Alors qu’il est d’ores et déjà acté que Lionel Messi quittera le PSG le 30 juin prochain, comment peut-on juger la dernière saison de l’Argentin sous les couleurs parisiennes ? En forme avant la Coupe du monde, qu’il a remportée avec l’Albiceleste, l’ancienne icône du FC Barcelone n’a plus semblé concerné lors de la période post-Mondial.

Son bilan comptable, de prime abord plus qu’emballant avec 16 réalisations et 15 offrandes en Ligue 1, n’est que l’arbre qui a souvent caché la forêt de son aventure compliquée au PSG.

En dehors des terrains, les supporters, qui n’ont pas hésité à le siffler à de nombreuses reprises, ont souvent manifesté leurs griefs envers lui, reprochant sa désinvolture envers les déboires du club cette saison et son manque d’impact dans les grands rendez-vous. D’autres situations ont également fait grincer des dents comme son absence hier lors des trophées UNFP, Messi préférant se rendre au concert de Coldplay à Barcelone. Le PSG a également été souvent agacé par l’attitude du joueur de 35 ans. Le divorce a finalement été totalement consommé en avril dernier quand le septuple Ballon d’Or s’est rendu en Arabie saoudite sans l’accord du club. Un comportement épinglé par le board du club qui avait décidé de le suspendre de toutes activités et de salaire pendant deux semaines, avant que la sanction ne soit réduite de moitié suite aux excuses formulées par Messi.

Un point de non-retour qui a pourtant permis à Lionel Messi de se pencher sur son avenir. Et comme lors de ses visites impromptues ces dernières semaines, la décision de Lionel Messi s’est cantonnée à une lutte à deux entre Barcelone et l’Arabie saoudite. D’après nos informations, la tendance se dirige désormais pleinement vers l’Arabie saoudite. Alors que son rival de toujours Cristiano Ronaldo avait rejoint Al-Nassr cet hiver, la Pulga, qui espère toujours au fond de son coeur pouvoir rejoindre le Barça, commence à se faire de plus en plus à l’idée devrait également rallier le Golfe pour rejoindre le club ennemi d’Al-Nassr : Al-Hilal. D’autant que selon nos informations, l’équipe de Riyad a offert un incroyable pont d’or au génie argentin qui n’a clairement pas laissé de marbre son clan. S’il venait à rejoindre la formation saoudienne, Lionel Messi disposerait d’un contrat d’1,2 milliard d’euros sur 2 ans, soit 600 millions d’euros par an et soit plus du double que ce que touche actuellement CR7.

Des montants mirifiques qui permettraient également au frère et au père de Lionel Messi de toucher la plus grosse commission de l’histoire du football. Le premier choix du natif de Rosario a toujours été le FC Barcelone mais les incertitudes autour du plan de viabilité soumis par le club catalan à la Liga ont contraint le joueur à se diriger vers le Golfe, à contrecœur. Même s’il aimerait être rapidement fixé sur son avenir, le champion de France a décidé de laisser une dernière porte ouverte au FC Barcelone pour revenir à la charge avec plus de certitudes et avec l’accord surtout de la Liga, pour le moment peu enclin à accepter le plan catalan pour faire revenir la Pulga.

Pour le moment, la tendance se dirige clairement vers un départ en Arabie saoudite, car, d’après nos informations, le père de Messi a déjà accepté l’offre de contrat émanant d’Al-Hilal. Les prochaines semaines s’annoncent animées pour un Lionel Messi qui va sans doute disputer le dernier match de sa carrière parisienne samedi prochain face à Clermont et fêter un nouveau titre de champion de France, avec l’esprit déjà loin du Parc des Princes…

Le manager de Manchester United, Erik ten Hag, a déclaré que le capitaine Harry Maguire avait une décision à prendre concernant son avenir au club.

Lisandro Martinez et Raphael Varane ont été les défenseurs centraux préférés de Ten Hag lors de sa première saison à Old Trafford.

“Personne ne serait satisfait de cette situation”, a déclaré Ten Hag Les temps.

“Il ne va pas aussi bien. Il s’entraîne toujours au meilleur niveau, donc avec 100% d’effort.

“Donc, il gère bien cette situation et il est de cette manière et dans son rôle de capitaine, il est important pour l’équipe.”

Maguire a commis des erreurs coûteuses cette saison, plus récemment le mois dernier Défaite 3-0 en Ligue Europa face à Séville.

Ten Hag a ajouté: “Il a une forte concurrence là-bas [at centre-back] avec Raphael Varane, qui est fantastique.

“Disons que je suis content qu’il soit là et quand nous avions besoin de lui, il a fait son travail. Mais c’est aussi une décision qu’il doit prendre.”

Maguire est arrivé à United en 2019 de Leicester pour 80 millions de livres sterlingun record du monde pour un défenseur, et son contrat court jusqu’en 2025.

Il a disputé les cinq matchs de la Coupe du monde en Angleterre en 2022 et a été sélectionné pour les prochains éliminatoires de l’Euro, mais le manager Gareth Southgate s’est dit préoccupé par son manque de temps de jeu à United.

Alors que Ten Hag n’a pas confirmé si Maguire serait un joueur de United la saison prochaine, l’ancien patron de l’Ajax a déclaré que le gardien David de Gea resterait pour la campagne 2023-24.

De Gea a été le gardien de premier choix du club cette saison et a remporté le prix Golden Glove pour les draps les plus propres de la Premier League.

Lorsqu’on lui a demandé si le joueur de 32 ans serait toujours à Old Trafford la saison prochaine, Ten Hag a répondu : “Oui, mais je ne dirai pas qu’il sera toujours mon numéro un car dans un club comme United, il doit y avoir de la compétition à tous les postes. “

United affrontera Manchester City lors de la finale de la FA Cup à Wembley dimanche dans l’espoir de nier la tentative de leurs rivaux de la ville d’égaler le triplé remporté par l’équipe de Sir Alex Ferguson en 1999.

Une récente rumeur annonçant l’assassinat de l’arbitre gambien Bakary Gassama à Paris ne cesse d’enflammer les réseaux sociaux. Voici toute la vérité sur ces horribles racontars.

Tout est parti d’une vidéo de mauvais goût qui a beaucoup circulé à travers les différents réseaux sociaux faisant état de l’assassinat de l’officiel gambien à Saint-Denis par des supporters algériens. Accusé de plusieurs erreurs d’arbitrage ayant engendré la défaite de l’Algérie et son élimination des qualifications au Mondial 2022 au dépens du Cameroun (1-2) le mois dernier, le controversé arbitre gambien de 43 ans est notamment la cible des chauvins supporters des Fennecs ces derniers jours. >> Algérie-Cameroun: Bakary Gassama a failli être lynché par les supporters !

La séquence amateur montrait notamment une foule autour d’une scène de crime encerclée par les forces de l’ordre. Le cameraman commentait la vidéo en indiquant alors qu’il s’agit bien de l’arbitre du match Algérie-Cameroun, Monsieur Gassama:

«Ils l’ont assassiné ! Ils l’ont assassiné ! Regardez ici à Saint-Denis. C’est l’arbitre qui nous a fait perdre. Ils l’ont tué» indiquait l’auteur de la vidéo en arabe.

Cette affreuse rumeur a ainsi rapidement enflammé la toile et la vidéo est vite devenue virale. Mais heureusement, les différents démentis ont vite commencé à tomber, notamment de la part des responsables de la Fédération Gambienne de Football (GFF).

Contactés par plusieurs médias, des responsables ont totalement démenti cette information macabre, assurant que Monsieur Bakary Gassama se trouve actuellement en Gambie et se porte très bien.

When Lionel Messi won the World Cup at the fifth and, seemingly, final attempt in Qatar last December, it was the last jigsaw piece in arguably the greatest footballing CV of all time.

Behind the scenes and then on the biggest stage, Messi’s transformation in the Middle East became evident.

The 35-year-old’s genius has long been beyond doubt and debate. But his character had changed. As a teenager, Messi was so painfully shy he would get changed in the corridor to avoid his team-mates in the Barcelona youth set-up.

“This World Cup he was different,” said Argentina and Aston Villa goalkeeper Emiliano Martinez.

“We are probably more aggressive than the players in the national teams he’s played with before. So he’s probably becoming a little more like us – that bad boy.”

Here, some of the stars from the recently-released BBC Sport documentary Lionel Messi: Destiny, unpack and dissect that final evolution of Messi – from shy teenage genius to talismanic “bad boy”.

“He’s a great lad but he can’t even direct traffic. How can you give the national team to Scaloni?”

Diego Maradona’s typically colourful thoughts regarding Lionel Scaloni’s appointment to the Argentina manager job in 2018 captured the mood of the nation.

Putting it bluntly, Scaloni was a Lionel Messi appointment – a deliberate decision by the Argentine Football Association to keep a generational talent onside and in the side.

In the years prior to Scaloni’s appointment, Messi had a troubled relationship with the national team and, at times, with the national boss.

After a talented Argentina team was comprehensively beaten by Germany in the quarter-finals of the 2010 World Cup, Maradona, then-Argentina coach, criticised Messi’s leadership qualities.

A fiasco of a 2018 World Cup campaign brought an early exit for Argentina and another coach in Jorge Sampaoli.

Sandwiched in between was 2016, a year which saw Messi briefly retire from international football after missing a penalty in the Copa America final defeat by Chile.

Such set-backs ensured that the number one motivation for the Argentine FA in appointing Scaloni was to keep their number one star happy.

“The FA had a single objective, to find a manager who could work with Messi and get the best out of him,” said Messi biographer Guillem Balague.

“When Scaloni took over he said to Messi, ‘what do you think, what would work for you?’.

“It was an equal conversation, and you have to do that when you have the best player in the world.”

Argentine journalist Marcela Mora y Araujo added: “He was appointed without massive press coverage or a presentation moment – there seemed to be little energy to go hunting for big names.

“Most people were furious. We didn’t know much about him. The thought was that the job should go to a football celebrity or influential character, and it just went to a guy who was sort of anonymous.”

However, it was that anonymity, small-town humility and lack of ego that endeared Scaloni to the Argentina squad – and crucially, to Messi.

“Scaloni’s very relaxed,” Argentina and Manchester City forward Julian Alvarez said. “Very honest, and he has that thing of coming from a small town. I also identify with that a lot because I also come from a small town, and you can see that human quality that he has.”

Martinez added: “You’re always going to have talented players, but it’s how you manage them. It’s like having a Ferrari – if you don’t know how to drive it, then you’re going to crash on every corner. That’s the only explanation I can give for Scaloni – he knows exactly how to drive a Ferrari.”

Creating a home from home in Qatar

Looking after what was under the bonnet was vital to keep Messi – and ultimately the Argentina squad – happy in Qatar.

Despite leaving Argentina as a teenager, Messi has held on to much of his Argentine roots and specifically his hometown Rosario.

“He speaks with an Argentinean accent, eats Argentinean food, watches Argentinean films and listens to Argentinean music,” said Jonathan Wilson, author of Angels With Dirty Faces – a footballing history of Argentina.

Scaloni and the Argentine FA were fastidious about leaning into those home comforts for Messi and his team-mates, creating a “little Argentina” at their World Cup base at Qatar University.

Early in the Scaloni reign, some of the younger players bonded with Messi by knocking on his hotel door and asking him to play the Argentine card game of Truco.

That same game was ubiquitous in Qatar along with Argentine tea called mate, and, more importantly, asados (barbeques) with imported Argentine beef. It was reported the team brought in 900kg of the meat for their campaign.

“I think for all Argentina people, if you have mate and a beautiful barbeque you don’t need more in life,” said Messi’s former Argentina team-mate Pablo Zabaleta.

According to both Balague and Mora y Araujo, these techniques ensured Argentina got the best out of Messi, transporting the top player in the world back to a childhood left behind when he moved to Barcelona aged just 13.

On the pitch, the echoes of that childhood were most clearly heard during the quarter-final win over the Netherlands.

Dutch manager Louis van Gaal had questioned Messi’s work-rate off the ball before the match. It was a move that angered his team-mates and added fuel to a historic enmity between the pair.

“Attacking Leo… you shouldn’t do that to Argentines,” Brighton’s Alexis Mac Allister said.

Messi’s feelings spilled out in the 73rd minute of the quarter-final. Messi celebrated Argentina’s second goal by standing in front of the dugout, cupping his ears to seemingly mock Van Gaal’s previous comments.

Messi and former Argentina international Juan Roman Riquelme are now close friends.

Before though, during Riquelme’s solitary season at Barcelona in 2002, the relationship was more one of adulation.

Riquelme’s former agent once recalled a teenage Messi “sitting looking at Riquelme as if he were Jesus Christ” at a barbeque arranged for Barca’s South American players.

Mora y Araujo suggested Messi’s celebration against the Netherlands – one which Riquelme has performed throughout his career – also reflected Messi’s historic frustration at his friend being played out of his usual position during his time under Van Gaal at Barcelona in the early 2000s.

“It was surprising coming from Messi,” she said. “The nod to Riquelme was unexpected.”

Whatever the motivation of the celebration, it was not the end of Messi’s combativity.

After the match, the Argentine forward confronted Dutch assistant Edgar Davids on the sidelines and in the tunnel he interrupted his own live TV interview to insult the Holland “number 19”, as Messi called him, Wout Weghorst.

“In the tunnel on the way to the changing rooms – ‘the number 19’, as he calls him, walks by,” Mora y Araujo added. “Messi interrupts the interview to say, ‘go away silly, what are you looking at?’.

“Messi’s delivery was very spontaneous. It has Rosario intonations, it’s something someone’s grandmother might say.

“It’s clearly not mild anger he’s expressing.”

Balague suggested Messi “reacted in a way that, even he himself, did not recognise”.

To understand the outburst it is necessary to go all the way back to Messi’s childhood in his hometown of Rosario, 185 miles (300km) north west of Buenos Aires.

“There is an edge to Messi at the World Cup, and that is to do with the people he has got around him and him feeling comfortable with that.

“Because when he was 12, he was probably like that in the streets.

“Then when he moves to Barcelona he has to be a different person, more Catalan, more distant, more quiet.

“But he had that in him.

“It’s not that he became Maradona. It was the Rosario in him that appeared in the World Cup in front of our eyes.”

Both Mora y Araujo and Balague point out that the insult Messi chose for Weghorst – “bobo” – is a word that only “kids use”.

And Martinez agreed with Balague in suggesting the change was akin to a child falling in with the wrong crowd at school.

“We are probably more aggressive than the players in the national teams he’s played with before,” he said. “So he’s probably becoming a little more like us – that bad boy.”

For Wilson, Messi finding his voice was as much about the players that weren’t there.

The presence of big talkers such as Javier Mascherano in previous Argentine teams meant Messi wasn’t needed to perform that role.

But in Qatar, there was a vacuum.

Journalist Christian Martin was embedded in the Argentine camp throughout the tournament.

Both he – and Messi biographer Balague – were struck by how Messi filled that vacuum, from as early as the first match.

A shock 2-1 defeat by Saudi Arabia left one of the pre-tournament favourites facing a potential early flight home.

Historically, after such a setback, Messi would spend the least time possible amid the gauntlet of microphones in the media ‘mixed zone’ players are obliged to walk through.

“It took him an hour to go through the mixed zone after Saudi Arabia,” said Balague.

“He was saying ‘we’re better than this’.”

Martinez added: “He spoke to every single broadcaster and repeated the same sentence: ‘Believe in us, we won’t let you down. Stick with us.’

“It was a very strong sentence by Leo.”

Zabaleta said: “I think we really enjoyed Messi, being a proper leader, but in a good way.

“In hard situations he was the only one talking, he didn’t want to send some of the inexperienced players out to the media and that was great to see.”

This willingness to front up, in the press and on the pitch such as in the Holland game led to articles galore on the notion that Messi had become “Maradonised” and had found his “inner Diego”.

But Mora y Araujo disagrees with the idea that Messi was channelling, or becoming, Maradona. Rather, he was, perhaps finally, comfortable in his own skin – a far cry from the teenager carrying the weight of his family’s fortunes at Barcelona or the superstar weighed down by a nation’s expectations at previous World Cups.

She said: “There was a lot of smiling on the pitch. His head was up. He was confident.

“He showed and transmitted an acceptance of himself. There was no awkwardness in delivering his awkwardness if that makes sense.

“People were texting and writing, ‘has Messi been taken over by the spirit of Maradona…? Maradona speaks through Messi…’ No! He hasn’t turned into Maradona. He has grown into himself.

“For many years there was enormous pressure on Messi to perform, or to be, or to behave to some nebulous demand to be more Argentinean, to be more passionate, to be more like Maradona.

“I think for a long time he was uncomfortable with that.

“The main observable thing about Messi at this World Cup was a comfort in his own body. Less pressure to perform. More comfortable being himself.”

Comfortable in himself. And comfortable with the stakes.

“I think he must have felt the breath of history on his shoulder. He must have felt time closing in on him,” said Wilson.

According to Mora y Araujo, dealing with the clock ticking down on his career was Messi’s greatest feat in Qatar. For a month he was able to kept calm, without dulling a ferocious desire to win.

“That’s a very interesting combination. At the 2006 World Cup, he famously sat on the bench and didn’t even get to play in the quarter-final defeat by Germany.

“There was a grouching, tantrum-y, child-like reaction so at odds with the Messi we saw in Qatar.

“It is a great progression to a point of emotional maturity.

“And I think it’s wonderful to see that growth over a career of almost two decades.”

Did Messi come of age? Did he channel the late Maradona? Did he rediscover a personality left behind in the backstreet games of his hometown of Rosario?

Whatever was going on in Messi’s mind in the Middle East, it helped realise his sole focus – the winner’s medal.

“I think after this World Cup – he completed football,” Martinez said.

L’attaquant du Real Madrid, Karim Benzema, pourrait être en route pour le club saoudien d’Al-Ittihad.

L’international français est sur le point de rejoindre Al-Ittihad et c’est après que Rudy Galletti a précédemment signalé l’intérêt du champion SPL pour le Français.

Le Français aurait refusé l’offre initiale et maintenant les Tigres auraient amélioré leur offre.

Ils ont maintenant déposé un contrat de 200 millions d’euros pour deux saisons et le joueur de 35 ans a du mal à résister à l’accord.

Benzema a rejoint le Real Madrid en 2009 en provenance de l’Olympique Lyon et a ensuite marqué 353 buts et fourni 165 passes décisives en 647 matches.

L’attaquant français était également en grande forme lors de la saison 2022-23. Malgré des périodes passées sur la touche en raison de blessures, il a marqué 30 buts et six passes décisives en 42 matchs dans toutes les compétitions.

Benzema est le deuxième meilleur buteur de Los Blancos, juste derrière le légendaire Cristiano Ronaldo.

Plus de 20 000 fans se sont alignés dans les rues de Luton alors que les Hatters célébraient leur promotion en Premier League.

Après une finale de barrages mordante contre Coventry à Wembley, le club a obtenu un tour de haut vol pour la première fois depuis 1992 – et neuf ans depuis qu’ils n’étaient pas en championnat.

“Ça a été un sacré voyage… j’espère profiter de l’été et nous verrons Arsenal, Man City et Chelsea à Kenilworth Road”, a déclaré le milieu de terrain Pelly-Ruddock Mpanzu.

Le PSG et Manchester United se disputeraient Marcos Leonardo. Le jeune attaquant brésilien a été en pleine forme pour Santos et mène également l’attaque de la Coupe du monde U20.

Selon 90min.com, les deux équipes européennes souhaitent signer Leonardo cet été. Ils sont impressionnés par sa performance à la Coupe du monde U20 et cherchent à l’éloigner de Santos.

Le joueur de 20 ans a marqué quatre buts et délivré deux passes décisives lors de ses 11 matches Paulistão A1 – Primeira Fase cette saison. L’attaquant a ajouté trois buts en trois matchs à la Coupe du monde, et cela a surpris les dépisteurs.

Erik ten Hag a confirmé qu’il souhaitait ajouter un attaquant cet été et a été cité par Manchester Evening News comme disant :

“Tout le monde sait, ce n’est pas un secret que sur toute la saison, nous avons manqué de n°9. D’abord, nous avons eu l’abandon de Ronaldo, puis Anthony Martial n’était souvent pas disponible, Jadon Sancho n’était souvent pas disponible, puis vous avez une pénurie de joueurs de première ligne. Avec moins de joueurs, nous devons couvrir de nombreux matchs, nous avons donc certainement besoin de joueurs de première ligne qui renforcent l’équipe.”

Manchester United est prêt à lâcher Anthony Martial, car il a été blessé plus souvent qu’autrement cette saison.

Le patron de Sheffield Wednesday, Darren Moore, déclare la victoire de son équipe sur Barnsley lors de la finale des barrages de la Ligue 1 prouve que “l’impossible peut être réalisé”.

Les Owls ont atteint la finale après avoir perdu 4-0 contre Peterborough lors du match aller de leur demi-finale – aucune équipe n’avait jamais surmonté un déficit de plus de deux buts.

“C’est la matière dont les rêves sont faits”, a déclaré Moore.

“Vous ne pouviez pas l’écrire. Cela a mis fin à un jeu titanesque qui a reflué et coulé dans les deux sens.

“C’est un moment spécial pour moi car cela signifie que tant de gens à Sheffield sont heureux et positifs. Quand un club de football se porte bien, vous voyez les répercussions qu’il a sur la ville, dans la communauté.

“Cela montre que l’impossible peut être réalisé. C’est une histoire de conte de fées.”

Mercredi, le skipper Barry Bannan a qualifié la promotion de “meilleur moment de ma vie”.

Le vétéran écossais faisait partie de l’équipe des Owls qui a perdu contre Hull City lors de la finale des barrages du championnat 2016.

Moore a crédité Bannan et l’arrière latéral Liam Palmer, qui a fait 397 apparitions pour le club, pour leurs efforts.

“Pour Liam et Barry, ils ont vu de bons moments ici et d’autres qu’ils voudront oublier”, a déclaré Moore, 49 ans.

“Ils ont été des piliers absolus pour le club de football et faire partie d’une équipe performante, ils sauront ce que cela signifie.

“Cela montre ce qui peut être réalisé lorsqu’un club se réunit. Ce fut un long voyage mais qui en valait la peine.”

Lionel Messi et sa femme Antonela Roccuzzo, ainsi que Gerard Pique et sa petite amie Clara Chia, ont été aperçus lors du récent concert de Coldplay au stade olympique Lluis Companys de Barcelone. Le célèbre groupe a donné le concert dans le cadre de sa tournée mondiale “Music of the Spheres”.

L’attaquant du Paris Saint-Germain a assisté au concert après avoir aidé son équipe à remporter le titre de Ligue 1. Lionel Messi a marqué lors du dernier match nul 1-1 du club parisien contre Strasbourg. Ils ont maintenant 85 points en 37 matches, soit quatre de plus que le RC Lens, deuxième, avec un match à jouer.

Gerard Pique, quant à lui, vit sa vie de retraité. Il s’est récemment rendu en Arabie saoudite pour passer des vacances à l’occasion de l’anniversaire de sa petite amie Clara Chia.

Le légendaire défenseur s’est ensuite rendu aux États-Unis pour rencontrer ses enfants, Milan et Sasha. L’ancien partenaire de Pique a récemment déplacé ses bases de Miami à Barcelone, avec les enfants.

Quand Gerard Pique a affirmé qu’il n’avait pas félicité Lionel Messi après la victoire de la Coupe du Monde de la FIFA 2022

Lionel Messi et Gerard Pique ont passé plus d’une décennie côte à côte, aidant Barcelone à remporter de nombreux trophées. La paire a partagé le terrain en tant que coéquipiers pour 506 matchs massifs.

La Coupe du Monde de la FIFA 2022 au Qatar a peut-être été le couronnement de la carrière légendaire de Messi. Pique, cependant, n’a pas félicité son ancien coéquipier pour son formidable exploit.

S’adressant au TikToker John Nelis, l’ancien défenseur de La Roja a déclaré (via MD):

« Non, honnêtement non. Mes derniers mois ont été très durs et j’avais besoin de déconnecter. Je n’ai vu aucun sport et je n’ai même pas vu de matchs de Coupe du monde. Cela vous paraîtra fou mais je n’ai regardé aucun match, juste la finale et pas tout le match.

Pique, cependant, a récemment été interrogé sur le retour potentiel de Messi à Barcelone. L’Argentin devrait quitter le PSG à l’expiration de son contrat.

Il a été lié à un retour au Barca, et Pique a déclaré à RAC1 à ce sujet :

“S’il est toujours motivé, ce serait normal de rester en Europe, puis Barcelone pourrait entrer dans ses plans. Ou peut-être qu’il ira en MLS. Pour les fans de Barcelone, qui savent ce qu’il nous a fait ressentir, ce serait un grand sentiment pour nous tous. Lui seul sait quoi faire de son avenir.”
Il ajouta:

“Je pense que la Coupe du monde était le grand rêve qu’il avait, le titre qui lui manquait pour être considéré comme le meilleur de l’histoire. Désormais, tout ce qu’il décide est plus une question personnelle de savoir où trouver le bonheur.”
Lionel Messi et Gerard Pique sont de véritables légendes de Barcelone et ont aidé le club catalan à remporter de nombreux trophées au cours de leur carrière.

Dans le passé, la Premier League a été critiquée pour être trop prévisible … mais pas cette saison.

Cela vaut pour les 23 experts de la BBC qui s’est essayé à la cueillette qui finirait dans les places de la Ligue des champions, et dans le bon ordre, avant qu’un ballon ne soit renvoyé en août – et aussi pour nos lecteurs, qui ont fait encore pire à la même tâche.

Treize experts avaient raison sur le fait que City finissait en tête du peloton, mais 10 pensaient que Liverpool serait champion, et leur défi était essentiellement terminé avant la pause de la saison en novembre pour la Coupe du monde.

Alors que huit experts pensaient à juste titre qu’Arsenal ferait partie des quatre premiers pour la première fois depuis 2016, aucun ne pensait qu’ils seraient supérieurs à la quatrième place. Personne n’a vu Newcastle réussir et seuls trois ont soutenu Manchester United.

Les multiples managers de Tottenham et Chelsea et des défaites encore plus inattendues signifiaient que le meilleur des experts gérés dans l’ensemble était deux équipes sur quatre, et seulement cinq des 11 qui ont réussi ont également choisi City pour terminer en tête.

Rob Green, qui avait City premier et United troisième, sort de ce meilleur, tandis que le prédicteur « professionnel » Chris Sutton – qui sélectionne les scores de Premier League pour BBC Sport sur une base hebdomadaire – a opté pour la victoire de Liverpool … et avait raison avec une seule de ses quatre sélections.

Vous pouvez voir les quatre meilleures prédictions de pré-saison de chacun ci-dessous.

Six équipes figuraient dans le top quatre prévu, mais seuls Manchester City et Liverpool figuraient dans les 23.

(en utilisant le système de 4 pts pour une 1ère place, 3 pts pour la 2ème, 2 pts pour la 3ème et 1 pt pour la 4ème)

Certains d’entre vous lisent peut-être ceci et se demandent “comment se sont-ils tellement trompés ?” mais je suis triste de dire que beaucoup d’entre vous étaient encore plus loin de la cible, et vous vous êtes trompés encore plus.

Des milliers d’entre vous ont choisi le tableau final de Premier League sur le site Web de la BBC en août et, bien que 54% aient choisi City comme champion, le reste de vos quatre premiers était (dans l’ordre): Liverpool. Leicester et Arsenal.

Au cas où vous l’auriez manqué, les Foxes ont terminé 18e, 41 points derrière United, troisième, et joueront le championnat la saison prochaine, pas la Ligue des champions.

Remarquez, sur la même page de pronostics, plus d’entre vous pensaient que Mohamed Salah (26%) serait le meilleur buteur de l’élite plutôt qu’Erling Haaland (25%), tandis que Bournemouth, Fulham et Nottingham Forest étaient vos choix pour descendre, et l’Angleterre a remporté le vote sur “qui va gagner la Coupe du monde ?”.

• Notre couverture de votre club de Premier League est plus vaste et meilleure que jamais – voici tout ce que tu as besoin de savoir pour vous assurer de ne jamais manquer un moment