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Naples remporte la Serie A: “Le football est tout” – ce que Scudetto signifie pour Naples

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Naples remporte la Serie A: “Le football est tout” – ce que Scudetto signifie pour Naples
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Quartier espagnol
Un bouclier, symbolisant le Scudetto, a été peint sur les marches du Quartieri Spagnoli de Naples

Une version de cet article a été publiée pour la première fois le 6 avril.

Naples est une ville qui embrasse le succès. Vous pouvez le voir, l’entendre, le sentir. C’est dans les yeux et les sourires, les bavardages enjoués et les pas arrogants. Les Napolitains peuvent le goûter, ils en vivent chaque instant.

Napoli a galopé vers un premier titre depuis 1990. Des drapeaux saluant le troisième championnat du club pendent des balcons, des banderoles avec “100% campione” ondulent dans la brise. Même les Napolitains habituellement superstitieux ont reconnu pendant des mois que c’était leur année.

Certains craignaient que la ville ne puisse faire face à une fête qui se préparait depuis 33 ans. Le match de I Partenopei contre Salernitana dimanche dernier a même été reculé de 24 heures alors que les officiels craignaient le potentiel de d’énormes célébrations s’affronteraient avec une grande convention de bande dessinée.

Cela s’est terminé par un match nul et ces célébrations ont été suspendues, mais elles peuvent enfin être portées à plein volume après que Napoli ait décroché le titre aussi loin de chez eux qu’il leur est possible de voyager en Serie A, à Udinese.

Des dispositions sont prises pour une autre grande fête le 4 juin – le dernier jour de la saison – alors que Naples baigne dans la gloire d’un premier championnat depuis que Diego Maradona a arpenté ces rues étroites.

Dans les Quartieri Spagnoli, dans tout le centre historique de Naples, jusqu’au Stadio Diego Armando Maradona à Fuorigrotta et au-delà, les rues sont ornées de festons bleus et blancs. Les bâtiments et les marches ont été peints dans les mêmes teintes.

Des découpes grandeur nature de l’équipe actuelle se tiennent sur une place, des maillots de club et des affiches de joueurs sont accrochés aux cordes à linge dans les ruelles, et les jeunes font la queue pendant un demi-pâté de maisons pour acheter du panino aux couleurs de Naples à populaire sandwicherie Con Mollica o Senza.lien externe

Les chambres d’hôtel pour les deux prochains mois ont presque toutes disparu. Les expatriés voulant faire la fête, les fans de football intrigués par l’histoire de Naples et les visiteurs pris de manière inattendue dans ce moment historique déferlent sur la ville. Le succès sportif coïncide avec un boom touristique.

“Naples vit un moment d’auto-reconnaissance et de redécouverte de sa grandeur”, déclare l’auteur Angelo Forgione.

Lorsque Maradona a inspiré Napoli à un premier Scudetto en 1987, les fans ont placé une banderole devant le plus grand cimetière de la ville proclamant : “Vous ne savez pas ce que vous avez manqué”. Maintenant, une génération trop jeune pour se souvenir d’une telle gloire la vit elle-même.

“J’avais six mois en 1990 mais j’ai grandi en regardant des cassettes VHS de Diego Maradona”, raconte Vincenzo Credendino, de CalcioNapoli24 TV. “Maintenant, ce Scudetto, c’est comme renouer avec cette époque.”

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Les hommages aux joueurs de Luciano Spalletti se mêlent aux œuvres d’art de Maradona sans fin. Il est partout dans le labyrinthe de rues charmantes et vertigineusement chaotiques de Naples – dans les vitrines des bars, sur les autocollants de pare-chocs et les panneaux d’affichage, et gravé sur des murs en ruine sur des peintures murales géantes.

Au Bar Nilo, une mèche de cheveux de Maradona tourne dans le cadre d’un sanctuaire dédié à l’Argentine. Un musée souterrain expose les biens acquis par le fils de sa servante lorsque Maradona a quitté la ville.

“Maradona est comme Dieu ici”, déclare Maria Roberta De Iesu, fan de 23 ans. “Il a donné de l’espoir aux gens. Les Napolitains se voient à Maradona.”

Peinture murale de Maradona
Cette peinture murale de Quartieri Spagnoli est devenue un sanctuaire pour Diego Maradona après sa mort en 2020

Lorsque Maradona est arrivée pour un record du monde de Barcelone en juillet 1984, la ville était encore à genoux après un tremblement de terre qui avait tué près de 2 500 personnes quatre ans plus tôt. Les querelles entre la Camorra, la mafia de la région, étaient plus amères que jamais, le chômage était énorme et la Banque de Naples faisait face à la faillite.

“Pourtant dans un Naples en bas, Napoli, avec l’aide de la politique, a réussi à acheter le footballeur le plus fort et le plus cher du monde et à toucher le ciel”, ajoute Forgione.

Ensuite, le président Corrado Ferlaino a dû s’appuyer sur le maire de la ville pour aider à financer l’accord, et les fans ont offert des contributions pour aider à le faire passer. N’importe quoi pour obtenir Maradona.

‘El Pibe de Oro’ était tout pour Naples, et Naples était tout pour lui. La ville a résonné avec son Golden Boy non seulement parce qu’il a inspiré leur club à deux titres de Serie A et une Coupe UEFA, mais parce qu’ils l’ont reconnu. Il était anti-establishment, il faisait écho à leurs principes et épaulait leurs préoccupations.

“Maradona était vraiment bon avec sa langue, sa bouche, son attitude”, explique Credendino. “Il a compris comment toucher le cœur du peuple napolitain ; il a touché les cordes justes.”

Maradona, malgré sa relation avec la mafia napolitaine, a rendu “la justice au peuple” après des luttes contre le nord qui remontent à plus d’un siècle jusqu’à l’unification de l’Italie, explique l’expert culturel Francesco Carignani.

“Il a eu beaucoup de problèmes dans sa vie mais à Naples, on ne se souvient de lui que pour la joie”, ajoute le fan Paolo Cimmino. “Nous le connectons en tant qu’homme à un conquérant – le sud a gagné contre le nord.”

Aucun club au sud de Rome n’avait remporté la Serie A depuis le Napoli de Maradona, Careca, Ciro Ferrara et un jeune Gianfranco Zola en 1990, et les Napolitains subissent toujours les railleries hostiles de leurs rivaux du Nord à propos de la criminalité, de la pauvreté, des épidémies de choléra et des appels au Mont Vésuve pour éclater sur la ville.

Ici, les gens “sont d’abord des Napolitains, puis des Italiens”, explique Daniele “Decibel” Bellini, speaker du stade emblématique de Naples. Ils ont leur propre langue, culture et histoire. Naples était autrefois une capitale européenne florissante, elle reste une ville à l’architecture intrigante, Caravage, pizza. Surtout, il y a une intensité de vie en Campanie.

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“Les gens du sud en Italie, ils vivent tout avec amour, avec tellement d’émotion, de différentes manières au nord”, ajoute Cimmino.

Napoli a dû tomber avant de pouvoir se relever. Le déclin financier, la relégation et la faillite ont suivi les années de gloire mais les fans sont restés. Plus de 50 000 personnes ont assisté à un match de Serie C en 2004-05.

“Pour notre ville, le football est si important”, explique la journaliste Elena Lopresti. “Ce n’est pas seulement le football, c’est un instrument social, un outil pour nous développer en tant que société.”

Le producteur de films Aurelio de Laurentiis a saisi l’opportunité d’acheter le club en 2004 et de restaurer le football de haut vol et européen à Naples, le quatrième club le plus soutenu d’Italie après la Juventus, Milan et l’Inter, mais dont la base de fans est concentrée dans le région, plutôt que de s’étendre “des Alpes à la Sicile” comme le dit Forgione des trois grands.

“De Laurentiis avait un parachute”, ajoute Credendino. “C’était l’amour du peuple, toujours prêt à aller au stade, toujours prêt à soutenir l’équipe.”

Naples, explique Forgione, est une des rares métropoles européennes représentées par un seul club. “La victoire de Naples est la victoire de l’identité, de ceux qui la vivent pleinement”, ajoute-t-il.

“A Naples, le football est primordial”, explique Cimmino. “C’est la joie, c’est l’amour, c’est le plaisir, c’est la tristesse. C’est une façon d’échapper aux problèmes quotidiens, une façon de s’amuser avec les gens et de faire la fête, et cette période est le bonheur.”

Quartier espagnol
Des découpes en carton de joueurs de Naples se tiennent sur une place à Naples

L’ère De Laurentiis a été caractérisée par un recrutement astucieux – Edinson Cavani, Ezequiel Lavezzi, Jorginho, Gonzalo Higuain – des ventes rentables et un échec dans la course au titre.

Ce n’est que l’été dernier, après qu’une autre candidature au championnat ait échappé, que les ultras ont promis de rendre la Fiat Panda volée du patron Spalletti à condition qu’il quitte le club.

“Maintenant, il mérite une Ferrari, pas une Panda”, s’amuse le journaliste Credendino.

Spalletti n’est pas de Naples, mais il partage cette passion napolitaine. Après avoir été limogé par l’Inter, il a passé deux ans dans sa ferme en Toscane avant de prendre le poste de Naples. Maintenant, il vit près du terrain d’entraînement et a travaillé sans relâche pour livrer le Scudetto.

Maradona était le visage du précédent triomphe de Naples, mais cette fois, des héros inconnus ont émergé – astucieusement acquis par le directeur sportif Cristiano Giuntoli et alimentés par l’entraînement de Spalletti.

“Giuntoli est l’homme de ce miracle”, déclare Credendino, malgré l’inquiétude de certains fans lorsque le club a vendu les stars de haut niveau Kalidou Koulibaly, Lorenzo Insigne et Dries Mertens l’année dernière.

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“Giuntoli a découvert Khvicha Kvaratskhelia, il a découvert Victor Osimhen, Kim Min-jae”, ajoute Cimmino. “Spalletti fait ce talent, fait ce caractère. Il peut trouver les bonnes clés pour tirer le meilleur de tous les joueurs. [Slovak midfielder Stanislav] Lobotka ressemble maintenant à Iniesta, il ressemble à Xavi.”

Lors d’une journée à guichets fermés contre Milan, devant le stade qui porte le nom de Maradona – un amphithéâtre digne des Grecs qui ont fondé Neapolis, la “ville nouvelle” – les enfants arborent le masque du meilleur buteur Osimhen et les drapeaux géorgiens flottent pour l’irrépressible ailier Kvaratskhelia .

Il y a aussi une pincée de maillots de Boca et d’Argentine, et, s’il y a une ressemblance avec Maradona dans cette équipe, c’est Kvaratskhelia, 22 ans. Signé du Dinamo Batumi l’été dernier, il a été surnommé à juste titre “Kvaradona”, mais Cimmino le voit comme Gianluigi Lentini à Turin ou Kaka pendant ses années milanaises.

“Il est incroyablement imprévisible sur le terrain”, ajoute Credendino. “Mais si Maradona était un demi-dieu, Kvaratskhelia est le pape. Il a une attitude totalement différente, une personnalité totalement différente.”

Kvaratskhelia joue avec une urgence rugueuse, chaussettes autour de ses chevilles, mollets exposés. Il gambade, il conjure. Contre Milan, sans l’attaquant de 21 buts Osimhen – un homme que Spalletti appelle un “dragon à deux têtes” – il n’a pas pu empêcher un Napoli vacant et décousu de glisser vers une défaite 4-0 discordante, bien que cela n’ait fait que retarder leurs célébrations du titre.

La relation des Napolitains avec leur club est complexe. Plutôt que le résultat, les retombées concernaient des problèmes plus larges. Des échauffourées ont éclaté entre différents groupes d’ultras dans la Curva B sur la manière de protester contre le prix des billets de De Laurentiis et les règles sur les drapeaux ou bannières qu’ils peuvent mettre au sol.

“De Laurentiis a une relation très compliquée avec la ville parce que les supporters n’aiment pas le pouvoir, et il représentait le pouvoir”, explique Carignani.

“Mais il faut dire que cette victoire est formidable pour lui car c’est un grand homme d’affaires, il a mis la passion dans la ville mais aussi sa vision entrepreneuriale dans la gestion de l’équipe et cela a fait la différence.”

Maintenant, cependant, les supporters et le conseil d’administration célébreront tous deux le premier titre de Napoli en plus de trois décennies. Les fans ont demandé ce moment au saint patron de la ville, San Gennaro, ils ont fait appel à l’esprit de Maradona. Les résidents ont économisé en prévision de la mère de toutes les célébrations.

“Nous ressentons juste ce pouvoir, cette émotion”, déclare De Iesu. “Ce sera une grande fête dans toute la ville, toutes les places seront pleines de monde.”

“Maintenant, nous en profitons”, ajoute Carignani. “Cela valait la peine d’attendre.”

Drapeaux et bannières à Naples
Des bannières célébrant la victoire imminente de Naples au Scudetto sont accrochées devant une fresque de San Gennaro à Napes
Stade Maradona
Le Stadio San Paolo a été renommé après Diego Maradona en décembre 2020

À travers la bannière de la BBCÀ travers le pied de page de la BBC

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How can England use Jude Bellingham, Phil Foden and Cole Palmer?

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How can England use Jude Bellingham, Phil Foden and Cole Palmer?
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There are a few different ways the trio could fit into a 4-2-3-1.

One option is to play the three of them behind Harry Kane – or Ollie Watkins if the captain remains sidelined.

Palmer often plays on the right wing for Chelsea, Foden played on the left at Euro 2024 and Bellingham can play at number 10.

But the trio can all play in various positions across midfield and the front line.

Bukayo Saka usually starts on the right – although he is an injury doubt for Sunday – so Bellingham or Palmer could play next to Declan Rice in central midfield.

Another consideration is that Bellingham – while playing centrally a lot – got most of his touches for Real Madrid last season on the left wing.

Palmer, recently named England’s player of the season despite only starting twice, has been featuring as a number 10 for Chelsea this season. So he could also slot in behind Kane.

Since the start of 2023-24, he has been involved – either scoring or providing the assist – in 44 goals, more than anyone else in the Premier League.

“I was actually calling for Palmer to start as number 10 when Euro 2024 started, with Bellingham playing slightly deeper and Foden on the left, as a way of getting all three of them in the team,” BBC pundit Chris Sutton said.

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“Obviously that didn’t happen – Palmer was used from the bench in Germany and had an impact that way.

“You simply cannot leave him out now, though.

“Carsley has got to find a way of getting him into the team, but it doesn’t have to be as the number 10 ahead of Foden or Bellingham because he can play off the right as well.

“I have always believed that if someone’s form is good, get them in. So, whether it is the right or in the middle, Carsley has to fit him in.”

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Finland v England: Three Lions visit country where Brits are thriving

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Finland v England: Three Lions visit country where Brits are thriving
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It is obvious why Finland’s most famous players – such as Sami Hyypia, Jari Litmanen and Teemu Pukki – aspired to play in a league as credible as the Premier League.

But what about British involvement in Finland – a nation that had not qualified for a major tournament until Euro 2020 – where ice hockey is typically seen as the biggest sport?

Twelve British players compares to none in the top leagues of Norway and Sweden, with eight each in France and Germany, and four in Spain.

IFK Mariehamn took a chance on Jayden Reid – who left Portsmouth last season after two years without making an appearance due to injury – while fellow winger Imani Lanquedoc is on loan at FC Haka from Fulham.

Luke Plange – who Crystal Palace signed for £1 million from a Derby County side battling relegation from the Championship under Wayne Rooney – has since played Champions League qualifying matches for HJK Helsinki.

HJK made a profit from selling last season’s Veikkausliiga top scorer, Bojan Radulovic, to the Championship, so might the club see an opportunity for more business later down the line?

“I think the clubs here assume that if English professionals are willing to come over, they are going to be decent quality,” said Cicale.

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“Finnish football can be a very good platform for exhibiting your abilities – and perhaps if things haven’t gone in such a linear fashion throughout your career – it’s a good opportunity here to show what level you’re still at.”

Grieve’s view is that the Finnish league is a secure working environment for coaches – and it attracts a different type of player.

“It is not 100 mph like an EFL game, the technical level here is higher,” he explained.

“It is way more aggressive and more contact and a ‘free for all’ in Scotland or the lower leagues in England – it’s a different sport in all honesty.

“People who want to try and develop their career and develop a style of play might be more inclined to go somewhere like Finland.”

But Coffey has seen a chance to thrive as an unusual type of footballer in the Veikkausliiga.

“I’ve been kicked and pulled around by men in England, whereas in Sweden and Finland, the lads that I’m playing against are quite young,” he said.

“Technically, they’re very good players, but I feel like I’ve got a bit of an edge in terms of physicality and aggression.

“There are many good players in England, but I just don’t think a lot of them want to make the step or they’re quite comfortable living in England and maybe working and playing part-time,” he added.

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Sammy Harvey: Meet the 14-year-old Turks and Caicos Islands international goalkeeper

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Sammy Harvey: Meet the 14-year-old Turks and Caicos Islands international goalkeeper
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For most kids aged 14, their thoughts will be on getting their homework done, or playing video games with friends.

But for Sammy Harvey, that was the age he was making his international debut.

The teenage goalkeeper started for the Turks and Caicos Islands last month in their Concacaf Nations League match against Anguilla – whose starting goalkeeper in contrast was 41.

Unfortunately for Harvey that game ended in a 2-0 defeat, but he and his team-mates have the chance to gain revenge when the two sides meet again on Sunday (03:00 BST).

“After the first game, I did cry, knowing that my first game was a loss,” Harvey told BBC Sport.

“[My coach] called me that same night to help me get my head back in it and get my head back up, and I was ready.

“I let it sink in knowing that, yes, I did play international level at 14 with a great experience. Let’s get ready for the next one to go again and prove to them that I can play at this level.”

Harvey says his footballing hero is his national team coach, Aaron Lawrence, who played in goal for Jamaica at the 1998 World Cup.

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“I’ve watched a lot of his highlights from the World Cup days,” adds Harvey, who says he also admires Liverpool goalkeeper Alisson and Manchester City’s Ederson.

The teenager says it was his sister who first got him into football at the age of five, but initially he did not play as a goalkeeper.

“I started off as a left and right-back,” he said. “But when coach Aaron joined the programme I was on, his first days there, he put me in a goal and worked on me, my first ever goalkeeper coach.”

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Sonia Bompastor: Chelsea boss says fighting to play football instilled strong personality

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Sonia Bompastor: Chelsea boss says fighting to play football instilled strong personality
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Chelsea manager Sonia Bompastor believes her strong personality and will to succeed come from having to fight to play football when she was younger.

Bompastor, who was the first woman to win the Champions League as a player and manager with Lyon, said French attitudes and prejudice towards women playing the sport spurred her on.

“I wanted to fight against this idea that if you were a girl you couldn’t play football,” she told BBC Sport.

“After that I worked so hard but I enjoyed it so much. At around 18 I realised maybe I could have a good career in my life with football.

“Not a career thinking about winning money, more about enjoying and playing at a high level.”

The 44-year-old has gone on to have a glittering career, winning 11 major trophies during two spells at Lyon as a player before claiming three straight league titles and the 2021-22 Champions League trophy as manager.

Despite Emma Hayes’ success during her 12-year tenure at Chelsea, which yielded 13 major titles, Bompastor’s transition at the club has appeared seamless.

The Blues have won each of their opening two Women’s Super League matches, while they claimed a 3-2 win over Real Madrid in their first Champions League group-stage game on Tuesday.

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However, they face a tough test against Arsenal at Emirates Stadium in the league on Saturday, in a game which is live on BBC One from 13:15 BST.

“Results have been good but this game will be different. It’s a derby. You have to be prepared,” said Bompastor, who has been impressed with the competitiveness of the WSL.

“The competition between the clubs is so big, so strong. I think something was missing in France, even if France has clubs competing at the highest level if you take Lyon and PSG.

“Here, every weekend you don’t take anything for granted and you have to fight to win the games so this is really good.”

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‘Motivated & majestic – Luka Modric still main man for Croatia’

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‘Motivated & majestic – Luka Modric still main man for Croatia’
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At the 2018 finals in Russia, Zlatko Dalic led a nation with a smaller population than that of Scotland to the zenith of international football when they contested the World Cup final. They would come up short against France on the day.

Croatia reaching that showpiece was a surprise, but Modric is the very embodiment of upsetting the odds.

He and his family had to flee their home near the Dalmatian city of Zadar due to the Croatian War of Independence that provided the backdrop to his childhood.

As a Dinamo Zagreb graduate, 20 years ago, he was sent on loan to Bosnian club Zrinjski Mostar. For a young Croatian, that will have been an eye-opener.

In the ensuing two decades, Modric has won six Champions League titles, five Super Cups, four Spanish titles and five Club World Cups alongside the 180 caps he has proudly amassed in Croatia’s red and white checks.

Yet, when he made big-money moves to Tottenham Hotspur and Real Madrid, where he has won anything and everything, he was written off by many. He is currently enjoying his 13th season at the Santiago Bernabeu.

“I’m still here, motivated as before,” Modric said last month. “I am most proud to play for Croatia. I think I can still help.”

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He was right as he followed up that statement with a complete masterclass against Poland on matchday two in Osijek in which he scored the only goal of the game with a superbly executed free-kick.

Scotland actually have a winning record against the Croats and are unbeaten on their two previous visits to Zagreb.

However, their two victories during the 2014 World Cup qualifying campaign, including an unexpected triumph in the Croatian capital, came after the qualification horse had long since bolted.

More recently, the Scots were on the receiving end of Modric wizardry in what was their must-win final group match of Euro 2020. Croatia eased to a 3-1 victory at Hampden Park, with the veteran scoring the second, and the game exposed a big gap between the teams.

To remain in contention in the current Nations League section and maintain hopes of a place in pot one or two for next year’s World Cup qualifiers, this is a game Scotland will probably have to win.

The trouble is that Croatia do not lose at home very often. That Scotland victory 11 years ago is one of only seven competitive defeats suffered on their own soil since Croatia entered the Fifa rankings in 1994.

Like Scotland, they had a disappointing European Championship in Germany, exiting at the group stage after conceding late goals against Albania and Italy in a tough group. Eventual winners Spain topped the section.

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However, that anti-climax does not detract from the fact this will be a very tough assignment.

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The Football News Show

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The Football News Show
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Which exciting young talent could next break into the England senior team?

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Nottingham Forest fined £750,000 for Stuart Attwell ‘VAR is a Luton fan’ social media post

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Nottingham Forest fined £750,000 for Stuart Attwell ‘VAR is a Luton fan’ social media post
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Nottingham Forest issued the highly critical post on X about five minutes after full-time in that April match at Goodison Park – which left the club one point above the relegation zone at the time.

In a controversial game, Forest were upset by referee Anthony Taylor ignoring three penalty appeals, including when Everton’s Ashley Young handled in the closing moments of the opening half and then when the veteran tangled with Callum Hudson-Odoi as he raced in on goal.

The Key Match Incident Panel – an independent panel that reviews decisions after each round of Premier League fixtures – found Forest should have been awarded a penalty for Young’s challenge on Hudson-Odoi in the 55th minute.

Forest said they had “warned” the Professional Game Match Officials Board (PGMOL) that “the VAR is a Luton fan but they didn’t change him”.

“Three extremely poor decisions – three penalties not given – which we simply cannot accept,” the club posted on X, external on 21 April.

“Our patience has been tested multiple times.”

Although they did not name the official, the VAR was Attwell.

Forest were charged by the FA, who sought a fine in excess of £1m over the club’s “egregious, direct and public attack”.

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The written reasons for the ruling confirmed that Howard Webb, the chief refereeing officer of PGMOL, and Mark Clattenburg, then a referee analyst employed by Forest, did discuss the fact that Attwell was a Luton fan during a call on 19 April – two days before the match.

However, the commission says it was “common ground” between the parties that no representations or requests were made to change the VAR for the match.

Attwell gave a statement to the panel which described the “stress, distress, fear and embarrassment caused to him” as a result of the post.

The panel found the impact on the official had “plainly been very significant,” adding: “To Stuart Attwell, the harm has continued well beyond the short period contended for by NFFC.”

Everton’s win over Forest moved them five points clear of the relegation zone with a game in hand on Luton, with Forest in deep trouble, only a point ahead of the Hatters.

In the end, both Forest and Everton stayed up while Luton went down.

Clattenburg left his position at Forest on the day the club were charged by the FA, having been given a formal warning himself.

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Lancing FC: Isthmian League village team’s game postponed because of Bermuda call-ups

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Lancing FC: Isthmian League village team’s game postponed because of Bermuda call-ups
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A village club in the eighth tier of English football have had this weekend’s match postponed because of international call-ups.

West Sussex-based Lancing were due to travel to Crawley to face Three Bridges in the Isthmian League South East Division on Saturday.

But two of their players will instead be 3,500 miles away representing Bermuda against Dominica in the Concacaf Nations League.

The Isthmian League agreed to postpone the match with Bermuda midfielder Knory Scott and forward Luke Robinson, both 25, missing out, while Charlie Gibson and Sam Bull will be playing six-a-side for England at the World Minifootball Federation (WMF) U23 World Cup in Croatia.

“It’s ridiculous for a club at this level,” Lancing chairman Barry Sutton told BBC Sport.

“To have one person called up [Scott, last year] was something we celebrated, but to have four off in the same week is unheard of.”

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Women’s Premiership: ‘Invincibles’ Cliftonville lift title with 100% win record

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Women’s Premiership: ‘Invincibles’ Cliftonville lift title with 100% win record
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After Callaghan poked an effort wide after the restart, the deserved winner came in the 52nd minute when Maxwell’s cross drifted into the bottom corner to give the visitors a lead they would not relinquish.

Finnegan fired over as the Reds looked for a second, and substitute Kirsty McGuinness saw an effort parried away by Harvey-Clifford.

The Crues had a huge chance to level the game with 20 minutes to play when Rebecca Mann raced through on goal but the substitute hooked her effort wide.

McGuinness forced Harvey-Clifford into a superb diving save, and further chances fell to Caitlin McGuinness, who hit over from Katie Markey’s cross, and Maxwell, who fired narrowly wide.

The game fizzled out in the closing stages, with the Reds perhaps having one eye on Saturday’s cup final but when the final whistle blew, the Cliftonville bench ran onto the pitch to celebrate with their team-mates.

Elsewhere in the Women’s Premiership, Glentoran were held to a 1-1 draw by rivals Linfield.

Rhyleigh Marks opened the scoring for the Blues before Emily Wilson fired home an equaliser.

Lisburn Rangers warmed up for the Irish Cup final with a 3-0 win away to Mid Ulster, who will be relegated after finishing bottom of the table.

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Caoimhe Mullholland and Ellie-Mae Dickson netted in the second half for Rangers before an own goal by Niamh McDonnell secured the win.

It has been a superb first season in the top flight for Lisburn Rangers, who finished fourth behind Cliftonville, Glentoran and Linfield.

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Greece v Republic of Ireland: Finland win has given Irish ‘real belief’ – Finn Azaz

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Greece v Republic of Ireland: Finland win has given Irish ‘real belief’ – Finn Azaz
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Victory in Helsinki will help ease some of the early pressure on Hallgrimsson following last month’s defeats by England and Greece.

The Irish players were booed by sections of their home fans at the Aviva Stadium following the loss to Greece while the travelling supporters voiced their frustration in Helsinki after Nathan Collins’ woefully underhit backpass gifted Finland the opening goal.

However, Azaz insists he and his team-mates are blocking out the noise as they bid to secure back-to-back competitive wins on the road for the first time since November 2021.

“I am going out there to do my job, that’s what I am trained to do, so I try to ignore the outside noise, we all try to do that. That’s how you have to be,” said the Westminster-born 24-year-old, who qualifies for the Republic of Ireland through his Cork-born grandparents.

“We do hear criticism but that’s part of the job. You need a strong mentality to ignore the noise and hopefully this win will help us gain even more confidence. We have a lot of belief.”

Azaz, who was replaced by Jamie McGrath for the final 20 minutes against Finland, added: “I didn’t hear any boos at half-time. It was a tough game and a tough first half, but you need to show respect to the opposition.

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“We are a good team. I felt we could push on at half-time and that’s what we tried to do in the second half.

“With Nathan, mistakes happen and we are ready for that. We didn’t need to say anything to him, he’s an experienced player. We just focused on the positives and had that positive energy for the second half.”

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How can England use Jude Bellingham, Phil Foden and Cole Palmer? How can England use Jude Bellingham, Phil Foden and Cole Palmer?
Sports5 mins ago

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Spread the love There are a few different ways the trio could fit into a 4-2-3-1. One option is to...

Ronald Koeman is left fuming by Virgil van Dijk red card – after the Liverpool star was sent off for the first time for the Netherlands in Hungary draw Ronald Koeman is left fuming by Virgil van Dijk red card – after the Liverpool star was sent off for the first time for the Netherlands in Hungary draw
International8 mins ago

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Spread the love Koeman was furious after Van Dijk picked up a yellow for protesting a challenge  Van Dijk was...

Les mères de famille des séries glorifient la consommation d’alcool et cette « mommy wine culture » pose problème Les mères de famille des séries glorifient la consommation d’alcool et cette « mommy wine culture » pose problème
Santé21 mins ago

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En couple, Marc Lavoine se confie sur ce qu’il aime chez Adriana Karembeu : Femme Actuelle Le MAG En couple, Marc Lavoine se confie sur ce qu’il aime chez Adriana Karembeu : Femme Actuelle Le MAG
France26 mins ago

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Spread the love Nous avons un cadeau pour vous Créez un compte et inscrivez-vous à la newsletter Femme Actuelle pour...

A la CAN 2023, pourquoi Vegedream n’avait pas composé de chanson pour les Éléphants ? A la CAN 2023, pourquoi Vegedream n’avait pas composé de chanson pour les Éléphants ?
Afrique36 mins ago

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Verts frisés, rouges, crus, à la vapeur… Savez-vous manger des choux (kale) ? Verts frisés, rouges, crus, à la vapeur… Savez-vous manger des choux (kale) ?
France42 mins ago

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Boeing to cut 10% of workforce as strike by factory workers cripples airplane production Boeing to cut 10% of workforce as strike by factory workers cripples airplane production
International51 mins ago

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Spread the loveBoeing plans to lay off about 10% of its workers in the coming months, about 17,000 people, as...

Pourquoi Kobbie Mainoo devra faire attention pour Manchester United Pourquoi Kobbie Mainoo devra faire attention pour Manchester United
Football54 mins ago

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France1 hour ago

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Spread the love Nicolas Tonev, édité par Ugo Pascolo // Crédit photo : Mark Schiefelbein / POOL / AFP 09h50,...

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Sports1 hour ago

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Spread the love It is obvious why Finland’s most famous players – such as Sami Hyypia, Jari Litmanen and Teemu...

l’agence Fitch maintient la note de la France, mais envisage de la dégrader l’agence Fitch maintient la note de la France, mais envisage de la dégrader
Santé1 hour ago

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Football algérien1 hour ago

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Taylor Swift and Travis Kelce enjoy intimate double date night with Blake Lively and Ryan Reynolds in New York Taylor Swift and Travis Kelce enjoy intimate double date night with Blake Lively and Ryan Reynolds in New York
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France1 hour ago

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