Dans les pays à faible revenu, le tabagisme est souvent associé à un faible niveau social et d’éducation. Ces consommateurs n’ont pas les moyens de payer les conseils et les médicaments.
Le tabagisme représente un lourd fardeau sanitaire et économique dans le monde entier. La recherche estime qu’en 2019, environ 8 millions de décès étaient imputables au tabagisme. Le tabac réduit également les années de vie en bonne santé : environ 200 millions d’années de vie corrigées de l’incapacité en 2019. Ce fardeau sanitaire s’accompagne de coûts économiques élevés, directement liés aux traitements médicaux des maladies liées au tabac et indirectement aux pertes de productivité. Au niveau mondial, le coût économique total du tabagisme s’élevait à environ 1,8 % du PIB annuel mondial en 2012. Les études mondiales sont rares car elles nécessitent beaucoup de données.
Bien que la consommation globale de tabac ait diminué dans la plupart des pays à revenu élevé depuis les années 1970, elle est restée stable ou a augmenté dans la plupart des pays à revenu faible ou intermédiaire. Aujourd’hui, plus de 80 % des fumeurs dans le monde vivent dans des pays à revenu faible ou intermédiaire, ce qui entraîne une répartition inégale de la charge de morbidité.
Cette répartition inégale de la charge de morbidité liée au tabac existe également à l’intérieur des pays. Dans la plupart des pays, le tabagisme est inégalement répandu parmi les pauvres – ceux-là mêmes qui peuvent le moins se permettre de financer les soins de santé et les coûts financiers qui y sont associés.
Le tabagisme n’est pas seulement une question de fumeurs, mais aussi de personnes qui arrêtent de fumer. Dans les pays à revenu élevé, ce sont surtout les fumeurs les plus riches qui tentent d’arrêter de fumer – et qui y parviennent. En revanche, les recherches sur l’arrêt du tabac dans les pays à faible revenu sont rares.
Une étude que j’ai coécrite avec le Dr Laura Rossouw s’est attachée à combler certaines lacunes. Nous avons décidé de mesurer les inégalités en matière de sevrage tabagique dans huit pays d’Afrique subsaharienne. En utilisant les plus récentes Global Adult Tobacco Surveys au Botswana, au Cameroun, en Éthiopie, au Kenya, au Nigeria, au Sénégal, en Tanzanie et en Ouganda, nous avons constaté que les personnes les plus susceptibles d’essayer d’arrêter de fumer et d’y parvenir étaient les plus riches et les plus éduquées. Les inégalités dans la capacité à arrêter de fumer étaient associées au statut socio-économique, à la résidence urbaine ou rurale, et au fait de ne pas savoir ou de ne pas croire que la consommation de tabac entraîne des maladies graves.
Nous suggérons que les gouvernements de ces pays puissent agir davantage pour soutenir les fumeurs défavorisés sur le plan socio-économique dans leurs efforts pour arrêter de fumer. Leurs stratégies devraient s’aligner sur les lignes directrices énoncées dans la Convention-cadre de l’OMS pour la lutte anti-tabac.
L’octroi d’une aide médicale subventionnée aux fumeurs qui tentent d’arrêter de fumer pourrait rendre ces services plus accessibles aux pauvres. Cela permettrait d’alléger le fardeau sanitaire et financier disproportionné des maladies liées au tabac dont ils souffrent.
Qui consomme du tabac ?
Notre analyse s’est appuyée sur des enquêtes nationales représentatives des individus âgés de 15 ans et plus dans chacun des huit pays inclus dans notre échantillon. L’enquête mondiale sur le tabac chez les adultes recueille des informations sur les personnes qui consomment du tabac et sous quelle forme, ainsi que des variables démographiques et socio-économiques. Il s’agit d’une enquête standard qui permet de comparer les pays.
Nous avons choisi les huit pays subsahariens en fonction de la disponibilité des données. L’enquête la plus ancienne a été menée en 2012 au Nigeria et la plus récente en 2018 en Tanzanie. Chaque enquête a permis d’enregistrer des informations sur des milliers de personnes, qu’elles soient ou non consommatrices de tabac. Elle a également montré qui avait tenté d’arrêter de fumer.
Dans tous les pays, les consommateurs de tabac étaient plus susceptibles d’appartenir au groupe aux revenus les plus faibles. En Ouganda, en Tanzanie, au Kenya et au Botswana, plus de 40 % des fumeurs actuels et passés gagnaient moins du cinquième des revenus les plus bas. Au Cameroun, en Éthiopie, au Kenya, au Sénégal et en Ouganda, plus de 50 % des fumeurs actuels et passés n’avaient pas suivi d’enseignement formel.
Les fumeurs qui avaient essayé d’arrêter au cours de l’année écoulée représentaient jusqu’à 53 % des fumeurs actuels (au Botswana) et au moins 29 % (au Cameroun).
Notre analyse a montré que les différences de niveau de richesse contribuaient aux inégalités entre les anciens et les actuels consommateurs de tabac. L’éducation creuse l’écart lié à la richesse. Le fait de vivre dans une zone urbaine (par opposition à une zone rurale) a également contribué à creuser l’écart dans certains pays, mais pas en Éthiopie, au Sénégal et en Ouganda. Les connaissances en matière de santé liées au tabac ont également joué un rôle dans la création d’inégalités entre les fumeurs les plus riches et les plus pauvres. Le fait d’être mal informé sur les conséquences du tabac sur la santé concernait surtout les personnes ayant un faible niveau d’éducation.
Nos résultats ont montré que les tentatives d’arrêt du tabac – et les tentatives réussies – étaient concentrées chez les personnes plus riches et celles ayant un niveau d’éducation plus élevé.
Qu’est-ce qui aide les fumeurs à arrêter ?
Les lignes directrices de l’OMS, ratifiées par 182 pays, indiquent les politiques les plus efficaces pour réduire le tabagisme. Le Rapport sur l’épidémie mondiale de tabagisme traite de tous les pays qui appliquent ces politiques.
Parmi les politiques clés figurent la mise en garde contre les dangers du tabagisme, l’interdiction de la publicité, l’aide à l’arrêt du tabac et la taxation des produits du tabac.
Le dernier Rapport sur l’épidémie mondiale de tabagisme de l’OMS (2021) couvre les 195 pays du monde. Il montre que des progrès ont été accomplis dans la mise en œuvre de politiques visant à réduire la demande de tabac.
Mais de toutes les mesures recommandées pour réduire la demande de tabac, ce sont les mesures suivantes qui ont le moins progressé
offrir aux consommateurs de tabac une aide pour arrêter de fumer
l’augmentation des taxes sur le tabac.
De nombreuses preuves montrent de manière concluante que la taxation du tabac est le moyen le plus efficace de réduire la consommation de tabac. Mais à l’heure actuelle, parmi toutes les politiques, les politiques de taxation du tabac fondées sur les meilleures pratiques sont celles qui protègent le moins de personnes dans le monde.
Quant à l’offre de services aux fumeurs qui tentent d’arrêter de fumer : 55 % des pays à faible revenu n’offrent aucun soutien. Aucun pays à faible revenu n’offre les services les plus performants.
Les conseils et les médicaments peuvent plus que doubler les chances d’un fumeur d’arrêter de fumer avec succès. Mais en payer le prix est un défi.
Il est possible d’utiliser la taxation du tabac non seulement pour réduire la demande de tabac, mais aussi pour générer des revenus pour les efforts visant à aider les consommateurs à arrêter de fumer.
Il faut agir
Les gouvernements ont la possibilité de récolter des bénéfices pour la santé de leurs citoyens et des bénéfices financiers pour leur pays en mettant en œuvre des politiques de lutte antitabac fondées sur des données probantes.
La recherche montre qu’une population en bonne santé est plus productive et plus prospère.
Sam Filby, Research Officer, Research Unit on the Economics of Excisable Products, University of Cape Town
Cet article est republié à partir de The Conversation sous licence Creative Commons. Lire l’article original.
Elles ont pu braver les obstacles. A l’impossible nul n’est tenu. Dans la nuit de ce vendredi 06 septembre 2024 en Colombie, le dicton « impossible n’est pas camerounais » a eu son pesant d’or. Les Lionnes U20, dos au mur après une défaite contre le pays hôte lors de la deuxième journée s’est brillamment qualifié pour les huitièmes de finale de la coupe du Monde de leur catégorie en battant l’Australie, dernière de la poule A sur un score de 2-0.
Les Lionnes gonflées en bloc et décisives ont tenu les Australiennes jusqu’au bout de la 90e minute. Dans le désir d’en découvre avec leurs adversaires, les joueuses d’Hassan Balla ont ouvert le score à dans les arrêts de jeu de la première période. A. Toko, d’une superbe frappe bat à plate couture la gardienne australienne à la 45’+5 (1-0). Peu après le retour des vestiaires, l’incontournable capitaine de cette équipe U20, Naomi Eto, met le but du break à la 61e minute de jeu.
Les velléités offensives de la Colombie ne vont pas inquiéter Cathy Biya, impeccable dans sa cage et consolidée par sa défense qui ne donne aucune faille aux attaquantes australiennes. En revanche, les camerounaises ont soif de but mais malheureusement, quelques déchets techniques vont les empêcher d’inscrire le troisième but. Cette victoire les classe meilleures troisième de la compétition et une place assurée pour le second tour car le Mexique est tombé face à la Colombie dans l’autre rencontre. Les regards de Naomi Eto et ses coéquipières sont déjà tournés vers leur adversaire des huitièmes de finales.
Le Kenya reste sous le choc après que 18 élèves de l’école primaire Hillside Endarasha, aient péri dans un incendie qui a ravagé leur dortoir, jeudi soir.
Dans la foulée, des familles attendent des nouvelles de leurs enfants.
D’autant plus que 70 sont toujours introuvables, 27 autres sont hospitalisés.
Après le drame, le président William Ruto a décrété trois jours de deuil, pendant lesquels les drapeaux seront en berne, en mémoire des enfants disparus.
A rappeler que le dortoir qui a pris feu, abritait plus de 150 garçons âgés de 10 à 14 ans.
Alors qu’une enquête est en cours, un rapport du ministère de l’éducation, indique que les incidents de ce genre sont quasi-fréquents dans les internats.
Les causes sont souvent d’origine humaine et à la surpopulation.
En Algérie, les populations se rendent aux urnes ce samedi 7 septembre 2024 pour choisir leur prochain président.
Algérie : 24 millions d’électeurs aux urnes pour choisir leur président
L’heure a sonné pour la population algérienne de faire un choix judicieux entre le président sortant Abdelmadjid Tebboune, qui a convoqué les élections deux mois avant la fin officielle de son mandat, YoucefAouchiche, leader du Front des forces socialistes. et AbdelaaliHassaniCherif, chef du Mouvement de la société pour la paix.
Au total, trois candidats ont été officiellement autorisés et déclarés après étude des dossiers. Durant leur campagne, ces concurrents ont principalement mis en avant la défense du caractère social de l’État, ainsi que des thèmes comme la valorisation des potentialités économiques de l’Algérie, le pouvoir d’achat, l’allocation chômage et le revenu universel.
Selon les tendances de la campagne, une forte chance semble être du côté de l’ancien président Tebboune. Initialement, les élections présidentielles devaient avoir lieu en décembre, mais cette date a été modifiée par les autorités. Une initiative qui, selon l’opposition, ne permettrait pas aux différents candidats qui aspirent à briguer le poste de président de déposer leur candidature à temps.
Malgré ces critiques, la nouvelle date a été maintenue et la population se rende aux urnes ce jour sans incident. Les électeurs des régions nomades et du Sud ont voté jeudi. Il est important de souligner que près de 24 millions d’Algériens se rendent aux urnes ce samedi 7 septembre pour élire leur président.
Par ailleurs, il faut noter que le taux de participation à la mi-journée tournait au environ de 13,11 %, d’après l’Autorité nationale indépendante des élections. Mais cette même source précise que l’affluence a été constatée au sein des bureaux de votes quelques heures plus tard. Ouverts à 09 h, les bureaux de votes fermeront rigoureusement à 20 h. Une étape qui permettra aux dirigeants de faire face à d’autres pour la sortie officielle des résultats.
Dans l’interview d’après-match, Hassan Balla pense avoir rectifié le tir, même si quelques erreurs restent à corriger avant d’entamer la phase à élimination directe.
« Félicitations aux filles, nous avons bien joué et gagné, et je suis content. Nous avons perdu contre la Colombie et avons mieux fait aujourd’hui. Ce n’est pas facile de travailler, la météo ne nous est pas favorable. L’équipe a travaillé comme une seule personne et j’apprécie cela […] Nous nous sommes montrés solides en défense, mais notre ligne de front n’a pas vraiment tenu ses promesses. Nous avons travaillé pour améliorer notre côté offensif. Nous avons eu plusieurs occasions de but que nous n’avons pas pu convertir. Nous allons continuer à travailler et j’espère que nous pourrons faire mieux », a-t-il confié aux journalistes après la belle victoire de son équipe.
Le roi Mswati III, de l’Eswatini, anciennement connu sous le nom de Swaziland, va prendre une 16è épouse. Et l’heureuse future épouse se révèle être Nomcebo Zuma, la fille de l’ancien président sud-africain Jacob Zuma, âgée de 21 ans.
Cette tradition séculaire rassemble des milliers de jeunes femmes qui dansent torse nu, parées de jupes colorées et d’ornements traditionnels, devant le roi et la famille royale.
C’est dans ce cadre hautement symbolique que Nomcebo Zuma, est apparue en tant que « liphovela« , terme désignant la fiancée royale.
Cette union entre la jeune Nomcebo et le roi quinquagénaire soulève des questions sur la perpétuation de pratiques controversées au sein de la monarchie swazi.
Mais il faut préciser que l’engagement de Nomcebo Zuma avec le roi d’Eswatini revêt également une dimension politique.
Fille de Jacob Zuma, ancien président sud-africain au parcours tumultueux, cette union pourrait renforcer les liens entre les deux pays voisins.
Jacob Zuma, lui-même adepte de la polygamie avec quatre épouses et plus de 20 enfants, voit ainsi sa fille s’unir à un monarque partageant des valeurs familiales similaires.
En effet, ce n’est pas la première fois que le roi choisit une épouse beaucoup plus jeune que lui lors de cette cérémonie.
Le chef de l’État va s’adresser aux Sénégalais dès son retour de la Chine. À cet effet, le Premier ministre, Ousmane Sonko, a dévoilé les grands points qui feront l’objet de cette adresse. Il a fait cette annonce lors de sa prise de parole à l’occasion de la cérémonie du lancement de la journée « Sétal » à Matam, ce samedi.
Le président fera l’état des lieux dans son discours à la nation, selon Ousmane Sonko
Face aux populations de Matam, le chef du gouvernement Ousmane Sonko a donné des indices sur le contenu de ce discours présidentiel prévu dans quelques jours. À en croire le patron de la Primature du Sénégal, le successeur de Macky Sall parlera du programme Horizon-2025. Un programme qui va permettre de reconstruire le pays entier.
Ce sera l’opportunité pour Bassirou Diomaye Faye de faire l’état des lieux au peuple sénégalais. Pour Ousmane Sonko, le chef de l’État dira aux citoyens dans quel état il a trouvé le pays. Il va en profiter pour expliquer comment il compte procéder pour redresser le Sénégal. « Il dira aux Sénégalais l’état dans lequel nous avons trouvé ce pays. C’est important de faire cet état des lieux. Nous aurons une phase de redressement du pays, une phase de décollage et une phase de stabilisation », a fait savoir le Premier ministre avant d’ajouter que les ministres prendront le relais après le président pour donner les explications détaillées.
Les autres sujets qui font l’actualité politique au sein du pays ne seront pas du reste. Le patron de la présidence de la république, en conflit avec le Parlement, ne va pas manquer d’intervenir par rapport à la dissolution de la XIVᵉ législature en cours d’exercice. À ce niveau, il essayera de rassurer son peuple en lui exposant les nouvelles orientations politiques du pays. Alors, le peuple sénégalais attend son président de la République sur l’état financier du pays, les scandales survenus avant sa prise de fonction et sur la manière dont il envisage de faire rendre gorge aux fautifs.
Dans un pays où l’accès aux postes de la fonction publique n’est pas garanti, il est crucial d’inculquer l’esprit d’entreprise aux jeunes diplômés et autres porteurs de projets. L’un des principaux obstacles identifiés est l’accès au financement.
Cette conférence, initiée par l’association Inside Finance Africa, avec le soutien du Fond Monétaire International (FMI) et de l’Agence de Promotion des Investissements ( API), visait à résoudre cette problématique. Selon les experts, les jeunes diplômés des lycées et collèges ne doivent pas se décourager s’ils ont un projet à présenter au monde.o
La coordonnatrice générale, Gabriella Mballa, s’appuyant sur la législation camerounaise, précise que « l’âge minimum pour être entrepreneur au Cameroun est de 18 ans. Il est vrai qu’il est possible de devenir entrepreneur dès 16 ans, mais avec l’autorisation des parents. L’entrepreneuriat requiert essentiellement deux qualités : le courage et la détermination. Cela signifie qu’un jeune diplômé des lycées et collèges qui souhaite entreprendre en a la possibilité« .
Cependant, pour que le lancement d’un projet jeune soit efficace, il est crucial de prendre certaines précautions afin d’éviter tout fiasco. D’après Jean Baptiste Endougou, représentant du FMI, consulté par LebledParle Campus, la recherche de financement varie selon le secteur d’activité, le montant nécessaire et la maturité du projet. Le porteur de projet doit donc choisir le profil adéquat à ce qu’il souhaite présenter au public.
L’initiative est donc à encourager. L’association en collaboration avec les établissements partenaires, entendent la perpétuer. Les élèves étudiants et autres entrepreneurs y présents ont bien appris la leçon et ont des rêves plein la tête.
Ces informations devraient également permettre aux jeunes de mieux s’orienter, que ce soit après leurs études secondaires ou dans la concrétisation d’un projet entrepreneurial, contribuant ainsi au progrès de la nation.
Étudiants, jeunes, porteurs de projets présents au forum sur l’entrepreneuriat-07-09-2024
L’international nigérian Ademola Lookman fait partie de la liste des 30 finalistes pour le premier prix. L’attaquant de l’Atalanta Bergame est le seul à représenter le continent africain cette année.
Footballeur professionnel qui évolue au poste d’ailier, Ademola Lookman est connu pour sa vitesse, sa capacité à prendre des défenseurs de vitesse, ainsi que sa capacité à marquer et à créer des occasions pour ses coéquipiers.
En 2023, l’Afrique comptait quatre représentants.
Sur la liste publiée sur le site du journal L’Equipe, Lionel Messi est le grand absent.
L’attaquant brésilien Vinicius y fait figure de grand favori en compagnie de ses deux coéquipiers Jude Bellingham et Kylian Mbappé. On y voit également Erling Haaland de Manchester City et le buteur anglais Harry Kane.
La première journée des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2025) va se clôturer ce samedi 7 septembre. Ainsi, trois chocs sont prévus avec l’entrée en lice du Cameroun, du Bénin ou encore du Nigéria.
Programme des rencontres de ce samedi en éliminatoire CAN 2025
De grands chocs sont prévus pour ce samedi pour clôturer la première journée des éliminatoires de CAN 2025. A partir de 16 heures GMT, les Lions Indomptables du Cameroun recevront la Namibie sur le stade de Garoua. Ce sera le moment pour les poulains de Marc Brys de remporter la victoire et prendre ainsi l’avantage dans le groupe M.
Aussi, les Super Eagles du Nigeria seront face aux Guépards du Bénin pour le choc du groupe L. Une rencontre très attendue au cours de laquelle, les nigérians voudront prendre leur revanche après la défaite face aux béninois.
Les matchs du jour
16h : Cameroun vs Namibie (Groupe M) 16h : Mauritanie vs Botswana (Groupe C) 16h : Nigéria vs Bénin (Groupe L)
La traduction de cette phrase en français signifie tout simplement « Maintenant que la compétition commence pour le Cameroun ». C’est ce qu’a annoncé Naomi Eto après son troisième but inscrit hier, vendredi, lors du troisième match de poules qui opposait les Lionnes U20 à l’Australie. Les Lionnes ont réalisé une performance solide en obtenant une place parmi les meilleurs troisièmes de la compétition.
Pour Naomi Eto, « Now The Competition Begins For Cameroon ». C’est une façon de dire que le Cameroun est déjà là ; rien ne sera plus comme face à la Colombie, où elles ont été battues 0-1, ou contre le Mexique, qui les a empêchées de remporter les trois points en leur imposant un score de parité 2-2 lors de la première journée des phases de poules.
La capitaine, avec trois buts à son actif, attend de pied ferme leur adversaire du second tour, d’où ce message percutant. Hassan Balla peut justement compter sur son attaquante de 20 ans pour conduire son équipe vers le sacre. Déjà au deuxième tour, les Lionnes écrivent leur histoire dans cette compétition à laquelle elles participent pour la première fois.
