible”.

“La fraude sociale, comme la fraude fiscale, est une forme d’impôt caché sur les Français qui travaillent”, a déclaré Gabriel Attal dans un entretien au Parisien.

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La fraude aux prestations sociales seule est évaluée entre 6 et 8 milliards d’euros par an selon la Cour des comptes.

Le ministre se donne 10 ans pour mener le chantier, avec une première étape, à savoir avoir en 2027 “deux fois plus de résultats qu’en 2022”. Les redressements ont déjà augmenté de 35% depuis cinq ans.

Il promet pour cela la création de mille postes supplémentaires durant ce quinquennat et un investissement d’un milliard d’euros dans les systèmes d’informations.

Le ministre a détaillé tout un train de mesures à plus ou moins brèves échéances.

Il veut notamment “renforcer” les conditions de résidence en France “pour bénéficier d’allocations sociales”.

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Il faudra désormais passer neuf mois de l’année dans le pays, contre six prévus actuellement, pour bénéficier des allocations familiales ou du minimum vieillesse, indique le ministre. De même pour les APL qui ne nécessitent que huit mois de présence pour l’heure.

Gabriel Attal entend augmenter les moyens des Urssaf pour limiter la fraude aux cotisations des employeurs.

Autre annonce, avec potentiellement des répercussions concrètes sur les Français, le gouvernement réfléchit à une fusion entre la carte Vitale et la carte d’identité afin de lutter contre les fraudes aux prestations de santé.

“On peut imaginer un modèle où, à compter d’une certaine date, quand vous refaites votre carte d’identité, cela devient automatiquement votre carte Vitale”, a déclaré le ministre au cours d’un échange avec des journalistes, ajoutant qu’une mission de préfiguration serait lancée d’ici à l’été et pourrait parvenir à des conclusions d’ici à la fin de l’année.

Au passage, l’idée d’une carte Vitale biométrique semble abandonnée, notamment compte tenu de son coût.

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“On découvre la mesure de fusion carte vitale / carte d’identité qui est manifestement techniquement impossible à mettre en œuvre et pour laquelle la CNIL est profondément opposée”, a déclaré dans la soirée un cadre de la place Beauvau.

“Attention à ne pas enfreindre la protection des données et les libertés individuelles et à faire des effets d’annonce. La solution reste la carte vitale biométrique qui a été votée et qu’il faut mettre en place”, a ajouté ce cadre.

Bercy veut par ailleurs cibler les retraités vivant hors des frontières européennes afin de mieux identifier ceux qui sont décédés mais continuent à percevoir des allocations.

Le ministre a rappelé que plus d’un million de pensions étaient versées à l’étranger, dont la moitié hors d’Europe, et 300.000 en Algérie.

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Borne attaque le RN ‘héritier de Pétain’, sans oublier LFI | TV5MONDE

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Élisabeth Borne s’en est prise dimanche au Rassemblement national (RN), “héritier de Pétain”, s’attirant les foudres de Marine Le Pen et a aussi accusé Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise de faire “le jeu de l’extrême droite” et de concourir à la montée de la violence.

“Je ne crois pas du tout à la normalisation du Rassemblement national. Je pense qu’il ne faut pas banaliser ses idées, ses idées sont toujours les mêmes. Alors maintenant, le Rassemblement national y met les formes, mais je continue à penser que c’est une idéologie dangereuse”, a déclaré la Première ministre dans un entretien à Radio J diffusé dimanche.

Le RN, héritier de Pétain ? “Oui, également, héritier de Pétain, absolument”, a répondu la Première ministre, fille d’un rescapé de la Shoah.

Qu’en est-il de Marine Le Pen ? “Je n’ai jamais entendu Marine Le Pen dénoncer ce qu’ont pu être les positions historiques de son parti et je pense qu’un changement de nom ne change pas les idées, les racines”, a jugé la Première ministre au sujet du changement de nom du parti en 2018, de FN à RN.

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L’intéressée a vertement répliqué: les propos de la cheffe du gouvernement sont “infâmes et indignes”. “Ils ne sont pas acceptables à l’égard du premier parti d’opposition, de ses 88 députés, de ses milliers d’élus et des millions de Français qu’il représente”, a-t-elle lancé sur Twitter.

Le président du parti Jordan Bardella a aussi dénoncé des “propos graves, mensongers et injurieux” qui “salissent les millions de Français qui votent pour le RN”.

“Élisabeth Borne est à la fois inculte, indigne et incapable”, l’a également étrillée le député RN Sébastien Chenu, en soulignant que parmi les fondateurs du mouvement figurent des résistants.

Mme Le Pen n’est “pas l’héritière de Pétain, faut pas rigoler, le parti a changé”, a assuré à BFMTV le maire de Béziers Robert Ménard, un proche. Il a estimé que “continuer à caricaturer comme ça Marine Le Pen, ça exaspère les gens” et ainsi Mme Borne “fait le jeu” du RN.

“réelle menace”

Interrogée sur la possibilité d’une victoire de la fille de Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2027, la cheffe du gouvernement a dit son inquiétude: “Je crains que tout soit possible. (…) A force de banalisation, c’est une réelle menace”.

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Mme Borne a également jugé qu’il existait “une proximité évidente” entre le RN et Vladimir Poutine. “Si (Mme Le Pen) veut réécrire l’histoire, on n’est pas obligé de tomber dans ce panneau. Cette proximité existe et ne s’efface pas”, a-t-elle assuré. L’ancienne présidente du RN s’est défendue cette semaine de tout “tropisme russe” devant une commission d’enquête parlementaire.

Comme on lui demandait si “le parti de Poutine” en France était à l’extrême droite ou à l’extrême gauche, au RN ou à La France insoumise, la Première ministre a notamment répondu: “il y a effectivement des voix minoritaires aux deux extrêmes, qui sont très ambiguës (…), qui ne prennent pas non plus la condamnation qu’on peut attendre face à une agression de la Russie sur l’Ukraine”.

Vise-t-elle Mme Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ? “Absolument (…) Je pense qu’il y a la même ambiguïté vis-à-vis de Vladimir Poutine, et la même connivence qui continue à exister vis-à-vis de lui”.

Mme Borne ne met cependant “pas de signe égal” entre le RN et LFI, alors que cette question agite le camp présidentiel. “Je dis que le plus dangereux, que l’idéologie qui est fondamentalement dangereuse, c’est celle de l’extrême droite. Mais je vois que le comportement de LFI qui veut finalement déstabiliser notre pays, qui s’en prend à nos institutions, fait aussi le jeu de l’extrême droite”.

S’il y a “beaucoup de facteurs qui expliquent la montée de la violence” dans la société française, “Jean-Luc Mélenchon a sa part de responsabilité, quand on (le) voit hurler devant des policiers +la République c’est moi+, quand on l’entend effectivement vouloir casser, abattre la +mauvaise République+, tenir des propos outranciers en permanence”, a jugé Mme Borne, pour qui les députés LFI “ne jouent pas le jeu du débat démocratique à l’Assemblée nationale”.

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Wauquiez défend sa politique culturelle et attaque la ministre | TV5MONDE

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Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez (LR), critiqué pour des coupes budgétaires dans la culture, défend ses choix d’un “rééquilibrage” territorial et s’en prend à la ministre qui selon lui “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, dans le JDD.

La politique culturelle de l’ancien président des Républicains a été dénoncée ces dernières semaines par le monde culturel et politique. “Quel crime ai-je donc commis qui vaudrait excommunication culturelle?”, s’indigne M. Wauquiez dans cet entretien, en rappelant que quand il a pris la Région à la gauche fin 2015, le budget de la culture était de 59 millions d’euros, contre 77  millions aujourd’hui.

Au travers des critiques, l’élu de droite voit “une dérive dangereuse de notre politique culturelle”: “Le ministère de la Culture est devenu un guichet, une machine à faire tourner les subventions qu’une petite poignée de personnes considèrent comme un dû”.

“La majorité des crédits du ministère de la Culture sont réservés à Paris, à la Région Île-de-France et à quelques métropoles” et “il y a dans notre pays des déserts culturels comme il y a des déserts médicaux”, estime-t-il aussi en évoquant “une culture à deux vitesses”.

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Ainsi, “je veux accorder la même attention au théâtre de Lyon, qui a la chance de bénéficier de centaines de milliers d’euros de financement de l’État, qu’à celui d’Oyonnax qui, lui, est totalement oublié de la ministre de la Culture”, explique le président de Région, se défendant de défavoriser les villes aux mains de ses adversaires politiques.

“La ministre de la Culture doit s’expliquer sur ce sujet au lieu d’esquiver. Je lui demande de faire la transparence sur la répartition par territoires des crédits du ministère”, poursuit Laurent Wauquiez.

Rima Abdul Malak “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, juge-t-il, en considérant qu’”on est bien en peine de dire quelle est sa politique culturelle”.

La ministre s’est inquiétée des choix de Laurent Wauquiez. “On voit où sont ses priorités”, a-t-elle dit récemment en référence aux grands projets qu’il porte – Musée des Tissus, “Maison du Petit Prince” dans le château natal de l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry, site touristique dédié à la civilisation gauloise sur le plateau de Gergovie.

“Laurent Wauquiez, pourquoi vous avez décidé de faire de la culture votre ennemie? En plus ça ne vous ressemble pas, votre parcours, vous êtes quelqu’un de très cultivé, vous n’étiez pas comme ça avant. Qu’est-ce qui se passe?”, a-t-elle demandé encore samedi soir sur France 2.

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Borne sur le RN: Bardella dénonce des ‘propos graves et mensongers’ | TV5MONDE

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Le président du Rassemblement national Jordan Bardella a dénoncé dimanche les “propos graves, mensongers et injurieux” tenus à ses yeux par Élisabeth Borne, qui a estimé que le parti était “héritier de Pétain”.

“En tenant des propos aussi graves, mensongers et injurieux, Élisabeth Borne insulte le premier parti d’opposition et salit les millions de Français qui votent pour le RN”, a tempêté le lieutenant de Marine Le Pen sur Twitter.

“Ce gouvernement est prêt à toutes les indécences pour faire oublier son bilan : personne ne sera dupe”, a-t-il ajouté.

“Je ne crois pas du tout à la normalisation du Rassemblement national”, “héritier de Pétain” et à “‘l’idéologie dangereuse”, a déclaré la Première ministre à Radio J.

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“Élisabeth Borne est à la fois inculte, indigne et incapable”, a aussi critiqué le député RN Sébastien Chenu dans “Questions politiques” (France inter/France info/Le Monde).

“Inculte parce qu’elle oublie que dans l’histoire du Front national, des gens l’ont fondé comme Georges Bidault, président du Conseil et résistant, comme Michel de Camaret, résistant”, a affirmé l’élu du Nord.

Pierre Bousquet, ancien Waffen-SS, a aussi participé à la fondation du Front national en 1972.

“Moi je ne fais pas à Mme Borne le procès d’avoir participé à une administration dont le chef était à l’époque François Mitterrand qui a reçu la francisque”, une décoration sous Vichy, a dit Sébastien Chenu.

“Elle est indigne parce qu’elle masque à travers ses excès de langage des pratiques peu démocratiques quand elle rétablit la censure, en faisant saisir ou caviarder un livre qui parle de sa vie”, “La Secrète” de Bérengère Bonte (L’Archipel), a-t-il attaqué. La justice doit rendre sa décision le 30 juin, après une assignation de la Première ministre pour atteinte à sa vie privée.

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“Elle est incapable, elle ferait mieux de se concentrer sur les Français plutôt que d’insulter des millions d’électeurs”, a conclu le député.

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Wauquiez défend sa politique culturelle et attaque la ministre | TV5MONDE

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Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez (LR), critiqué pour des coupes budgétaires dans la culture, défend ses choix d’un “rééquilibrage” territorial et s’en prend à la ministre qui selon lui “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, dans le JDD.

La politique culturelle de l’ancien président des Républicains a été dénoncée ces dernières semaines par le monde culturel et politique. “Quel crime ai-je donc commis qui vaudrait excommunication culturelle?”, s’indigne M. Wauquiez dans cet entretien, en rappelant que quand il a pris la Région à la gauche fin 2015, le budget de la culture était de 59 millions d’euros, contre 77  millions aujourd’hui.

Au travers des critiques, l’élu de droite voit “une dérive dangereuse de notre politique culturelle”: “Le ministère de la Culture est devenu un guichet, une machine à faire tourner les subventions qu’une petite poignée de personnes considèrent comme un dû”.

“La majorité des crédits du ministère de la Culture sont réservés à Paris, à la Région Île-de-France et à quelques métropoles” et “il y a dans notre pays des déserts culturels comme il y a des déserts médicaux”, estime-t-il aussi en évoquant “une culture à deux vitesses”.

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Ainsi, “je veux accorder la même attention au théâtre de Lyon, qui a la chance de bénéficier de centaines de milliers d’euros de financement de l’État, qu’à celui d’Oyonnax qui, lui, est totalement oublié de la ministre de la Culture”, explique le président de Région, se défendant de défavoriser les villes aux mains de ses adversaires politiques.

“La ministre de la Culture doit s’expliquer sur ce sujet au lieu d’esquiver. Je lui demande de faire la transparence sur la répartition par territoires des crédits du ministère”, poursuit Laurent Wauquiez.

Rima Abdul Malak “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, juge-t-il, en considérant qu’”on est bien en peine de dire quelle est sa politique culturelle”.

La ministre s’est inquiétée des choix de Laurent Wauquiez. “On voit où sont ses priorités”, a-t-elle dit récemment en référence aux grands projets qu’il porte – Musée des Tissus, “Maison du Petit Prince” dans le château natal de l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry, site touristique dédié à la civilisation gauloise sur le plateau de Gergovie.

“Laurent Wauquiez, pourquoi vous avez décidé de faire de la culture votre ennemie? En plus ça ne vous ressemble pas, votre parcours, vous êtes quelqu’un de très cultivé, vous n’étiez pas comme ça avant. Qu’est-ce qui se passe?”, a-t-elle demandé encore samedi soir sur France 2.

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Wauquiez défend sa politique culturelle et attaque la ministre | TV5MONDE

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Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez (LR), critiqué pour des coupes budgétaires dans la culture, défend ses choix d’un “rééquilibrage” territorial et s’en prend à la ministre qui selon lui “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, dans le JDD.

La politique culturelle de l’ancien président des Républicains a été dénoncée ces dernières semaines par le monde culturel et politique. “Quel crime ai-je donc commis qui vaudrait excommunication culturelle?”, s’indigne M. Wauquiez dans cet entretien, en rappelant que quand il a pris la Région à la gauche fin 2015, le budget de la culture était de 59 millions d’euros, contre 77  millions aujourd’hui.

Au travers des critiques, l’élu de droite voit “une dérive dangereuse de notre politique culturelle”: “Le ministère de la Culture est devenu un guichet, une machine à faire tourner les subventions qu’une petite poignée de personnes considèrent comme un dû”.

“La majorité des crédits du ministère de la Culture sont réservés à Paris, à la Région Île-de-France et à quelques métropoles” et “il y a dans notre pays des déserts culturels comme il y a des déserts médicaux”, estime-t-il aussi en évoquant “une culture à deux vitesses”.

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“La ministre de la Culture doit s’expliquer sur ce sujet au lieu d’esquiver. Je lui demande de faire la transparence sur la répartition par territoires des crédits du ministère”, poursuit Laurent Wauquiez.

Rima Abdul Malak “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, juge-t-il, en considérant qu’”on est bien en peine de dire quelle est sa politique culturelle”.

La ministre s’est inquiétée des choix de Laurent Wauquiez. “On voit où sont ses priorités”, a-t-elle dit récemment en référence aux grands projets qu’il porte – Musée des Tissus, “Maison du Petit Prince” dans le château natal de l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry, site touristique dédié à la civilisation gauloise sur le plateau de Gergovie.

“Laurent Wauquiez, pourquoi vous avez décidé de faire de la culture votre ennemie? En plus ça ne vous ressemble pas, votre parcours, vous êtes quelqu’un de très cultivé, vous n’étiez pas comme ça avant. Qu’est-ce qui se passe?”, a-t-elle demandé encore samedi soir sur France 2.

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Wauquiez défend sa politique culturelle et attaque la ministre | TV5MONDE

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Le président d’Auvergne-Rhône-Alpes Laurent Wauquiez (LR), critiqué pour des coupes budgétaires dans la culture, défend ses choix d’un “rééquilibrage” territorial et s’en prend à la ministre qui selon lui “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, dans le JDD.

La politique culturelle de l’ancien président des Républicains a été dénoncée ces dernières semaines par le monde culturel et politique. “Quel crime ai-je donc commis qui vaudrait excommunication culturelle?”, s’indigne M. Wauquiez dans cet entretien, en rappelant que quand il a pris la Région à la gauche fin 2015, le budget de la culture était de 59 millions d’euros, contre 77  millions aujourd’hui.

Au travers des critiques, l’élu de droite voit “une dérive dangereuse de notre politique culturelle”: “Le ministère de la Culture est devenu un guichet, une machine à faire tourner les subventions qu’une petite poignée de personnes considèrent comme un dû”.

“La majorité des crédits du ministère de la Culture sont réservés à Paris, à la Région Île-de-France et à quelques métropoles” et “il y a dans notre pays des déserts culturels comme il y a des déserts médicaux”, estime-t-il aussi en évoquant “une culture à deux vitesses”.

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“La ministre de la Culture doit s’expliquer sur ce sujet au lieu d’esquiver. Je lui demande de faire la transparence sur la répartition par territoires des crédits du ministère”, poursuit Laurent Wauquiez.

Rima Abdul Malak “ferait mieux de sortir de l’entre-soi et du parisianisme”, juge-t-il, en considérant qu’”on est bien en peine de dire quelle est sa politique culturelle”.

La ministre s’est inquiétée des choix de Laurent Wauquiez. “On voit où sont ses priorités”, a-t-elle dit récemment en référence aux grands projets qu’il porte – Musée des Tissus, “Maison du Petit Prince” dans le château natal de l’écrivain Antoine de Saint-Exupéry, site touristique dédié à la civilisation gauloise sur le plateau de Gergovie.

“Laurent Wauquiez, pourquoi vous avez décidé de faire de la culture votre ennemie? En plus ça ne vous ressemble pas, votre parcours, vous êtes quelqu’un de très cultivé, vous n’étiez pas comme ça avant. Qu’est-ce qui se passe?”, a-t-elle demandé encore samedi soir sur France 2.

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Borne attaque le RN ‘héritier de Pétain’, sans oublier LFI | TV5MONDE

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Élisabeth Borne s’en est prise dimanche au Rassemblement national (RN), “héritier de Pétain” dont elle juge la victoire “possible” en 2027, tout en accusant Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise de faire “le jeu de l’extrême droite” et de concourir à la montée de la violence.

“Je ne crois pas du tout à la normalisation du Rassemblement national. Je pense qu’il ne faut pas banaliser ses idées, ses idées sont toujours les mêmes. Alors maintenant, le Rassemblement national y met les formes, mais je continue à penser que c’est une idéologie dangereuse”, a déclaré la Première ministre dans un entretien à Radio J diffusé dimanche.

Le RN, héritier de Pétain ? “Oui, également, héritier de Pétain, absolument”, a répondu la Première ministre.

Qu’en est-il de Marine Le Pen ? “Je n’ai jamais entendu Marine Le Pen dénoncer ce qu’ont pu être les positions historiques de son parti et je pense qu’un changement de nom ne change pas les idées, les racines”, a jugé la Première ministre au sujet du changement de nom du parti en 2018, de FN à RN.

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Interrogée sur la possibilité d’une victoire de la fille de Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2027, la cheffe du gouvernement a répondu: “Je crains que tout soit possible. (…) A force de banalisation, c’est une réelle menace”.

Elle a évoqué ses souvenirs du 21 avril 2002, jour de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle et de l’élimination du socialiste Lionel Jospin, dont elle était alors la conseillère à Matignon.

Mme Borne a également jugé qu’il existait “une proximité évidente” entre le RN et Vladimir Poutine. “Si (Mme Le Pen) veut réécrire l’histoire, on n’est pas obligé de tomber dans ce panneau. Cette proximité existe et ne s’efface pas”, a-t-elle assuré. L’ancienne présidente du RN s’est défendue cette semaine de tout “tropisme russe” devant une commission d’enquête parlementaire.

Comme on lui demandait si le parti de Poutine en France était à l’extrême droite ou à l’extrême gauche, au RN ou à La France insoumise, la Première ministre a notamment répondu: “il y a effectivement des voix minoritaires aux deux extrêmes, qui sont très ambiguës, qui sans doute n’osent pas afficher publiquement leurs positions mais qui ne prennent pas non plus la condamnation qu’on peut attendre face à une agression de la Russie sur l’Ukraine”.

La “part de responsabilité” de Mélenchon

Vise-t-elle Mme Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ? “Absolument (…) Je pense qu’il y a la même ambiguïté vis-à-vis de Vladimir Poutine, et la même connivence qui continue à exister vis-à-vis de lui”.

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Mme Borne ne met cependant “pas de signe égal” entre le RN et LFI, alors que cette question agite le camp présidentiel. “Je dis que le plus dangereux, que l’idéologie qui est fondamentalement dangereuse, c’est celle de l’extrême droite. Mais je vois que le comportement de LFI qui veut finalement déstabiliser notre pays, qui s’en prend à nos institutions, fait aussi le jeu de l’extrême droite”.

S’il y a “beaucoup de facteurs qui expliquent la montée de la violence” dans la société française, “Jean-Luc Mélenchon a sa part de responsabilité, quand on (le) voit hurler devant des policiers +la République c’est moi+, quand on l’entend effectivement vouloir casser, abattre la +mauvaise République+, tenir des propos outranciers en permanence”, a jugé Mme Borne, pour qui les députés LFI “ne jouent pas le jeu du débat démocratique à l’Assemblée nationale”.

Au cours de cet entretien, Mme Borne a également évoqué son père, rescapé de la Shoah, et son propre parcours.

“Je dois tout à la République et à mon pays. J’ai été orpheline à 11 ans, j’étais pupille de la Nation. Ensuite j’ai intégré l’Ecole Polytechnique où j’ai pu poursuivre les études parce que j’étais aussi rémunérée. Et ensuite j’ai commencé mon emploi au sein de l’Etat”, a-t-elle déclaré. “C’est pour moi une promesse d’émancipation, la République”.

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Borne attaque le RN ‘héritier de Pétain’, sans oublier LFI | TV5MONDE

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Élisabeth Borne s’en est prise dimanche au Rassemblement national (RN), “héritier de Pétain” dont elle juge la victoire “possible” en 2027, tout en accusant Jean-Luc Mélenchon et La France insoumise de faire “le jeu de l’extrême droite” et de concourir à la montée de la violence.

“Je ne crois pas du tout à la normalisation du Rassemblement national. Je pense qu’il ne faut pas banaliser ses idées, ses idées sont toujours les mêmes. Alors maintenant, le Rassemblement national y met les formes, mais je continue à penser que c’est une idéologie dangereuse”, a déclaré la Première ministre dans un entretien à Radio J diffusé dimanche.

Le RN, héritier de Pétain ? “Oui, également, héritier de Pétain, absolument”, a répondu la Première ministre.

Qu’en est-il de Marine Le Pen ? “Je n’ai jamais entendu Marine Le Pen dénoncer ce qu’ont pu être les positions historiques de son parti et je pense qu’un changement de nom ne change pas les idées, les racines”, a jugé la Première ministre au sujet du changement de nom du parti en 2018, de FN à RN.

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Interrogée sur la possibilité d’une victoire de la fille de Jean-Marie Le Pen à la présidentielle de 2027, la cheffe du gouvernement a répondu: “Je crains que tout soit possible. (…) A force de banalisation, c’est une réelle menace”.

Elle a évoqué ses souvenirs du 21 avril 2002, jour de la qualification de Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle et de l’élimination du socialiste Lionel Jospin, dont elle était alors la conseillère à Matignon.

Mme Borne a également jugé qu’il existait “une proximité évidente” entre le RN et Vladimir Poutine. “Si (Mme Le Pen) veut réécrire l’histoire, on n’est pas obligé de tomber dans ce panneau. Cette proximité existe et ne s’efface pas”, a-t-elle assuré. L’ancienne présidente du RN s’est défendue cette semaine de tout “tropisme russe” devant une commission d’enquête parlementaire.

Comme on lui demandait si le parti de Poutine en France était à l’extrême droite ou à l’extrême gauche, au RN ou à La France insoumise, la Première ministre a notamment répondu: “il y a effectivement des voix minoritaires aux deux extrêmes, qui sont très ambiguës, qui sans doute n’osent pas afficher publiquement leurs positions mais qui ne prennent pas non plus la condamnation qu’on peut attendre face à une agression de la Russie sur l’Ukraine”.

La “part de responsabilité” de Mélenchon

Vise-t-elle Mme Le Pen et Jean-Luc Mélenchon ? “Absolument (…) Je pense qu’il y a la même ambiguïté vis-à-vis de Vladimir Poutine, et la même connivence qui continue à exister vis-à-vis de lui”.

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Mme Borne ne met cependant “pas de signe égal” entre le RN et LFI, alors que cette question agite le camp présidentiel. “Je dis que le plus dangereux, que l’idéologie qui est fondamentalement dangereuse, c’est celle de l’extrême droite. Mais je vois que le comportement de LFI qui veut finalement déstabiliser notre pays, qui s’en prend à nos institutions, fait aussi le jeu de l’extrême droite”.

S’il y a “beaucoup de facteurs qui expliquent la montée de la violence” dans la société française, “Jean-Luc Mélenchon a sa part de responsabilité, quand on (le) voit hurler devant des policiers +la République c’est moi+, quand on l’entend effectivement vouloir casser, abattre la +mauvaise République+, tenir des propos outranciers en permanence”, a jugé Mme Borne, pour qui les députés LFI “ne jouent pas le jeu du débat démocratique à l’Assemblée nationale”.

Au cours de cet entretien, Mme Borne a également évoqué son père, rescapé de la Shoah, et son propre parcours.

“Je dois tout à la République et à mon pays. J’ai été orpheline à 11 ans, j’étais pupille de la Nation. Ensuite j’ai intégré l’Ecole Polytechnique où j’ai pu poursuivre les études parce que j’étais aussi rémunérée. Et ensuite j’ai commencé mon emploi au sein de l’Etat”, a-t-elle déclaré. “C’est pour moi une promesse d’émancipation, la République”.

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Congé menstruel: les députés socialistes et écologistes veulent briser un ‘tabou’ | TV5MONDE

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Les députés écologistes ont proposé vendredi l’instauration d’un congé menstruel en cas de règles douloureuses ou incapacitantes, deux semaines après le dépôt d’une proposition socialiste dans le même esprit, chaque groupe espérant susciter l’étincelle d’un mouvement transpartisan pour briser un “tabou”.

Après l’adoption d’une loi en Espagne, le sujet émerge en France. Et la gauche se positionne.

Devant la presse à l’Assemblée, les élus écologistes ont présenté une proposition “applicable” pour “briser le tabou sur les menstruations”. Co-auteure de cette proposition avec Marie-Charlotte Garin et Sébastien Peytavie, Sandrine Rousseau a “bon espoir” qu’elle soit adoptée “de manière transpartisane”, même si elle n’est pas à l’ordre du jour à ce stade.

Leur texte prévoit la possibilité d’un arrêt de travail en cas de “menstruations incapacitantes” (douleurs, nausées, céphalées, …), reconnues par un médecin ou une sage-femme. Les personnes concernées pourraient déposer treize jours sur un an, selon leurs besoins. L’arrêt de travail serait intégralement pris en charge par l’assurance maladie et exempté de jour de carence.

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Il pourrait être renouvelé une fois dans l’année, portant la durée maximum à 26 jours “pour les cas les plus graves”.

Côté PS, les députés Mickaël Bouloux et Fatiha Keloua Hachi ont déposé début mai leur propre texte, et des sénateurs en ont fait de même en avril. “On est prêt à lever le tabou des règles”, insiste M. Bouloux.

Les députés PS proposent également un arrêt de travail de 13 jours répartis sur un an, et sans carence, mais dans la limite de deux jours par mois.

Alliés des écologistes, les socialistes ont appelé vendredi dans un communiqué à “une convergence de l’ensemble des initiatives”, et à la création d’un “groupe de travail transpartisan”. “Il y a des sujets de santé publique pour lesquels il faut dépasser les partis”, a plaidé Mme Keloua Hachi.

Chaque texte a ses spécificités : les députés socialistes proposent un congé de 5 jours en cas de fausse couche, et entendent contraindre les entreprises à instaurer des “mesures matérielles” pour la santé menstruelle.

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Les écologistes veulent inscrire dans le droit du travail l’interdiction de toute discrimination en raison de la santé menstruelle, et imposer aux entreprises d’organiser “tous les trois ans” des actions de sensibilisation. Ils entendent élargir l’index d’égalité professionnelle aux inégalités de genre.

A ce stade chacun défend sa mouture, et espère convaincre jusque dans le camp présidentiel. Les écologistes appellent à une rencontre avec le gouvernement.

Fin mars, la ville de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) a lancé l’expérimentation d’un congé menstruel pour ses agentes.

Côté gouvernement, la Première ministre Elisabeth Borne a évoqué fin avril la possibilité de “faciliter” les dispositifs de congés menstruels déjà accordés par certaines entreprises. Mais les députés insistent pour passer par la loi.

Si les groupes de gauche pourraient inscrire leurs textes dans leurs journées réservées lors de la prochaine session ordinaire (fin 2023 ou en 2024), ils invitent le camp présidentiel à soutenir leurs actions. Avec l’espoir de faire examiner une proposition de loi durant une semaine “transpartisane”, avec plusieurs jours de débats si nécessaire.

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